C'est la nuit sur cette partie d'Ilum. Yôkai a laissé son vaisseau bien dissimulé pas trop loin. Dédaignant son speeder sur ce coup là, le relief de cette aprtie de la planète étant particulièrement accidenté et traitre, la derviche fait le chemin à pied, gambadant aussi aisément qu'un anooba dans le désert de Tatooine.

Malgré tout, l'athmosphère mystique de la planète l'imprègne. Yôkai résiste à cette tentative de corruption parce que la seule planète sacrée est la sienne. Recopia. Avec les larmes de Sélènes et la bonté de Seyugi comme guide. La derviche sait à quoi sert les cavernes ici, ils en ont un genre d'équivalent sur la leur. Certains diraient sûrement qu'ils ne ramassent que des déchets pollués d'une civilisation antérieure, mais ce sont les larmes de Seyugi qu'ils collectent dans les profondeurs toxiques de la planète. Les larmes de Seyugi qui donnent la couleur noire caractéristique de leur dagues lasers. Ce noir absolu qui absorbe la lumière. Rien à voir avec ces couleurs vibrantes, ces lavantes, blancs, argentés, jaune , émeraude , bleu qui agressent l'oeil et l'esprit. Juste le noir reposant de la présence du dieu.

En tant que tel, la derviche ne se considère pas comme une adepte de La Force. Les préceptes des jedis sith ou cie, elle ne les a jamais suivis. Elle a donc une certaine résistance aux trucs de L'esprit, mais comme toute chose, il y a des limites à tout.

Repoussant certains souvenir de sa mémoire, elle se focusse sur sa mission. Tuer un ou plusieurs padawans, histoire de montrer au jedis que nul part ils ne seront en sécurité. C'est donc avec ce but en tête qu'elle marche... marche... Ses perceptions et ses sensations sont traitreusement altérées. Soudainement, elle se revoit dans une des cavernes du plateau Monastique. Devant elle, l'ouverture béante laissant voir le panorama fantastique de sa planète natale. Elle est debout, nue, aucun voile ne couvrant ses grands yeux noirs. Toute jeune, quelques cicatrices en moins.

Et devant elle, un colosse. Un mâle dans tout ce que ce mot veut dire. Elle a déjà vécu tout ca et le souvenir lui en est quasi insupportable. Le seul moment où elle ait clairement douté de toute sa vie. C'est la veille de son Serment. Elle n'est pas encore derviche. Elle est Lareless An'tha. Et lui, Lorkon Efthal'ai. Un bon mètre quatre vingt quinze d'homme qui a le coeur sur la main. Un homme... Une femme... Un drame.

Un homme qui la couvre de baiser en cet instant précis, lui racontant comment il voit les choses. Elle n'a pas à devenir derviche, ils peuvent avoir une terre adjacente au monastère, sustenter les besoins de celui ci, accomplir d'une autre facon les voies de Seyugi. Avoir des enfants, une vie tranquille. Pleine d'amour.

Amour? Elle se sent subitement terrorisée à ce seul mot. Ce qu'il lui propose en soit est un blasphème. Elle a été concue et élevée pour danser à la Grâce de Seyugi. Se défiler reviendrait à la honte, la mort à plus ou moins brève échéance. S'enfuir? Ce concept lui est inconnu. On ne s'enfuit pas. On n'aime pas. Il n'y a de place que pour Seyugi dans leur coeur. Il n'y a pas de place pour lui, aussi charmant, tendre attentionné et fiable soit il.

Et des enfants? Elle ne pourra pas danser être enceinte. Elle perdra tout ses acquis, tout ce que ces années de défis et de sacrifices personnels lui ont apportés. Non, elle ne veut pas de ces larves gigotantes en son sein. Soudainement, Lareless se rappelle pourquoi ils sont ici. A part l'appel de la chair, elle a une nouvelle à lui annoncer.

Elle est enceinte et elle veut se débarasser de ca. Mais Lorkon s,y refuse catégoriquement, veut la prendre pour épouse, elle, Lareless, promise à Seyugi.

Tout ce que tu dit est blasphème.

Clame l'apprentie derviche. Sentant sa peur se muer en colère. Le couteau qui a servi à découper le saucisson de rancor du diner à la main, elle marche sur lui.

Tu n'a pas le droit de décider de ma vie tu entend? personne n'a le droit. JE décide et j'ai décidé que j'épousais Seyugi demain. Et je vais m'en débarasser. Une derviche ne se fait pas engrosser par un paysan.

Tu ne le fera pas Less, parce que nous nous aimons.

Dans les yeux bleus de son vis à vis lui de l'amour inconditionnel. Et par amour pour lui, pour éviter qu'il ne se fasse écarteler par les Derviches, parce qu'elle ne veut pas d'enfants et que son amour pour Seyugi surpasse de loin tout ce qu'elle pourra vivre avec un mortel, par peur aussi de se faire écarteler avec lui, Lareless lui tombe sur le lard, l'égorge proprement avant de lui planter la lame dans le coeur. Le noir est plongé dans le bleu de celui qui fut son amant.... Demain elle prendra le nom de Yôkai.

Le noir est plongé dans le bleu du pauvre padawan qui n'a pas eu le temps de n'y rien comprendre, lui aussi plongé dans ses tourments personnels. Il n'aurait jamais cru que ses peurs pouvaient avoir une nature si tangible. Elle est entrée par un accès latéral, personne ne l'a vue. Et tandis qu'il exhale ses derniers tourments avant de rejoindre Seyugi, la derviche le traine et le hisse jusqu'à un puit d'aération qui se dresse à hauteur de taille et l'y balance sans remords. Le temps qu'ils le retrouvent, ca prendra des semaines... S'ils pensent à vérifier les puits naturels d'aération qui ne partent pas du sol.

Ensuite, sans rien dire, voile noir sur le visage, capuche remontée, la derviche prends la sortie la plus proche. Elle ne veut pas rester là dedans plus que nécessaire. Elle a refait le même choix qu'alors. Dans son esprit fanatique, il n'y avait pas d'autres choix possibles. Mais revivre ca, plus jamais! Son coeur n'y survivra pas.

Le voile légèrement trempé, elle finit par sortir à l'air libre. Yôkai a malgré tout bien fait son boulot, il n'y a pas de sang sur elle.

Tailon était assit Au dehors. La douce caresse du vent le portait dans c’est pensée. Il devait superviser un apprenti revanchiste envoyé sur Ilum afin d’affronté c’est peur. Bien que cela ne lui plaise pas, il devait le faire. Alors que Yokai entrai au loin dans la caverne pars une autre entré, lui devait attendre ici que l’apprenti se manifeste.

Le padawan en question avait perdus son maitre il y avait peux. Pour cela, il avait voulu devenir un revanchiste. Cependant, il ne voulait pas un autre maitre. Il voulait tout de suite être adoubé. Le conseille ne le voulais pas. Alors l’apprenti avait demandé une preuve et le conseille avait décidé de l’envoyer sur Ilum. Il avait pris Tailon pour se chargé de l’amené et lui donner c’est instruction.

Mais se lieu rappelais des souvenir a Tailon. De vieux souvenir. Il se rappela quand son maitre était venus en se lieu avec lui. C’était a c’est 19 ans. Le moment que son maitre avait jugé propice pour que Tailon construise son vrai sabre. Le laissant seule dans la grotte, Tailon avait affronté les prédateurs du lieu. Les Gorgodons. Après en avoir tué quelque un, commença enfin la véritable épreuve. La vision. Pour chaque jedi elle était différente, mais chaque fois qu’un jedi réussissait, il obtenait son sabre laser. Tailon lui, avait du affronté un étrange personnage. Il avait du affronté un homme. Qui avait pour seule arme, une vibrolame. L’homme portait une bure. Sans même posé de question, il avait attaqué Tailon. Celui-ci se défendit de son mieux. Fessant des parades, esquivant des coups. Tentant de contre attaqué. Mais son ennemi anticipait bien. Cars chaque coup était aisément contré. Puis, Tailon comprit comment il pourrait le battre. Se concentrant dans la force, il s’aida d’elle pour le vaincre. Multipliant assaut rapidement. Puis, il propulsa finalement son adversaire dans les profondeurs. Cependant, il avait eu le temps de voir son visage. Un visage abordant des peintures tribales. Un visage qu’il lui ressemblait. Un visage qui lui rappelait son passé. Son père. Il avança alors vers le noir. Puis, Kika un objet plus dur qu’une simple roche. Regardant l’éclat, il vit le sabre laser. Son sabre laser.


Cela était le souvenir de Tailon. Et il stoppa net a se moment quand, tout d’un coup, une présence dans la force se coupa net. Tailon n’y avais nullement prêté attention. Cependant, il se leva d’un bond. Il savait se qu’il venait de se passer. Se consentant plus intensément, il chercha à travers la force.

*Il doit bien y avoir une trace quelquon qu’à suivre. Tuer une personne en c’est lieu laisse une marque. De sa, je suis certain. Je ferais mieux d’aller rapidement voire ou la présence a disparut.*

Je me précipita dans la grotte. Ouvrant mon sabre laser afin de m’indiquer la voix. Je n’avais pas le temps de me concentré. Je le ferais un coup sur les lieux. J’y arrivas étonnamment sans encombre. Comme si la grotte elle-même savait mon but. La, seul se trouvais du sang. Me consentent, je rentra totalement dans la force. Afin de découvrir s’il y avait un coupable. Et je trouvas rapidement mon but. Plus loin, dans la grotte. Il y avait une personne. Elle était sensible à la force. Mais une onde de force plus malsaine, plus barbare. Je repartis dans cette direction. Les cristaux bleu et vert reflétaient la lumière de mon sabre. Des visions voulaient s’offrir a moi. Mais je n’avais pas le temps pour cela. J’arrivas finalement derrière la présence. Non loin de l’entré de la caverne. Le vent était plus froid ici et plus fort. La, de dos, se tenais a se qui semblais être une femme. Je s’avais bien cependant qu’elle était beaucoup plus dangereuse que une simple femme. Son hora l’indiquait. Une hora a peine perceptible cependant. Je m’arrêtât derrière elle. A environ Cinque mètre de distance. Puis je dis, sur un ton de défit.

-Ne bouger plus, vous venez avec moi pour un petit interrogatoire.

J’attendis une réponse de sa pare.

Ne bougez plus, vous venez avec moi pour un petit interrogatoire

Il y a un léger mouvement dans L'ombre devant Tailon. un demi visage blanc aux joues humides de larmes se tourne vers lui. Il y a un moment de flottement dans l'air stagnant saturé de Force des cavernes. Yôkai est aussi expressive que les rochers derrière elle.

Intérieurement, elle se récite un des versets de Seyugi. Eprouvée par ce qu'elle vient de vivre, la derviche a perdu temporairement sa combativité, L'influence de la caverne maudite pèse sur ses épaules, comme si elle avait un bantha enragé à soutenir. Ici, elle ne pourra pas danser. Il n'y a pas son dieu mais que des démons dans cette caverne. Des démons lumineux.

Un long moment passe tandis que la derviche est en train d'évaluer ses ressources. Mais cette déferlante d'émotions ne lui donne qu'une réponse possible. Elle mène le combat pour son âme ou le combat pour son corp. Un des deux et pas en même temps.

La voix grave et sensuelle de la derviche s'élève, chassant la Lumière qu'elle sent en ces lieux. Des paroles dures en une langue inconnue. Une prière pour le salut de son âme.

Udos al'doer dos ulu l' shinduago zig d' Qu'ellar Seyugi. Dal l' charnaggen d'lil Har'oloth, udos inbal fris udossta lodias naudal l' shinduago thac'zilen. Udossta ilindith... zhah udossta ehmtu. Kestal nindel dos xun naut kiel udossta menvis.

Un interrogatoire? Avec retard, elle comprends ce qu'il lui demande. Fichtre, son expérience l'a plus ébranlée qu'elle ne l'aurait cru. Malgré le tabou, Lareless aimait profondément Lorkon. Mais Less est morte selon les rites pour que Yôkai naisse. Yôkai ne veut pas d'Amour Mortel. Elle vit dans l'amour divin.

Elle ne s'essuit pas les larmes qui ont coulées, les arbore fièrement, comme Selenae l'a jadis fait.

Je suis perdue je veux juste sortir d'ici.

Ment elle à moitié, avec brio. Puis la joue demoiselle en détresse. Elle ne laissera aps les démons avoir son âme. usse t'elle jouer le même jeu qu'eux.

Vous pouvez m'aider?

Demande t'elle, désespérée. Elle a entendu la requête du gus, mais fait la sourde d'oreille. Pour le moment.

Je n’étais pas fou. C’est faux air de femme en détresse ne marcherais pas sur moi. Mais, si je voulais la ramené sans encombre, mieux valait jouer le jeu. Pourquoi je n’y croyais pas? Que ferait premièrement, une femme sur Ilum? Une femme avec cet auras noire. Bien que la, elle le cache. Ensuite, elle était la seule personne que j’ai découverte dans un accès gros rayon entourant la disparition soudaine de l’apprenti. En plus, sa manière de s’habiller. De caché son visage. Elle était trop louche. Bien que, elle soit bonne pour jouer la comédie. Je ne devais pas douter que cette stratège elle l’avait déjà utilisé pars le passé. Aussi, je dis, en feintant assez bien un ton désorganiser, surprit et gêner, je dis.

-euh….oui…euh…et bien…alors… veuillez me suivre mademoiselle…je vais vous conduire jusque a mon vaisseau. De la, on Pourrat trouvé le votre. Sinon, je pourrais vous déposer sur une planète proche. Si vous voulez?

Elle devait se douter qu’elle n’avait pas le choix. Sa c’est si elle ne m’avait pas déjà découvert. Elle sembla acceptée, puis on se mit à marcher. Personnellement, je préfère éviter le combat. Mais après tout, parfois il est obligatoire. Et en plus, je devais tenter de la capturé pour l’interrogé. Histoire dans découvrir plus. J’avais déjà un plan en tête. Certes, je n’irais pas aussi fort que mais geôlier sur Onderon, mais je ne la ménagerais pas. Bien que je n’aime pas faire sa.

*Bon, je vais tenter de la distraire. Lui faire inventer une fausse identité. Sa pourrait me gagner du temps.*

-Alors, je suis bien curieux de savoir se qui vous amène ici. Sur une planète aussi isolé et peux connus du reste de la Galaxie?

Nous passâmes un cap plutôt rocheux. Et la, le paysage s’offrit a nous. Un paysage plutôt désoler et hostile vus le climat de la planète. Un contraste entre de la roche, de la neige. Ici et la, il y avait des entré pour les cavernes. Le vent s’était radoucit. Mais le froid se fessait plus présent. Tailon se mit même a claqué légèrement des dents. Il faisait bien attention de toujours gardé la mystérieuse femme dans sa vus. Pas question de la laissé partir. Ou de lui tourné le dos pour qu’elle puisse en finir. Si un padawan avait disparut, il était de son devoir de le retrouvés. Bien sur, il pourrait partir à sa recherche, mais il serait plus simple de demandé à son assassin. Puis, je remarqua un détail sur la femme. Une ombre de tristesse qui avait apparut et disparut en coup de vent.

-euh….oui…euh…et bien…alors… veuillez me suivre mademoiselle…je vais vous conduire jusque a mon vaisseau. De la, on Pourrat trouvé le votre. Sinon, je pourrais vous déposer sur une planète proche. Si vous voulez?

Laisser ce démon découvrir Silencieuse? Ca jamais!!!! Elle ne permettra pas à ces impies de mettre un cheveux sur sa précieuse navette. Un léger sourire indéchiffrable, un peu fou, effleure els lèvres pleines.

Si, ca me vas. De navette, je n'en ai pas.

Elle aime mieux payer son retour que de les laisser la toucher. La derviche tourne la tête à gauche , puis à droite. Des padawans, des chevaliers et des maitres rappliquent. Putain, elle a choisi la journée de la convention Jedi sur Ilum ou quoi? C'est majoritairement désert.

Ces démons doivent être capable de se téléporter. Pour le moment, elle n'en voit que deux, mais deux maitres. Profil bas Yôkai, un derviche est téméraire, pas suicidaire. Et occupe toi de ton âme avant de ton corp. Parce que si ton âme se perd dans les fausses doctrines, ton corp sera perdu anyway.

-Alors, je suis bien curieux de savoir se qui vous amène ici. Sur une planète aussi isolé et peux connus du reste de la Galaxie?

Seyugi guide ma vie et mes pas. Je danse pour Lui là où il me dit de danser. Je vous retourne la question, que faisiez vous ici, vous tous.

Répond elle d'un ton neutre, statuant l'évidence. Faire parler les démons en leur faisant comprendre subtilement qu'elle est incorruptible. L'histoire de la caverne ne l'a t'elle pas assez prouvé?

Avec grâce et légèreté, la derviche suit le revanchiste. Juste hors de portée d'une arme hypothétique

Bizarre. Qui était cette Seyugit? Jamais, je n’en avais entendus parler. Et j’avais le pressentiment que, c’était pour le mieux. Elle ne m’inspirait pas confiance. Quelque jedi faisait leur apparition ici ou la, mais aucun ne posais de question. Tous trop occupés pars leur propre passer, ou inquiète pars leur apprenti qui était dans les cavernes. Certain, en ressortait avec de jeune padawan heureux alors que d’autre, c’était plus triste à voir. Bref, personne ne venait ici pour le simple plaisir. Mais, cela me rassurait d’une certaine façon. Si jamais la mystérieuse femme m’attaquait, les renforts arriveraient rapidement. Mon vaisseau était proche. Je décida de contacté quelque soldat. Bien sur, il était peux nombreux. Un petit équipage histoire de bien se défendre. Un Revanchiste avec son Padawan, ainsi que deux Mandalorien. Le Revanchiste se nommait Ferrence Bodrique. Il était un Kel Dor qui avait été étrangement élevé parmi les humains. Recueillit en bas âge auprès des esclavagiste, sa famille l’avait acheté. Mais peux après, un jedi est arrivés. Et puis, le reste de l’histoire consiste a son entrainement, sa trahison de l’ordre afin de rejoindre les revanchistes et qu’il a pris un apprenti sous son aile. Le petit lui était humain. Il était nerveux aussi. C’était sa première mission. Je n’avais pas vraiment parlé au deux Mandalorien. Appart pour leur dire les coordonné a prendre. Répondant à la mystérieuse femme, je dis avec mensonge.

-Moi? J’avais amenés mon apprenti sur la planète. Je les envoyé a mon vaisseau. Cars voyer vous, je devais chercher des réponses d’ailleurs. Vous avez tombé pars hasard sur moi. J’étais sur que vous me poursuiviez. Il est dur de différencier les prédateurs de la planète au être doué d’intelligence. D’ailleurs, si vous me le permettre, je vais communiquer avec mon apprenti.

Je m’éloigna. Assez pour qu’elle ne m’entende pas, mais pas assez pour que je la garde en vus. Je contacta Ferrence, Puis je lui dis a voix basse.

-Ferrence, le petit a disparut. Et je ramène une mystérieuse femme. Elle ne me dit rien qui vaille. On doit l’interrogé. Au fait, connais-tu quelque chose sur une certain Seyugit?

Il n’y u pas de parole. Puis, une voix roque dit.

-Non Tailon, je n’y connais rien. Bon, Vien nous rejoindre au vaisseau. Nous allons t’y attendre non loin.

-Ok Ferrence. A, ci possible, dis au deux autre lourdaud de ne pas la tuer.

Il dit sur une voix un peux amuser.

-Oui Tailon. Je le ferais.

Retournant vers la femme, je dis.

-C’est bon, il prépare les moteur. Nous pouvons poursuivre le chemin.

Repartant, je pressât le pas. J’avais hâte qu’elle soit solidement attaché. Elle était un danger potentiel, j’en étais persuader. Bientôt, nous étions rendus a proximité du vaisseau. Et, nous n’étions plus seuls. Ferrence et les deux Mandalor apparurent dans notre champ de vision.

Moi? J’avais amenés mon apprenti sur la planète. Je les envoyé a mon vaisseau. Cars voyer vous, je devais chercher des réponses d’ailleurs. Vous avez tombé pars hasard sur moi. J’étais sur que vous me poursuiviez. Il est dur de différencier les prédateurs de la planète au être doué d’intelligence. D’ailleurs, si vous me le permettre, je vais communiquer avec mon apprenti.

Ah ben oui, Yôkai se demande s'Il y est écrit conne dans son front. Non mais franchement, elle a pris la peine de se renseigner un minimum avant de débarquer. Elle pourrait le poursuivre, mais, en cet instant précis, Seyugi retient sa main. Un signe, visible et comprenable d'elle seule. Tailon passe dans un doigt de Seyugi, c'est difficile à décrire, mais c'est comme un doigt de dieu, mais version ténèbres. C'est dit, Seyugi ne veut pas que celui là meure. Pas tout de suite. Une épreuve pour sa disciple? Il n'y a que ca des épreuves depuis qu'elle est ici.

Impassible, elle le regarde s'éloigner mais la garder en vue. Franchement, si la Derviche avait voulu l'égorger, ca aurait été fait et ce n'est le sabre laser qui l'aurait intimidée. Mais Seyugi a parlé. Tailon ne peut pas deviner sa chance.

-C’est bon, il prépare les moteur. Nous pouvons poursuivre le chemin.

Silencieuse, elle le suit. Par intérêt égoiste. Si son dieu ne veut pas que celui là crève, il en va autrement de ses compagnons. Il y a peut-être un bon défi à relever. Et beaucoup à apprendre. On ne peut mieux apprendre qu'en cotoyant intimement ses ennemis. rendus a proximité du vaisseau.

Ralentissant subitement, avec un écart félin, Yôkai fixe les trois gus qui approchent. Ils ne sont pas singulièrement sympathique. Sa posture se fait plus souple, plus coulante, plus méfiante. Tel un Vornskr, la Derviche les guette.

C'est comme ca que vous acceuillez les gens?

Tailon sent qu'elle n'est pas dupe. La femme docile qui le suivait se montre soudainement rébarbative. On ne le serait à moins avec trois malabars qui la guette de cet air peu engageant.

La femme mystérieuse était sur c’est garde. Elle montrait enfin sa vraie nature. Et cette nature en disait long. Comme, le fait qu’elle devait être une combattante. Seulement par sa posture. Au loin, Ferrence et les deux Mandalorien approchais rapidement. Ferrence était d’une couleur rouge pale. Grand d’environ 1.7 mètre, il était cependant trapu. Laissant présager 1 ou 2 mètre de plus. Il portait la bure classique du jedi. Soit, brune. Avec en dessous, des habits de couleur blanche. Les deux Mandalorien eux semblais plus hostile. Tout deux était de simple soldat. Et leur armure était peux modifier. Mais un Mandalorien reste un Mandalorien. L’un avait une armure Bleu pale, l’armure que chaque Mandalor porte a leur début. Et l’autre, portais une armure de couleur grise. Tout deux était de large gaillard, mais leur différence de grandeur était flagrante. Je n’avais jamais vus leur visage. Et donc leur race. Mais un était 1.5 mètre, alors que l’Autre était 2.1 mètre. Plus loin, on pouvait voir un petit vaisseau de transport. Il était adapté au longue distance, mais pas aux gros équipages.

Prenants mais garde, je pris mon sabre dans ma main droite. Alors que la gauche se tenait près à activer le petit mécanisme rattaché a mon poignai. Si jamais elle affichait la folie de m’attaqué, je lui montrerais que je ne suis pas sans défense. Bien que je ne doute pas qu’elle le soit elle aussi. Arrivés proche de moi, Ferrence pris lui aussi son sabre alors que les deux Mandalor prire leur Blaster. Tenant l’étrange femme en joue. Il n’ouvrir cependant pas le feu.

-Bon, maintenant c’est finit les jeux. Donner nous vos armes et rendez-vous sans histoire. Le charabia habituel coi. Mais bon, c’est un Charabia obligatoire. Et puis, si vous ne voulez pas vous désarmé, il serait dommage de le prendre sur votre corps.

La femme était toujours en posture de combat. Aussi, je me déplaça afin d’être moi-même en garde.

Les yeux voilés se tournent vers Tailon. Lui, il est archi chanceux comme ce n,est pas permis que Seyugi veule qu'il vive.

Et la moindre des chose c'est de dire sous quel chef d'accusation que vous osez m'interpeller de la sorte. Je ne suit pas une menace.

C'est la vérité, son dieu a parlé, elle n'est pas une menace pour eux. Pour le moment.

Me désarmer pour me faire transformer en passoire sans aucune sommation? No way. Est ce là votre sens de l'honneur? M'exécuter sans sommation pour quoi au juste. La disparition de votre compagnon que vous m'avez citée? C'est là votre sens de la justice et après vous vous targuez d'être mieux que vos ennemis... Marrant.

La voix de la taciturne Yôkai devient rauque de trop parler. Elle prends ses dagues lasers et les dépose au sol. Mais reste agenouillée, en position d'attente. La derviche se sait en mauvaise posture, mais la mort, elle ne la craint pas. L'humaine attends que els gros tas de muscles, là, naissent les armes. Mais qu'ils fassent un geste hostile et elle se fera un bonheur de danser pour sauver sa peau. Elle fait preuve de bonne volonté, à leur tour maintenant.

Je marche sur les pas de Seyugi, dans la douce lumière de Selenae. Puisse t'il tout les deux me guider vers l'accomplissement de ma destinée.

Seulement quand ca sera fait, consentira t'elle à marcher fièrement, tête haute, vers ce qu'elle considère l'épreuve pour le salut de son âme. Que els plans de Seyugi s'accomplissent. Impassible, fière, un sourire un peu fou aux lèvres, elle attends son destin. C'est ce que Seyugi a voulu faire en l'envoyant ici. Tester son courage et sa dévotion.

Le sourire un peu fou se teinte de sérénité. La Derviche est prête.

Pas une menace? Non mais elle se prend pour qui. Cela ne fessait que renforcé mon idée sur le fait que, tout être touchant a l’obscure était fou. Elle lançait toute sorte d’accusation. Comme le fait qu’on voulait l’abattre facilement. Non mais, sa c’était la pensé probable des Mandalorien. Mais moi et Ferrence, on gardait en tête le code d’honneur jedi. On l’avait juste légèrement modifié. Moi du moins, puisque j’étais beaucoup plus impatient que Ferrence. Si on était mieux que nos ennemis? Oui on l’était. Nous au moins, on leur laissait l’espoir. L’espoir de partir, l’Espoir de revenir. L’Espoir de connaître le coté lumineux, ou le ressentir à nouveau. Cette femme n’était manifestement pas au courant du code des revanchistes. On restait jedi. On était seulement porté à la guerre. Finalement, elle cessa son charabia incompréhensible et déposa c’est dague. Les deux Mandalorien la gardais toujours en joue, pendant que Ferrence fermais son sabre et faisait venir les dagues moi, je m’approchais. Je gardais le mien en main, mais il était fermé au moins. Elle dit encore quelque mots, qui ure encore moins de sens a mon esprit que le reste de c’est parole. Je dis alors, sur un ton calme mais autoritaire.

-Vous venez avec nous. Une belle petite cage vous attend dans le vaisseau. Et puis, si vous pensé nous connaître, vous venez de nous démontré le contraire. Nous ne somme pas des sith, a toujours faire le mal. Mais ni les jedi, a toujours faire le bien. Nous somme un mélange des deux. Nous faisons le mal pour faire le bien. Mais jamais le contraire. Et en général, nous cherchons surtout le bien.

Ferrence, qui avait entendus se que j’avais dit enchainas.

-Nous faisons la paix avec la guerre. Nous recherchons la liberté a travers l’obscure. Tous devienne tranquillement prisonnier contre l’obscure, mais nous, on se draise contre lui en retournant c’est propre arme.

Puis, je termina.

-Nous somme les défenseurs de la galaxie. L’armée de c’elle ci. Nous somme les revanchistes.

Alors, l’un des deux Mandalorien, qui était surement énervés pars nos belle parole dis sur un ton lasse.

-Aller, c’est beau les deux poète, mais il faut la monté dans le vaisseau.

J’esquissa un petit sourire. Moi et Ferrence on se connaissait depuis un certain temps et on avait la même vision des revanchistes. Je ne s’avais pas pour les autre, mais nous deux, c’est ainsi qu’il nous apparaissait, et c’est ainsi que l’on était. On avait fait c’est mots ensemble. Je regarda alors la femme, puis lui montrant le vaisseau du menton, je lui dis sur un ton neutre.

-Veuille suivre les Mandalorien. Et rester docile. Ne nous donné pas de raison de vous abattre s’il vous plait.

Me retournant, je regarda le paysage. Ferrence vint me rejoindre. Il me demanda sur un ton anxieux.

-Est tu sur de se que tu fais Tailon? C’est la première fois que l’on emprisonne quelqu’un. Et cette femme est plutôt étrange. Il y a quelque chose de sauvage en elle. Un danger potentiel. Même avec sans c’est dague, elle pourrait nous causer des ennuis.

Je hochai de la tête. J’étais d’accord avec Ferrence. Aussi, je lui répondis sincèrement.

-Non, je ne sais pas se que je fais. Je sais juste que le padawan a disparut et que sa mort à causer assez de remous pour que je la sente. Retournons au vaisseau. Avertissons le conseille revanchiste à propos du padawan et de notre prisonnière louche.

Ferrence acquiesça pars un signe de tête. Se retournant, il partit. Je le suivis une fraction de seconde après. En rentrant dans le vaisseau, je trouva son jeune apprenti assit devant le poste de pilotage. Il regardait dehors. Les cheveux noir et de taille moyenne pour un gamin de son âge, d’ailleurs, sa se voyait nettement qu’il avait environ 13 ans. De grands yeux bruns, il semblait curieux. Mais il restait silencieux. Attendant le bon moment pour assaillir son maitre de question.

Elle grince des tens quand ses dagues lasers disparaissent dans la grande main d'un des membres du groupe. Il est mieux d'en prendre soin, parce que sinon, elle va lui arrachert les couilles et les lui enfoncer dans les oreilles. De voir cet infidèle tripoter ses possessions les plus sacrées sans faire gaffe la fout en rogne.

Se redressant, elle prend deux grandes inspirations, histoire de garder son self control.

Entrant dans le vaisseau, Yôkai marque un temps d'arrêt, à peine une seconde ou deux, mais juste assez pour tourner sa tête aux yeux voilés et fixer le jeune jusqu'au tréfond de l'âme.

usstan xun naut treemma ssussun xor oloth
nor l' og'elend vel'uss tempt ulu thir'ku uns'aa
A Seyugi elamshinae, ussta athiyk orn ku'lam
whol salkin xuil l' barra vel'uss belbau uns'aa dro
lu' zhal nind tlu flamgra xuil l' ulnen nind tesso

Spoiler:

Dit elle par pure bravade en sa langue natale, histoire de savoir, de un, si quelqu'un comprends, de deux, pour les faire réagir pour en apprendre plus sur leur manières.

Et elle a L'impression que ca va être très festif. En s'avancant, elle repère une bonne dizaine de trucs qui pourraient servir à leur péter proprement la gueule, mais le doigt de Seyugi a proprement parlé. Yôkai a à apprendre quelque chose de cette situation. Une épreuve à passer, elle en est convaincue.

Donc c'est anormalement docilement qu,elle se laisse encager, parce que la derviche sait pertinemment que quand elle voudra sortir, il n'y aura pas un trou de c*** qui va l'en empêcher. Que ca soit avec seulement son âme ou avec son corp et son âme, elle va prendre la tangente.

En attendant, dans sa cellule, elle s'étend confortablement au sol, les mains derrière la nuque et chante un truc pas trop flatteur en sa langue natale pour ses geôliers, histoire de tester leur patience. Non, ce n'est pas des jedis, mais elle a fait ses devoirs quand même. Des Mandaloriens et des revanchistes, ca mérite intérêt.

Les deux Mandalorien étaient mécontent. Il avait la une opportunité en or de se battre mais, l’idiot de revanchiste voulait à tout pris capturé la femme. Et eux était obliger de lui obéir tout comme a l’autre revanchiste. Le Kel Dor. Au moins, il ne devait pas faire la volonté du gamin. Les deux hommes enfermaire la femme dans la cage puis, alors que l’un deux restait la afin de gardé un œil sur elle, l’autre allais voir les deux revanchistes. Ceux-ci, avait contacté le conseille afin de faire venir l’équipe de recherche et demandés conseille pour la prisonnière. Ferrence avait confiance en Tailon. Bien qu’il doutait des aptitudes de celui-ci parfois. Il semblait être un bon petit. Il le trouvait amical et plutôt décontracté. Mais il s’avait que dans un combat, il était dangereux. A c’est coté, le petit apprenti se tenais fièrement droit au coté de son maitre. Alors que Tailon expliquais la situation. Voici se que les maitre jedi conseillaient a Tailon.

-Nous ne connaissant pas cette femme Tailon. Cependant, si se que vous dite est vrai, mieux vaux tenté de lui retirer des informations. Nous n’autoriseront pas de torture physique. Pas pour le moment du moins, mais tenté de percer son mental pour lui tirer quelque chose.

Peux après, la petit conversation était terminés et le Mandalorien dit son mécontentement a Ferrence alors que Tailon méditait dans sa chambre. Sur un ton mauvais, il dit.

-Non, mais vous nous prenez pour qui? Nous ne somme pas ici afin de jouer à la gardienne d’enfant. Déjà que on est venus seulement pour un apprenti capricieux, mais si il faut ramenés et surveiller une prisonnière insolente, cars a mon départ elle chantonnait une langue étrange, mais je n’est aucun doute sur la nature des parole. Alors pour qui nous prenez vous?

Ferrence répondit alors, sur un ton froid. Son apprenti se trouvant plus loin.

-En se moment, je vous prends pour un pleurnichard. Vous êtes un mandalorien bon sang. Même si vous aimer le combat, mieux vaux suivre les ordres. Sinon, vous pouvez oublier vos petits espoirs de bataille. Car dans une bataille, il faux suivre un plan strict.

Se retournant, il partit rejoindre sont apprenti dans sa chambre. Cet apprenti la d’ailleurs était troublé. Cette femme ne lui disait rien qui vaille, mais personne ne voulais rien lui dire. En plus des Mandalorien qui semblais plus maussades que d’habitude. Tailon qui semblait nerveux. Seul son maitre gardait une contenance. Celui-ci vint le rejoindre d’ailleurs. Et enfin, on lui expliqua la situation.

Plus loin, Tailon se levais. Il se dirigeait tranquillement vers la cellule. Arrivés devant, il prit une grande inspiration et contacta Ferrence.

-Ferrence, Vien. Nous allons commencer.

Le mandalorien fit un signe de tête. Il devait se douter que la suite serait plus amusante. Aussi, contacta-t-il tout de suite son collègue. Ensemble, il ouvrir la porte de la cellule. Gardant la femme étrange en joue. Je dis alors, sur un ton empressé.

- Suivez-moi.

Je me retournas et parti en direction d’une pièce, ou se trouvais une table que l’on pouvait sortir du sol. Dessus, il y avait de nombreuse ceinture de cuire solide. Les mandalorien s’avaient que faire de la prisonnière quand elle arrivera. Il devait l’attaché bien solidement.

Tranquillement allongée au sol, Yôkai médite à sa facon, marchant sur les chemins tortueux des ombres, rassemblant son courage pour la suite. Quand les pas arrivent et que la porte s'ouvre, la derviche voit les deux gros malabars et a un petit rire étrange, déplacé. Les yeux voilés se tournent vers les hommes. Elle voit leur air, elle voit les armes. Elle sent leur odeur d'ici. Yôkai est une énigme pour eux. Et comme toute bonne énigme, ils aiment mieux essayer de briser pour comprendre que de cerner. Du moins pour la majorité des gus qui la toisent.

Mais la position au sol de la derviche a une autre utilité. De son magnifique point de vue, elle voit les failles et les faiblesses des armures. Les joints, les articulations. Se fait une idée de la composition et du comment qu'elle pourrait faire verser le velours du fluide vital de ses geôliers. Excusez là, déformation professionnelle oblige.

Besoin de tout ce beau monde pour moi? Ce n'est pas trop flatteur, je ne pensais pas vous faire peur à ce point pour que vous ayiez besoin de sortir vos gros canons. Marrant...

C'est vrai qu'être sourd et aveugle rend imbécile majoritairement. le Revanchiste est la preuve par un plus un de la persécution dont les semblables de Yôkai ont toujours fait les frais. Les Ombres de la peur qui entourent les Derviches Seyugi, les êtres de lumière le craignent...

Elle a un fugace sourire mauvais, qui dure une fraction de seconde tandis qu'elle se lève et les suit. Pour le moment, coopérer. Jouer les faibles. Quand ils auraont leur garde baissée... Parce qu'ils finiront par la baisser. Et quand elle voit la table, Yôkai a un cri ravi avant de sauter carrément sur celle ci. Riant, elle attrappe les sangles et joue avec un peu avant de s'asseoir ingénuement et de fixer les trois hommes.

Chouette! Qui commence?

Dit elle, la tête penchée de côté, les jambes croisées, telle une gamine. Manifestement, le masochisme la branche.

Qui vient consteller mon chemin vers Seyugi de milliers de larmes de sang? Sang qui rougeoiera d'autant plus sous les larmes de Sélénae, car parmis celle ci, ma danse n'en sera que plus spectaculaire et divine... Faites moi plaisir...

Elle a un immense sourire.

Dites moi que vous n'êtes pas des amateurs. Je serais extrêmement décue

Minaude t'elle telle une gamine, avant d'éclater de son rire un peu fou. Même en position de faiblesse, elle ne semble pas se rendre compte de sa position précaire. Il y a deux choix, soit elle est folle, soit elle n'a rien à se reprocher.

La, c’était trop. Cette femme, qui ressemblait maintenant plus à une gamine, était totalement folle. Elle semblait aimer le masochiste. J’eu envi de pleuré de désespérassions devant cette scène très troublante. Mais je me contins. Je pris tout de même un air découragé. Ferrence en rentrant pensa surement que la femme s’était échappés, car il sorti son sabre. Puis, voyant qu’elle était bien attachée avec un air folle, il me lança un regard interrogateur que j’ignora. Son apprenti n’était pas avec lui. Sage décision, mieux valait qu’il ne voix pas sa. Du moins, tant qu’il ne serait pas plus vieux. Les Mandalorien semblais impatient de commencé. Il avait hotté leur armure lourde et se revêtait d’un tablier en cuir tanné par les années d’utilisation. Du sang était encore dessus. Vieux et séché. D’ailleurs, une odeur nauséabonde se dégageait de la pièce. Elle n’en était pas à sa première utilisation.

*Plus la guerre avance et plus nos méthode son barbare. Je commence à craindre que nous ne devenions nous même des sith. Je n’adhère pas a c’est idée de torture. Mais bon, un ordre reste un ordre.*

Je m’avança. L’un des deux Mandalorien était sorti chercher les instruments. J’en profita pour détailler l’autre. Il était de couleur noir avec des cheveux coupé court de couleur noir aussi. C’est yeux était foncé. De couleur brun. LE plus petit des deux. Il semblait moins menaçant et moins imposant sans son armure. L’Autre arriva. Un grand homme de couleur brune avec des cheveux châtain. Plutôt vieux, il semblait user par les années d’entrainement et de combat. Même sans son armure il était imposant. Il amenait avec lui une petite table sur roulette qui faisait un bruit infernale en arrivant. Grinçant sans arrêt. Seulement en arrivant, mais oreille fur relâché. Un petit cillement persista cependant. Sur la table, une foule d’instrument de torture s’y trouvait. Des couteaux, des acides, des bâtons avec des piques. De l’Alcool afin de désinfecter et brulé. Bref, un arsenal bien fournit pour un bourreau. Je m’avança vers la femme. Elle semblait encore plus folle que tantôt juste a la vus des arme. Ou c’était mon imagination qui me jouait des tours? Je me retournas vers Ferrence et lui signala le couloir. Il répondit a l’affirmative et parti dans cette direction. Je dis alors au Mandalorien.

-Commencé doucement. Histoire de lui ramener des souvenirs. Et pour bien débuté l’interrogatoire.

Je prenais un ton sadique que je ne voulais nullement utilisé. Rejoignant Ferrence dans le corridor, je dis sur un ton nerveux.

-Merde… sa s’annonce mal. On Vien ici pour prouvé a un simple apprenti qu’il n’est pas prêt et on capture une espèce de folle. Tout cela me dérange. Surtout que c’est la première torture que je fais de ma vie. Je me sens mal d’infligé de telle douleur. Même si elle le mérite.

Il dit alors sur un ton compatissant.

-Tailon, reprend toi. Tu es un excellent chevalier jedi. Et bien que cette méthode soit barbare, les sith l’utilisent. Alors nous aussi. Tu la dis toi même, nous combattons l’obscure par l’obscure. Tu perds ton jugement. Ne pense pas qu’a toi. Pense au reste de la galaxie.

-Tu a raison. Allons finir cette situation rapidement. J’ai hâte de rentré sur Dxun. Même si c’est dangereux, sa reste ma maison.

Rentrant a nouveau dans la salle, je découvris un des mandalorien a coté de la table, alors que l’autre écrasait férocement avec c’est main le pied de la femme. Déplaçant très surement des nerfs et les replaçant. Cela devait être douloureux. Et elle devait le pensé aussi. Je dis sur un ton qui se voulait présent et obéissant.

-Votre nom et la raison de votre venu ici.

Le Mandalorien avait stoppé. Il préparait déjà les instruments pour la suite.

Y a t'il quelque chose de plus difficile que de se torturer soi même tout en esssayant de ne pas faire preuve de trop d'enthousiasme? La joueuse a comme dû faire maintes recherches pour la cause.

En plus c'est difficile torturer quelqu'un qui pense que la douleur est une épreuve de Foi et qui l'acceuille et l'accepte comme une cinglée qu'elle est. Les fanatiques sont tous des fous remarque. Donc, on va essayer de faire un truc crédible. Résultat non garanti.

La douleur des os déplacés et des ligaments étirés remontent comme du feu à son cerveau. La Derviche pourrait se mettre en transe, ralentissant son débit cardiaque et sa respiration jusqu'à simuler la mort mais ca serait une défaite aux yeux de son dieu. Yôkai a une épreuve à subir et elle l'acceuille avec joie. Elle entonne même un hymne à la gloire des Ombres du Dieu, dans sa langue natale, of course.

Il n'y a pas de lecon valables sans douleur psaume 5 verset 6 du grand livre de Seyugi. Et le Mandalorien arrête, tandis que les deux Revanchistes reviennent.

Votre nom et la raison de votre venu ici.

Yôkai je l'ai déjà dit, Seyugi m'a guidée ici. Et j'appelle ca de la discrimination, la planète est pas propriété privée que je sache.

Elle ricane, heurtant le point qui chicote Tailon.

Vous vous trouvez vraiment mieux que les ténèbres dont vous vous targuez d'être les opposants? Vous appelez justice ce simulacre, démons? Faites ce que vous avez à faire et vivez avec votre conscience, parce que je sais que je suis en paix avec mon Dieu, je fais le bien comme vous faite le mal, vous ne tirerez rien de plus de moi. Seyugi marche avec moi...

En effet, pour l'esprit fanatisé de la Derviche, tuer , n'importe qui, c'est bien. Elle leur offre la généreuse opportunité de danser avec Selenae et Seyugi, un peu comme les guerriers vont au Valhalla. Ca donne l'idée.

Un des Mandaloriens se penche sur la dame et lui découpe plus ou moins proprement ses vêtements, promenant la lame sur le corp qui se dénude peu à peu, un corp musclé, pas joli selon les standars humains typique, masi une poitrine ferme et haut perchée, sur un corp musclé par les combats. Une musculature fine, déliée et racée. Quelque chose dont on ne se serait pas attendu sous ces amples vêtements. Le plaisir avec la torture est de causer le plus de douleur possible en faisant le moins de dommage possible, que la victime puisse avouer après que son seuil de tolérance soit dépassé.

Le bourreau s'arrête un brin, trempe la lame de son scalpel dans un acide à batterie léger, qui va ronger doucement la chair en surface, laissant les terminaisons nerveuses faire leur boulot. Il recommence, tracant d'élégantes arabesques sur la peau déjà couturée de cicatrices, peau qui bouillonne légèrement et fume, répandant une odeur infecte dans la pièce.

Yôkai continue son chant, ce qui énerve le deuxième Mandalorien qui fini par lui foutre un baillon. Non mais elle va se taire?

En elle même, la derviche ressent chaque passage de scalpel. Une partie de son cerveau hurle de douleur, la seconde prie frénétiquement son dieu tandis que la troisième, déformation professionnelle oblige, calcule les lésions causées et combien de transe il lui faudra pour retrouver son autonomie. Sans compter qu'elle enregistre la face de son bourreau pour le lui faire payer au centuple.

Le sang perle sur la peau pâle, coule en fines rigoles sur la table tandis que le deuxième Mandalorien s'ajoute à la fête, passant sa lame sur ses cheville, remontant le long de ses mollets, pour couper derrière le genou et remonter dangereusement près de son entrejambe, il change d'instrument prend une lime ronde, arrangée comme une râpe à fromage extra fine, de dimension assez conséquente et l'insère avec violence dans la partie intime de l'humaine. La douleur est immédiate, comme si des milliers de rats prenait son dedans comme nid et gratteraient soigneusement les paroies vaginales pour se faire de la place douillettement.

Malgré tout son entrainement, la derviche a le souffle coupé et se cambre pour se soustraire au sévice. Sa peau déjà malmenée se couvre de sueur tandis que le premier Mandalorien a arrêté et regarde l'effet de la nouvelle torture. L'intérieur des cuisses se teinte bientôt de rouge sombre. Même avec un baillon, on n'entend pas la derviche pousser le moindre son. C'est évident qu'elle souffre un max. Passez vous une Lime grossiere dans n'importe quel orifice de votre choix, pas sûre que ca serait plaisant.

Premier truc qu'elle dit, la voix coupée, quand la torture prend fin, est en sa langue natale. Parce que de son point de vue à elle, le bourreau a plus qu'aimé ca, c'est visible dans le pantalon.

Usstan tlun Yokai, Usstan tlun natha trelao an'ar. Ulnin, usstan orn inbal dosst guts ulu cal, usstan swariy ol pholor ussta vlos lu'

Spoiler:

Et elle lui sourit, toujours fou et fanatique, ne laissant pas transparaitre sa douleur ni sa faiblesse.

Qui était Seyugi? Peux importe. Si elle pensait qu'hoter la vie à des gens pouvait faire le bien… Elle n’avait pas tout à fait tort en y repensant bien. Tuer une personne qui fait le mal. Qui montre au autre la douleur et la souffrance. C’est bien sa. Mais hoté la vie au premier venu. Seyugi était un dieu apparemment. Le genre de dieu qui est fou. Ou plutôt le peuple qui les. Peux importe, je commençais à être fous. Et c’était elle qui me rendait folle. Ainsi, elle se nommait Yokai. Je tenta de me rappeler quand elle me l’avait dit. Mais, le souvenir ne me revenait pas du tout. La regardants, je dis sur un ton neutre.

- Je n’éprouve aucun plaisir à faire ce mal. La est la différence. Je ne suis pas en paix avec moi-même…. Je ne les jamais été. Ce n’est pas cet acte qui va empirer ma peine. Bon… et bien Yokai, si c’est tous se que tu a nous dire, nous allons employer des ''mots'' plus physique. Je vais vous poser d’autre question tantôt.

Me reculant, je m’adossa au mur. Mais, je n’étais pas prête a voire un tel spectacle. Du moins, je n’étais pas préparé mentalement. Aussi, je sortis dans le couloir. Même la, on pouvait aisément entendre le chant lugubre de Yokai. Ferrence me regarda d’un air triste. Il pensait à la même chose que moi. C’était inconcevable. Pourtant, quand je rentrais dans la pièce tantôt, se serait a moi et a lui de jouer. Et la torture n’était pas notre point fort. Cependant, on avait un avantage face au Mando. Nous pouvions entrer dans sa tête.

Une heure après environ, je rentra dans la pièce. Je fis signe au Mandalor de stoppé. Me regardant, il sortit la lime de la partie intime de Yokai. M’approchant, je défie son bâillon. Elle se mit alors a chanté. Je ne doutais pas du champ. Surtout envers le Mandalor excité. Je regarda le Mandalor dans les yeux puis je lui dis.

-On se calme messieurs. Aller vous laver. On prend le relais. Si jamais j’ai encore besoin de vos services, je fais appel à vous.

Il fit un signe de tête. Puis les deux Mandalorien sortirent. Me retournant, je fis signe a Ferrence de commencé. Pendant se temps, je versais de l’alcool sur les plaies afin de les désinfecté. Et j’enlevais l’acide de certaine plaie. Nul doute que ce devait être douloureux. Mais en même temps, cela devait faire du bien. En peux de temps mais main était rendu plein de sang. Le seul endroit que je n’osais approcher était la partie intime de Yokai. Pendant que je fessais sa, Ferrence dit.

-Alors, satisfaite? C’est deux brute l’était elle. Étiez vous seule ma jolie? Et par le même fait, ou se trouve le padawan qui a mystérieusement disparut en même temps que vous ayez apparut?

Elle semblait ne pas vouloir parler. Alors, toujours en lavant, je rentra mais doigt a l’intérieur d’une plaie. Je les rentrai tellement profondément que je toussa l’os. La surprise du moment lui fit lâcher un petit cri. Mais elle ne parlait toujours pas. Alors, Ferrence ce leva puis lui détacha une jambe pour la rattaché a un autre endroit. Il détacha l’autre jambe et la rattacha elle aussi à un autre endroit. Il fit de même pour les bras. Alors, je me leva. Lui, empoignant une manivelle, il commença a tiré. Écartelant tranquillement les musclé. On ne voulait pas brisé ou disloqué les os. Seulement rendre plus douloureux le moment. Car moi, j’allai rentrer dans sa tête. La brisé de l’intérieur.

Me concentrant, j’insinuai tranquillement mon esprit. Elle c’était montrée une protection consciemment ou inconsciemment? Peux importe. La seule chose que j’y retrouvais, c’était Seyugi. Me concentrant, je tenta de percer cette barrière. Mais elle résistait. J’insinuais des mots dans son esprit. Je créais une illusion certes mauvaise, mais de voix lui parlais. Lui disait que Seyugi l’avait abandonné. Qu’elle était mieux de révélé si elle était seule ou pas. Mais la barrière ne baissa toujours pas. Je n’étais pas le meilleur en matière de contrôle mental. Aussi, après je ne sais combien de temps, je ressortis de sa tête. J’étais en sueur. Elle aussi. Regardants Ferrence, lui aussi était en sueur. Il relâcha alors le mécanisme. Il n’avait brisé aucun os. Déchiré aucun muscle. Mais les blessures qu’elle avait c’était aggravés. C’était à mon tour. Ferrence se mis face a elle, puis la fixa dans les yeux. Moi, je prix une pince. Puis, lui agrippant un ongle sur les doigts, je tira tranquillement. Au début, il résistât, mais tranquillement il sortit. Nul doute que cela était douloureux. Je sais, je l’avais déjà vécu. Les ongle que je ne ferais pas seraient ceux des pieds. Cars les mains sont soutenables. On peut encore tenir des trucs, combattre. Même frappé à main nus. Les pieds on a de la misère a marché.

L’ongle complètement sortit, je passa a l’autre. Entre les deux cependant, je hota mon manteau. Un a un, les ongle tombaient. Cela devait être douloureux. Quand il n’y eu plus d’ongle sur les mains, je mis la pince sur la table et en pris deux plus petite. Elle était tenace et retiendrait n’importe coi. Approcha la pince du sein de Yokai, je pris le bout avec la pince. Puis, accrochant la corde pour qu’elle maintienne la pince solidement fermé, je la relia à une barre solide plus haute. Je tira sur la corde, se qui tira sur le sein et donc le bout. Cela devait être particulièrement douloureux. Je fis de même pour l’autre sein.

Je n’éprouvais aucun plaisir à faire cela. Et Ferrence non plus d’ailleurs. Je regarda Yokai. La sueur et le sang coulaient à flot. Me levant, je pris la manivelle et la tourna. Pas assez pour disloqué les os, mais juste assez pour être douloureux. Je me demandais se qui se passait dans la tête de Yokai.

Une ombre passe de pensé en pensé. Je ne sais pas se que Yokai ressent, mais cet ombre ne laisse aucun doute. C’est la mort elle-même qui regarde sa vie. Elle ne sent plus le jedi qui tente de rentré dans sa tête, mais elle récent encore la douleur de l’extérieur. L’ombre bouge. Et Ferrence est contant. Il avance tranquillement mais difficilement. Et Tailon semble faire du meilleur travaille que lui. Ferrence est heureux de ne pas être à la place de Yokai. Elle devait regretter d’être venus en ce lieu.

Finalement, Ferrence me regardas. Relâchant la manivelle, je défie les deux cordes qui relâchèrent le sein. J'hota les pince et les déposa sur le plateau. Regardants Yokai, je dis.

-Alors, aller vous finalement parlé? Vous connaissez nos question.

Alors, satisfaite? C’est deux brute l’était elle. Étiez vous seule ma jolie? Et par le même fait, ou se trouve le padawan qui a mystérieusement disparut en même temps que vous ayez apparut?

Vous L'avez dit. Disparu. En ces cavernes je n'ai trouvé que les démons de mon passé. Toi, plus que tout autre, tu devrais le savoir mon mignon. Il y a un édit, une Loi divine qui empêche les miens de poser la foutue patte sur ces lieux (corrompus) sacrés au fait?

Les doigts qui entrent dans sa chair coupe ce qu'elle allait dire d'autre. Bon, on le connait, le classique de la torture. on fait un trou et on s'éclate dedans. La derviche ferme alors les yeux, s'immergeant en elle même. Mine de rien elle se plonge dans une transe extatique, limitant les dégâts de la torture. Crier? Une perte d'énergie face à ces démons. Pourquoi ne pas se guérir? Elle devrait se plonger trop avant dans les voies ténébreuses de Seyugi, elle devrait se couper de son environnement.

Mine de rien, même si elle ne parle pas, l'humaine a une conscience aigüe de ses articulations et de ses membres étirés. Et elle note aussi que malgré ses paroles, Tailon n'a aucun coeur à l'ouvrage. Saleté d'impie. Ca ne crois en rien. Inversement, elle se serait montré d'un naturel archi délicat et inventif pour lui montrer la Voie des Larmes. Elle ne se préoccupe pas de l'assistant, du moins, pour le moment.

Et alors viens l'attaque mentale. Délaissant tout simplement son corp, la derviche va arpenter les remparts de son esprit. Face à Tailon, si on traduit en image les méandres du psychiques, il y a l'équivalent une vaste forteresse aux murs sculptés à même une immense montagne, représentant la Foi en Seyugi. Une forteresse sans porte. Pourquoi voudrait elle en sortir anyway? Pure autarcie spirituelle. Le Monastère a bien fait son boulot.

Et, petite figure solitaire en haut du dongeon, une mince silhouette de femme... Avec une grande silhouette d'homme, terrible à regarder, aussi noire et sombre que la nuit, que la Mort. Certains pourraient appeler ca le Côté Obscur, mais pour Yokai c'est simplement son dieu. Son dieu avec lequel elle communie.

Les voix que Tailon lui envoie se fracassent contre les murs de sa forteresse. Non, l'humaine ne doute pas un seul instant que Seyugi est là. Elle le sent autour d'elle, ressent son amour au travers de cette épreuve qu'il lui impose. Amour qui va au rythme du sang qui coule de ses plaies et de ses cuisses. Il y a une raison à cela. Et sous le regard de son dieu muet, La derviche s'interroge. Sur le pourquoi du comment. La Voie des Larmes, elle a déjà connu avec Lorkon. Et elle a choisi Seyugi. La voie du Sang, elle est en train de la vivre.

Mourir pour vivre... Vivre pour mourir... Mourir pour vivre...

Les voix de Tailon commencent à l'agacer. Du haut de sa tour, elle se tourne vers la lumière grise qui représente l'esprit de son bourreau. Amassant sa volonté, la derviche lui hurle à la gueule. Carrément, le ''poussant'' hors d'elle.

ENLÈVE TES SALES PATTES DE LÀ CONNARD!

Il n'y a de la place que pour deux personnes dans sa tête. Et Tailon n'en fait aucunement parti. Le contentement du dieu lui fait l'effet d'une caresse chaude de douceur. Oubliant sa douleur, Yôkai se met à ronronner.

Il lui faut un peu de temps rémerger, aussi le Revanchiste en est rendu à son 5e doigt. La Derviche a une conscience aigue de la douleur de ses plaies à vif, rendues encore plus avant par le sel de sa transpiration. Dite transpiration qui lui donne la chair de poule, rendant encore plus chaud le sang qui coule d'un peu partout, sur ses jambes, le long de son bras.

Avec un léger grognement désapprobateur, elle évalue d'un oeil critique la perte sanguine, les étoiles de ses prunelles folles transparaissant légèrement sous le voile sacré.

Quand on torture les ongles... On prends une pince fine et on y va de gauche à droite... Ca dure plus longtemps, ca saigne moin et les coins internes des ongles entrent dans les chair, accentuant la douleur. Celui qui t'a montré ca est un incapable.

L'odeur âcre des deux mâles lui parvient aux narines. Ils n'aiment pas ce qu'ils font c'est évident. Aussi quand tourne t'elle la tête vers Ferrence, face à elle, soutient t'elle sans broncher le regard du démon tandis que , sous elle, les flaques rouges s'agrandissent. Sa peau est pâle, moite. Sa respiration rapide. La victime sait exactement quel montant de dommages corporels qu'ils sont en train de lui infliger. Et ca devrait être rassurant? Je en crois pas.

Tailon, plus tard, se repentira de ne pas lui avoir arraché les ongles des pieds.

Aux pinces qui se referment brusquement sur ses tétons, Yokai tressaille imperceptiblement. Un sourire fou aux lèvres, elle se doute bien qu'il va y avoir une attaque conjointe. Abandonnant encore une fois de plus son corp, la derviche retourne à la forteresse de son esprit. Pour les bourreaux, elle s'évanouit purement et simplement, un filet de sang lui coulant de la bouche.

Seyugi n'est pas là de corp, mais sa présence est plus présente, comme un fleuve tumultueux est audible de loin. Elle est là, laisse l'impudent s'avancer. Cette fois, elle n'est pas derrière ses murailles, mais elle arpente la contrée de son esprit librement, Sachant ses secrets (et la mort du padawan) Bien en sûreté. La meilleure défense c'est l'attaque.

L'Ombre de La Mort qui juge sa vie est son dieu. Le seul qui a main mise sur son corp et son âme. Non, elle ne sent pas le jedi entrer dans sa tête, mais elle sent le pied botté de celui ci remuer une pierre de ses souvenirs, puis une autre. Souveniors sacrifiables, sans grande importance. Des trucs de mioches... Des trucs d'avant... Terrible, la conscience de Yokai se glisse derrière Ferrence, lui coupe toute retraite. Il ne sent pas que la victime ait des regrets, mais lui, il en aura de s'être aventuré en ces sombres contrés que sont l'esprit de la derviche.

Vous me torturez parce que vous croyez que j'ai tué quelqu'un qui vous est cher... Si vous aviez eu des preuves, vous m'auriez tué. Ou sont vos beaux principes de justice? Sache ceci. Si je l'avais tué, je n'aurais pas suivi d'aussi bonne foi. Vous auriez subi le même sort, ou j'aurais crevé en essayant. Vous êtes pires que ceux dont vous vous targuez d'être les opposants...

Ca l'a les accents de la sincérité. Surtout que pour Yokai, quand elle tue des gens, pour elle elle ne les envoie pas à la Castagne, mais les fait plutôt danser avec Seyugi pour l'Eternité.

Et elle laisse son esprit se disloquer, glisser hors de la portée de Ferrence ou de Tailon, se glisse loin, très loin en elle même. Ralenti son poul, sa respiration.

-Alors, aller vous finalement parlé? Vous connaissez nos question.

Elle ne répond pas, il n'y a qu'un corp mort au bout des cordes, jumelé au lac de sang au sol. Il y a un impératif en torture. Faire saigner le moins possible. Et la lime, elle, a caus. d'important dommages mine de rien.

Tailon a deux choix. Soit la tuer, soit la sauver. Si elle est coupable, elle mérite la mort. Mais il n'a aucune preuve et si elle est innocente, ce qu'il a fait est pire que ce que les Siths font. Parce qu'il aura tué un innocent.

Prenant une grosse inspiration, je hochai la tête de gauche à droite. Yôkai avait des propos acérés. Certes, il ne me blaisait pas vraiment. Il blesserait celui que j’avais été. Non celui que je suis. Mais, il me fessait réfléchir. Notre méthode était plus animale qu’a l’habitude. Cependant, je ne perdis pas mon but en tête. La session serait finie pour aujourd’hui. Elle avait assez souffert. Son corps était presque mort. Mais, ce n’était pas irréparable. Couteux peut être, mais je pourrais l’aider a mieux se remettre. Je n’avais pas confiance en elle. Vraiment pas. Je dis alors à Ferrence sur un ton strict.

-C’est fini. On arrête. Pas question de poursuivre une telle machination. Nous allons mettre son état stable puis, nous iront nous reposé. Je déteste utiliser de telles méthodes pour obtenir une information. Surtout avec c’est ‘’remontrance’’ qu’elle rejoindre le coté lumineux et elle comprendra notre point de vus. En se moment, elle fait juste penser se qu’elle sait. Et moi, je sais une chose, elle est folle. Surtout pour me dicté comment bien torturé.

J’avais été sur le point de pleuré tellement que j’étais désespéré. A la place, je m’étais retenu. Mais il m’en avait fallut peux. Ferrence me répondit sur un ton las.

- Ok, amenons-la dans la salle médicale. Sa ira surement mieux pour la soigné.

Moi et Ferrence commencèrent alors a détaché la captive. En peux de temps se fut fait. Ensuite, la soulevant par la force, il la déplaça dans une pièce non loin. Je les suivais de près et je récoltais le sang qui goutait avec la force. Finalement placé, je plaça le sang au dessus d’une cuve qui se vida. Utilisant le matériel médical, je commença par lui administré du sang pendant que Ferrence commença tout de suite la guérison grâce a la force. Un flot de sang en continue dans c’est veine, je rentrai moi aussi dans la force. L’utilisant afin de soigné les plaies majeure avec l’aide de Ferrence et cesser le saignement des plaies mineur. Bien sur, elle resterait faible pour un bon moment, mais au moins elle ne mourra pas. Sortant de la force, je fis signe à Ferrence de l’attaché. Cependant les ceinture de cuir semblais moins résistant et plus propre que c’elle de la salle d’interrogation. Appelant l’un des deux Mandalorien, je le fis venir afin qu’il la surveille. Le temps qu’il arrive, Ferrence lui avait mis une robe afin de cacher son corps nue. Tout cela avait duré une heure en tout. La torture encore plus.

Tout deux assit dans le cockpit, nous regardions au dehors. Le temps c’était gâté. De vent violant soufflait alors que la visibilité se restreignait. On voyait a un mètre et pas plus. Tout deux bien calé dans les fauteuils peux confortable, restant silencieux la pensé voyageant dans un univers sombre, le seul son brisant le silence était un doux murmure du vent au dehors ainsi que un bip sonore obtenant au radar. Cependant, le moment fut dérangé par une communication. C’était le conseille revanchiste sans aucun doute. Ferrence fut le premier à avoir le courage de ce levé. Il alluma tout de même le contacte.

-Maitre? Vous nous avez contactés?

Les maitres semblaient avoir un visage soucieux. Quelque chose clochait. Le plus vieux dit.

-Nous avons un problème. La navette envoyé afin de retrouver l’apprenti c’est écrasé non loin d’ici. Nous n’avons plus de nouvel depuis. Aller vérifier se qui est arrivés puis revenez pour faire votre rapport. Si vous le devez, prenez les membres de l’autre vaisseau avec vous et revenez tout de suite ici avec la prisonnière.

Je me levai à mon tour. La perspective de sortir à l’extérieur ne me plaisait guère. Je devais parler.

-Vus la température a l’extérieur, cela ne me plait guère. C’est pratiquement une tempête. Pas étonnant que le contacte soit perdu. Pour la prisonnière, on na obtenus aucune preuve.


Cependant le conseil n’était pas le plus clément. Aussi il dit avant de fermé le contacte.

- Nos ordres restent les même Tailon.

C’était fâcheux. Il fessait un temps de mort a l’extérieur, on avait peut être leur dernière position mais aucun autre indice. Le temps de recherche serait long et dur. Aussi, seule moi et Ferrence sortirons à l’extérieur. Puisque il fallait une garde pour surveiller Yôkai et que l’apprenti de Ferrence était encore trop inexpérimentée. Les préparatifs furent cours. Un manteau pour se réchauffé, plusieurs en faite. Ainsi que tout l’arsenal pour se protéger contre la tempête.

Finalement nous fume a l’extérieur et je sus que le temps serait long. Le vent puissant m’obligeais à luter contre avec tout mais force. La froideur du lieu traversait mon habit et venait me geler la peau. Me mordant douloureusement. J’utilisais un peux la force afin de m’aider. Mais le temps serait long…. Très long.

Un froid.... Des cellules qui se regénèrent vitesse grand V. Des cellules sanguines pour la plupart.Yokai s'est déjà demandé si elle raccourcissait sa vie en forcant ses cellules à se regénérer plus vite. Mais ce n'est que pure question théorique, elle n'a pas beaucoup de Derviches de comparaison mettons. Les siens ne courent pas les rues si vous suivez ma pensée.

Elle a cependant un sourire intérieur, du haut des remparts de son esprit déglingué, elle rit à s'en faire péter la sous ventrière. Et voilà que les mignons l'aident en plus. Elle sent sa vitalité remise avec rudesse en son enveloppe charnelle. Il ne lui reste plus que le peaufinage à faire en fait. Un petit ajustement de molécules et on est de retour!

Combien de temps après que les deux revanchistes aient quitté? Elle n'en n'a aucune idée. Elle ne sait même pas s'ils sont partis en fait... Et la derviche s'en contrebranle. Testant ses mécanismes internes, la jeune femme trouve que c'est assez. Il y a bien quelques plaies mineures, mais ca peut attendre. Ca ne met en péril ni sa dextérité, ni sa rapidité.

Seyugi chante à ses oreilles, avant de se taire abruptement, Son ouïe s'affine, ses narines s'évasent, goûtant les odeurs. La sienne, une autre, plus âcre, plus masculine. Une sensation de frottement sur sa peau. Une sangle qui lui maintient le poignet.

Immobile, les yeux fermés, Yôkai se concentre sur son environnement, mine de rien, son poignet se tourne, les doigts effleurent discrètement l'inox de la table d'opération si l'on pourrait dire. Ca sent les médicaments... donc, infirmerie probablement... D'accord.

Une ombre se profile au dessus d'elle, soulève son voile légèrement pour voir s'il y a quelqu'un... non, c'est présentement en dérangement, veuillez vérifier le numéro et recomposer de nouveau. Il y a un bref éclat argenté habilement dissimulé dans la main de la captive quand il se redresse. Bien oui, le coup classique du garde chiourme berné par l'otage inconscient.

Avec un grognement, le voile retombe et les pas s'éloignent. Puis, le bruit assourdi d'une console portative se fait entendre.

Ouvrant subitement les yeux, Yôkai ose un oeil. Le gus est là, de trois quart dos, en train de jouer à quelque chose de débile sur son datapad. Et bien bravo mon mignon. Lentement, pour ne pas attirer son attention, l'humaine regarde ce qu'elle a en main...

Une lime à ongle... Qu'est ce qu'un mâle peut bien foutre avec une lime à ongle? Mais bon, tout est à prendre.

Prenant une aussi discrète que profonde inspiration, la derviche commence à faire jouer ses muscles, testant non la solidité des liens, mais plutôt s'ils l'ont attaché serré très serrré ou trop serré.

(a suivre)

Après environ 15 minutes d'efforts discrets mais intense, ca y est. Les mains sont libérées. Grâce à Seyugi, l'autre ne l'a pas attachée serrée. Si ses chevilles peuvent sortir sans problèmes, les poignets ont du être un peu étiré. Mais elle y est arrivée, surveillant toujours son geolier...

Yokai aurait été suprise d'apprendre qu'il joue à une version star warsienne de sims city.

...De trois quart de dos qui jette un oeil sur sa personnes aux cinq minutes. Donc, minutage parfait.... Notre Zorro fanatiqueattends donc patiemment, comme seul les extrémistes savent être, qu'il fasse sa ronde visuelle, avant de commencer son ode à la gloire de Seyugi.

Les pieds nus se posent discrètement sur le sol tandis qu'elle détache son voile d'un geste doux, afin de ne pas attirer l'attention, c'est lui le blasphémateur qui a osé foutre ses sales pattes sur ses lames sacrées. L'impie qui a osé souillé le sanctuaire de son temple crapahutant ailleur, mais aps loin. Elle sent son odeur infecte. Il va payer, ils vont tous payer... Mais elle se doit d'agir vite. Histoire de diminuer els risques.

Non pas que Yôkai en ait quelque chose à foutre des risques, mais si elle trinque, qui va exécuter la fureur divine? Elle est certaine maintenant que sa torture ait eu un but. A part éprouver sa foi, donner la chance à ce revanchste nommé Tailon de prendre conscience de la divinité. Elle aurait pu lui répandre la bonne paroles'il L'avait voulu. Mais il 'en avait que pour son... comment ils appellent ca les novices eux?... Padawan, oui c'est ca... Il a préféré un mortel aux voies divines et il doit être dûement averti.

L'heure de la danse est venue.

Yôkai voit bien la grosse lame laser du malabar. Maistout le monde le sait, gros laser ptite kéket... Mais bon...

Malabar numéro un voit passer un voilage sombre, translucide. Portant la main à sa gorge, il n'a pas de poigne sur le tissus qui y est entortillé. Se relevant subitement, apportant avec lui le poid plume qu'est la danseuse divine, il essaie de prendre son sabre laser, mais il n'est plus là. C'est ca être distrait! Se débattant, il accroche un truc qui tombe en faisant un bruit d'enfer, il essaie de hurler, mais le tissus qui l'étouffe, boa constrictor autour de sa gorge, l'en empêche.

Pris entre le mur et sa victime, Yôkai a la pensée que ca va être trop long. Tirant la lime à ongle de sa poche de robe, arc boutée contre sa victime pour maintenair la tension sur le tissus divin, elle l'abat violemment, ponctionnant, déchiquetant la jugulaire comprimée. L'artère commence alors à glicler viollemment, envoyant des traits de liquide rouge un peu partout.

Changeant de main, l'assassin refait son manège de L'autre côté. Le gros tas n'a eu aucune chance. Il finit par arrêter de bouger. Au chrono, ca a pris 2 minutes trentes. Une autre minute pour ramasser 4 trucs précis dans la pièce.

Enlevant la robe impure, à poil si L'on excepte la besace qu'elle s'est fabriquée à la va-vite la folle s'évanouit dans les coursives, à la recherche des autres victimes.

L'air glacé sur sa peau est la caresse de son dieu sous la forme du froid de la mort. Elle a la chair de poule, ses seins dressés aussi arrogants que leur propriétaire. Les pieds nus ignorent le froid du plancher tandis qu'elle se meut avec une grâce et un silence surnaturel. Certains diront que c'est La Force, elle répondrait d'un air méprisant que c'est simplement Seyugi.

Dans ses mains, son voile et une lourde cuvette d'acier. Yokai n'utilisera ni ne touchera l'arme impie de feu le Mandalore. Ce laser souillé... C'est un blasphème. Une lame si longue est un défi au dieu qu'elle sert.

La fanatique se renfonce soudainement dans une encoignure, des pas s'en viennent... En fait c'est le 2e qui arrive pour relever le premier... Ou voir pourquoi il y a eu tant de bruit.... Peut-être pense t'il s'amuser avec son corp attaché comme tout à l'heure.

Elle ne se rappelle trop bien la bosse dans le pantalon. Un sourire sauvage dévoilent les perles blanches de sa bouche tandis que les diamants noirs de ses prunelles luisent de folie pure. La navette est quand même assez grande, avec un peu de chance, ou de malchance, on ne lui tombera pas dessus... Peut-être est ce qu'elle recherche dans le fond, que tout l'équipage lui saute dessus pour les buter ou mourir en essayant. Une ultime danse divine qui va apporter la peur dans le coeur même des ennemis du culte.

Tel un chat sauvage, La derviche emboite le pas au gros malabar. La largeur étroite de la coursive l'avantage elle, le gros en prenant quasiment toute la place, il n'aura pas la latitude nécessaire pour avoir des gestes déliés. La danseuse divine note aussi qu'il n'est pas aussi grand qu'elle l'aurait cru d'abord sans armure...

Sans armure....

BLONK!!!!

Un bruit creux qui se répercute en échos faiblissants le long du corridor. Un coup phénoménal non pas sur le crâne, mais à la base de la nuque, là où les vertèbres sont les plus fragiles et vulnérables. Le contenant proteste, se déforme, mais tient bon. Il faut donner au crédit du colosse qu'il tient encore sur ses jambes, porte la main à sa nuque malmenée et se tourne vers elle, le visage crispé de douleur et d'interrogation surprise

a l' elghinn lu' barra
je t'offre la mort...

BLONK!!!

Un coup de cuvette en remontant lui pète le nez, repeint une partie du plafond en rouge tandis qu'il s'écroule plus ou moins gracieusement. L'analogie qui vient à l'esprit de la derviche est celle d'un arbre qui s'Écroule.

usstan gultah l' e'et lil'alure ulu dos. Zhal dos lil'alure wun seyugi erl'elee
je t'offre la dance éternelle. Puisse tu danser dans l'étreinte de Seyugi

Un pied nu écrase impitoyablement les couilles du Mandalore, le paralysant par la douleur qui émane des différentes parties de l'anatomie de l'homme. Bien beau être un guerrier, mais les lieux et la surprise avantagent Yokai.

BLLLOOOONK!

Et elle frappe droit au visage la salope. Déjà étourdit, le gus sombre dans l'inconscience tandis que la derviche frappe et frappe encore, jusqu'à ce que le visage ne soit plus qu'un amas de chair sanguinolente.

a suivre...

Il n'en reste qu'un... Et il se cache le salaud. En le cherchant Yokai finit par retrouver son armement et du linge... Une ample tunique d'homme qui lui découvre une épaule et ses dagues lasers lui ornent ses cuisses nues. Un bout de tissus pris sur une chemise lui servira de voile plus tard. Regardant autour d'elle, la derviche a un petit ricanement avant de se remettre en chasse.

Nous pourrions dire qu'elle suit à la trace le jeune apprenti, mais ca serait faux. La danseuse divine ne sachant pas trop qui est à bord ou non mais elle présume que le protégé de Seyugi n'y est plus. Sinon ca ferait longtemps qu'il aurait découvert la suite.

Non, ce qu'elle cherche, c'est le poste de commandement. Et elle le trouve, avec un padawan endormi. En effet, pourquoi craindre quoi que ce soit ici dans leur foyer pour ainsi dire.

Les grands yeux noirs le fixent alors qu'une idée folle lui traverse l'esprit. Et qu'un grand sourire éclaire ses traits pâles. Levant la tête, Yokai avise un tournevis.... Un simple et énorme tournevis à la lame plate. Le prenant sans sa main, la derviche s'approche du gamin.

Echk gaer... ssinssrin ulu lil'alure xuil uns'aa?
Bonjour... Tu veux danser avec moi?

Fait elle de sa voix animale et légèrement rauque, avant de l'empoigner solidement. Le reste n'est que du pur carnage, de la violence totalement gratuite tandis que la danseuse divine s'applique à saccager les panneaux de commande en propulsant le jeune homme dessus, les yeux reflétant sa folie comme milles diamants noirs. Il faut donner au petiot de Tailon qu'il se défend bien, Yôkai se retrouvant avec quelques estafilades dûes majoritairement au fait qu'elle ne fait pas attention.

Et c'est devant le poste de communication qu'il se retrouve, la main dûement plantée avec le tournevis dans des circuits délicats du module adjacent.

Yokai se penche vers lui, L'aspergeant délicatement de quelques fines gouttelettes qui lui appartiennent majoritairement. Son regard est doux, compréhensif.

Tu veux vivre?

Quel imbécile dirait que non, il veut crever? Elle lui caresse la joue. Le padawan détourne la tête.

Je veux parler à ton commandant. ou ton maitre... Appelle ca comme tu veux. Tu sais qu'il m'a torturée... Et je veux juste lui parler. Je te laisse aller après, promis.

Et parce qu'il sait qu'il est condamné de toute facon et que son seul espoir réside dans le fait que Tailon et son compagnon soient à proximité du vaisseau, il obtempère.

***************

Quand Tailon répondra, il ne verra pas grand chose d'abord... Un tournoiement d'une tunique qu'il reconnait comme la sienne, un bruit mat, un hurlement de douleur.

Puis, deux yeux noirs qui emplissent l'écran de leur éclat fou, ce qui lui donne la bonne raison du pourquoi qu'elle garde son voile. Une voix rauque lui dit calmement.

Tailon Delmo, tout est de ta faute... Il n'y aura pas de refuge pour ton âme...

Un autre tournoiement et c'est la tête du Padawan. Ensanglanté, le nez brisé à deux endroits, lui manquant quelques dents... Avant qu'une dague laser à la lame noire absorbant la lumière ne lui traverse le crâne de bord en bord.

Et qui coupe la communication en ruinant les coûteux équipements.

Rapidement, à coup de tournevis, Yokai finit de foutre en l'air ce qui reste du poste de commandement. Décapite la tête du jeune. L'appareil n'est pas loin de son speeder, donc la derviche décide de s'en aller à pied. Finit de préparer sa surprise.

Quand Tailon arrivera, la tête de son padawan attendra tranquillement, maintenant empalée par le tournevis, juste en haut de la passerelle tandis qu'en lettre de sang un message d'acceuil est inscrit sur la cursive du vaisseau de mort.

IL N'Y AURA PAS DE REFUGE...

Et Yokai sera loin.

Le froid m’ôtait beaucoup de force. Moi et Ferrence avions fait plusieurs haltes en chemin afin de reprendre notre souffle. Mais on ne pouvait s’attarder trop longtemps puisque la tempête jouait contre nous. On savait qu’elle direction prendre, mais avec tout se vent et notre visibilité était des plus réduite. Je voyais à peine la silhouette de Ferrence devant moi, pourtant il était seulement à un mètre. Soudainement, mon Comlink sonna. Quelqu’un cherchais à nous contacter. Je ne pouvais pas répondre pour le moment cependant puisque la technologie le permis, un message allais sûrement être laissé. Je forçai légèrement la marche afin d’arriver à coter de Ferrence. Essouffler, je criai afin qu’il m’entende a travers le vent.

-IL FAUT TROUVER UNE GROTTE, J’ai UNE COMMUNICATION COMLINK A PRENDRE.

Ferrence acquiesça d’un signe de tête. Reprenant les devant, je sentis une force obscure agir. Un acte noir venait d’être fait. On marcha encore un bon moment. Avant que finalement, on trouve une petite grotte. Entrant a l’intérieur, Ferrence allumas son sabre afin de faire de la lumière alors que moi j’activais mon Comlink. Un message démarra. Message qui était étrangement en hologramme. Au début, rien n’apparaissait. Un simple tournoiement d’une tunique. Puis, soudainement des sons se firent entendre. Comme une bagarre un peux. Alors que le silence revint, deux yeux noirs apparue. Un éclat des plus perceptibles était bien voyant. Un éclat ou l’on voyait la folie de cette personne. Je devinai aisément que Yôkai c’était échapper. Cette garce avait pris si peux de temps à régénérer des blessures terribles. Et à récupérer de l’énergie. C’était un phénomène étonnant. Elle parla alors d’une voix rauque.

-Tailon Delmo, tout est de ta faute... Il n'y aura pas de refuge pour ton âme...

Je m’exclamai alors même si elle ne pouvait m’entendre.

-Et toi sale bête, tu crois que ton âme Pourra être protéger ?

C’est alors que la tête du padawan de Ferrence apparut. Celui-ci se précipita vers moi et me retira le comlink des mains avec brutalité. Une colère était apparente dans c’est yeux. Le visage suppliant et ensanglanter de son apprenti fut soudainement transpercer de bord en bord pars une dague laser. Au même moment Ferrence poussa un cri de rage long et terrible. Il me donna froid dans le dos. La communication cessa alors d’un coup. Ferrence envoya le Comlink contre le mur ou il éclata. Me regardants dans les yeux, il me dit sur un ton en colère et désespérer.

-Je retourne au vaisseau. Je me fous de la décision du conseille. J’y retourne un point c’est tout.

Je dis alors sur un ton tout aussi en colère mais avec moins de désespoir.

-Cette folle va regretter son geste. Si jamais elle est partie et que je la retrouve, elle goutera au danger de mon sabre. Ou à la froideur de ma lame cacher.

Ferrence partit en premier. Je le suivais de prés. Tout les deux on était enragé. Ainsi donc, notre vitesse de pas allait beaucoup plus vite. Et je sentais à peine le froid. Nous rendre au vaisseau pris bien moins de temps que se rendre a la grotte. J’appréhendais cependant les visions d’horreur qui nous attendais dans le vaisseau et… la réaction de Ferrence. La porte était restée ouverte. En rentrants, Ferrence se précipita vers la salle de commande. Moi, je me dirigeai plutôt vers la salle ou était attacher Yôkai. La un corps était coucher. Des deux veine jugulaire avait été sauvagement sectionné a l’aide de je ne sait coi. Le sang était partout dans la pièce. Me dirigeant vers un Datapad tombé à terre non loin, je vis un jeu de Pazaak. Parfois y’en a qui ne font pas très bien leur boulot. Peux importe. Se qui était faite était faite. Une robe à terre était souillée de sang aussi. Sûrement celle que portais Yôkai avant de tuer le pauvre Mando.

Sortant de la pièce, je me dirigeai dans le couloir quand je vis un autre corps à terre. La, le deuxième Mando gisait. Son visage méconnaissable tellement il avait été détruit. Une masse de métal déformer se trouve a coter de lui. Du sang avait repeint les murs. Même le plafond. Regardants le poul de l’homme, mais doute sur sa mort furet confirmer. Si j’étais arrivé plus tôt, moi et Ferrence aurions pus le sauver, mais il était trop tard. Mort a cause de la douleur et a bout de son sang. Me relevant, je poursuivis mon chemin vers la salle de contrôle. En rentrants, je vis seulement Ferrence, recouvert de sang, tenants le corps inerte et sans tête de son apprenti. Il regardait d’ailleurs la tête de celui-ci. Empaler plus haut. La terreur était graver a jamais dans c’est yeux. Je poussai un soupir triste. De plus, cette... Cette… Je ne trouvais même plus les mots pour qualifier Yôkai. Je savais une seule chose, je la tuerais. Derrière Ferrence, il y avait sur le mur, une phrase écrite avec du sang. Il n’y aura pas de refuge. Je crois que se message s’adressait a moi. Mais, javais le pressentiment que sa propre âme n’avait plus de refuge. Sa ne m’étonnerais même pas.

Étirant mon bras, je fermai les yeux de l’Apprenti mort. Au moins il aurait l’air plus en paix comme cela. Ferrence ne bougeais pas. Une après l’autre, les larmes tombaient de son visage. Il était apparemment très éprouvant de perde un apprenti. Je décidai de réparer le système de communication afin de contacter le conseille. Se ne serait pas une tache aisée. J’étais bon bricoleur, mais le tableau de commande était en mauvais état. Le tableau mais pas les fils. Si je ramenais seulement le système en marche, je pourrais contacter n’importe qui.


À suivre dans une autre histoire