Lorsque le noyau de l’Empire Sith, la planète Korriban, reçu les informations concernant une offensive d’une flotte sith non-autorisé, le conseil se réuni avec célérité dans l’espoir de trouver une solution rapide à cet acte non autorisé. Le rapport indiquait que le seigneur Sith Darth Peyron avait violer les ordres des instances supérieures, c'est-à-dire le conseil lui-même, et s’était dirigé vers Bothawui accompagné de toute sa flotte de croiseur. Plusieurs Sith qui lui étaient fidèle avaient ignoré les avertissements de leur collègues, pour suivre Peyron et sa flotte dans leur acte de haute trahison. Le ton était donné. Les conseillers se regardaient mutuellement, la sueur au front et ne sachant trop comment réagir. Car ils étaient en faute. Si pareille chose avait eut la chance de naitre s’était car une bande d’imbéciles n’avaient pas été capables de la voir venir ni de contrecarré les actions de Peyron.

Ce dernier était connu pour son envie d’agir et sa volonté de servir l’Empereur de la manière dont il lui semblait la plus digne, en combattant. Néanmoins, depuis plusieurs mois, l’Empire sith s’est enlisé dans la paperasse et le confort de sa situation et les actes de grands envergures sont resté dans les holocrons et ne se sont plus manifesté dans l’histoire. Darth Peyron, un quarren aux épaules larges et une volonté de fer, avait d’abord adressé un message au conseil, lui signalant qu’il était temps de passer à l’action. Message auquel l’Empereur avait répondu avec beaucoup d’attention, rabaissant Peyron à sa propre condition, celle de servir et de faire confiance. Selon le rapport une fois de plus, les Sith qui cotoyaient Peyron peu de temps avant sa trahison, avait parler de prendre les armes et de trouver un acte qui prouverait à l’Empire Sith qu’il était temps de passer à l’action, Empereur ou pas Empereur.

Dans la salle du conseil, il règnait une tension inavouée, les conseillers se regardant du coin de l’œil, la tête basse. L’Empereur ne ferait aucune apparition, selon les paroles du Seigneur Darth Tellur. Néanmoins, ce dernier avait déclaré que l’Empereur attendait une solution au problème actuel et que si celle-ci n’arrivait pas bientôt, de nombreuses têtes tomberont avec celle de Peyron. C’est ainsi que se lanca le débat.



Botha. 13h49. 9ème jour de blocus.

Les longues tentacules lourdes et épaisses, glissaient visqueusement sur la plaque de métal couvrant le torse de Darth Peyron. Les yeux globuleux fixaient la planète Bothawui au travers de l’immense baie vitrée de son Destroyer. Le regard perdu dans le bleu de ses océans, il réflechissait à ses prochaines actions. En pleine partie d’échec, il défiait à la fois les autorités Républicaines, l’Empire Sith, et le gouvernement Bothans. Il était perdu dans tout les cas. Sauf si sa machination prenait pied, et que les véritables alliés de l’Empire Sith montraient leur nez dans cette cohue prochaine que Darth Peyron sentait venir. Cela promettait d’être diablement chaotique.

Il détacha son regard de la planète pour comparer les analyses et ce qu’il voyait. Ses croiseurs étaient opérationels et entouraient la planète entière de sorte qu’ils barraient la route aux appareils qui tentaient de quitter le système. De plus, en prévention d’un assaut extérieur, une flottille tournait en permanence autour de la planète, parée dans le cas où l’ennemi pointerait le bout de son nez. Si cela arrivait, il débarquerait ses troupes au sol pour prendre la planète en otage et terminer un bonne fois pour toute son travail. Mais il n’espérait pas en arriver là. Son but premier était de réveiller la colère dans le cœur de ses compatriotes sith. Et si ses prévisions étaient bonne, le conseil devait déjà s’égosiller dans l’espoir de contre-carré les actes de trahison qu’il menait. L’empereur était si prévisible.
De nombreux sith l’accompagnaient dans sa campagne, et malgré la puissance de feu et la maitrise de la force de certains de ses alliés, il ne pouvait nier le fait qu’il lui manquait quelqu’un, son apprenti. Si seulement Arkyss pouvait être à ses cotés. Le jeune homme en aurait retenu tellement. Mais Peyron n’avait pas voulu meler ses propres actes à ceux d’un etre aussi prometteur qu’Arkyss. Ce dernier serait l’héritage de ses actes.

Les bothans avaient essayé de négocier, mais Peyron avait répondu par les armes et par les menaces. Si le gouvernement essayait encore de le contacter, il réduirait leur civilisations à l’état de néant et cela en serait fini. Pour Peyron, ses actes servaient d’exemple. Et si l’Empire ne mordait pas à l’hamecon, il s’en prendrait à d’autres palnètes après Bothawui. Et peut etre finirait-il par détroner l’Empereur de son siège d’argent, par ses actes de traitrises mais actes courageux néanmoins.


Korriban.

Le conseil avait débattu. La réaction était claire. L’empire Sith ne laisserait pas les actes de Darth Peyron inpuni. Néanmoins, le conseil décida qu’il était préférable d’attendre une réaction de la part de la République avant de réagir. C’est pourquoi une flotte serait envoyé à Peyron, soit disant de soutien jusqu’à ce que la République réponde par les armes. A ce moment là, les « renforts » se retourneraient contre Peyron et profiteront de la cohue pour éliminer le traitre et les troupes Républicaines. S’emparer de la planète serait le but secondaire de cette mission.



A l’heure de l’event, les troupes sith de l’Empire se trouvent en la compagnie de Peyron, attendant une réaction républicaine…