Garrus est un Turien, il a donc tout ce qu'ont les Turiens, un nez effacé, "écrasé". La peau de son visage est épaisse, celle de son ventre est plus éclaircit. Cependant, ayant subit des brulures, séquelles de ses combats, la partie droite de son visage est brulée, on peut voir quelques cicatrices ainsi que du tissus ayant été posé sur son oreille droite lui permettant quand même d'entendre car cette matière est connectée et lui sert un peu d'oreille droite. Il a un viseur sur son oeil gauche, il l'a toujours eu d'ailleurs.

Il est très grand, mesurant a peu prêt deux mètres dix, il est aussi assez musclé pour briser les os d'un humain facilement. Il a de la peinture faciale sur son visage, c'est en rapport avec sa famille. Chaque famille Turienne doit utiliser quelque chose pour se différencier, c'est un peu son héritage familiale. Il est vétut d'une énorme armure, détruire sur le côté droit car c'est ici qu'il c'est prit un tir d'un chasseur ennemi. Il a faillit y passer d'ailleurs cette fois-ci. Heureusement, il a été sauvé mais ces séquelles le marqueront pour toujours. Il se souvient que cette fois-ci, il avait dit à Revan que le charmeur qu'il était lui faisait de l'ombre et qu'ainsi, Revan aurait toute ces chances sans que Garrus le lui pique.

Garrus est calme, rassurant et de nature courtoise envers ceux qui sont de son côté, mais impitoyable au combat. Il est appelé " Le Sage " par les jeunes Revanchistes. Il y a trente ans il était aussi appelé comme ça. Il sait lire sur le visage des gens et peuvent connaitre leur pensées où leurs émotions. C'est ainsi qu'il a apprit que Mina avait des sentiments pour Jacob, aujourd'hui décédé...

Ce n'est pas vraiment un meneur mais il sait ce qu'il doit faire, il sait motiver les troupes et leur donner confiance. Il est très franc et ne pourrait pas mentir, ce lui serait interdit étant donné la formation qu'il a eu par les Turiens. Un Turien qui se fait interroger est une mine d'or pour ses ravisseurs. Garrus ne connait pas la pitier pour ses ennemis et use souvent de la violence pour les faire parler quand ceux-la refusent.

Ceci dit, c'est assez étonnant de voir qu'un être calme comme lui peut être aussi impitoyable contre ces ennemis. C'est assez surprenant pour certains, il n'as pas l'air effrayant aux premiers abords, plutôt énigmatique et assez froid mais pas effrayant, inquiétant oui. On pourrait dire qu'il a la mentalité du "flic méchant" lorsqu'il affronte ses ennemis où les interroges. Il use de sa puissance contre eux pour montrer qui est le patron ici.

Revan m'avait convoqué, il voulait en savoir plus sur moi et il avait tout à fait raison, j'avais toujours été distant avec lui et à ce que je pouvais voir à présent, cela ne lui plaisait pas trop, il voulait en savoir plus sur moi, mais aussi sur mon peuple... :

Les Turiens sont une race bipède dont le physique est relativement proche de ceux des humains. Deux membres supérieurs ainsi que deux membres inférieurs, leurs mains ne comptent que trois doigts, dont l'un deux est le "pouce" et donc décalé par rapport aux deux autres doigts qui sont bien plus proche. Ils sont en oppositions ce qui leur permet d'avoir recourt à la préhension, une caractéristique détonant d'une évolution importante de l'espèce par rapport aux races primitives. La majorité de leur corps est caché par leur armure mais vu la forme de la tête ainsi que les fragments qui la forment qui sont assez semblable à celle des reptiles, on peut imaginer que leur ventre a une teinture plus claire que le reste du corps. Leur cou est d'une longueur semblable à celle des humains.

Venant d'une planète où la chaleur est assez importante et où leur tête est exposée à des conditions difficiles, leur tête c'est adaptée à la chaleur et est devenu plus épaisse. On peut considéré que leur tête est formé en deux partie. L'avant où l'on peut remarquer le relief des os visible marqué par leur exosquelette. Le nez est assez aplatit et possède un relief effacé. Un enfant trouverait le nez des Turiens "écrasés" par rapport à ceux des humains.

Leur bouche est séparé en trois mandibules. Une que l'on pourrait qualifier de "base", c'est la partie inférieure, celle qui ne bouge pas, et de deux mandibules latérales à gauche et à droites qui sont mobiles et rattachées en faisant une sorte d'arc. Lorsqu'ils parlent, les mandibules latérales se soulèvent aux côtés opposés, et la jointure se soulève également en haut. Un peu comme ferait la bouche humain, les deux jointures extrémistes s'étirent et la bouche s'écarte. Lorsque les Turiens parlent, leur dentition apparait, on peut qualifier comme un acte d'agressivité car lorsque l'on montre les dents, c'est un signe d'agressivité. Il faut dire aussi que les Turiens étaient très connu pour leur talent militaire, ils n'étaient pas agressifs envers les autres espèces mais ils ne faillaient pas les prendre à la légère. Question militaire, les Turiens n'avaient rien à craindre.

Les Turiens étaient des êtres organiques respirant du dioxygène et fait de Carbone. On peut supposer que l'intérieur de leur corps est assez semblable à celui des humains même si les deux espèces sont totalement différentes. Au niveau digestif, ils ne peuvent pas manger tout et n'importe quoi car leur système digestif est assez fragile. Ils ne supporteraient pas de la nourriture humaine, l'estomac ne supporterait pas les compositions de la nourriture des hommes ce qui provoquerait un vomissement chez le Turien. Ils sont capables de résister aux infections, on peut donc en déduire que les Turiens ont un système immunitaire assez développer. Ils peuvent vivre jusqu'à trois siècles ce qui est assez important, c'est à peu prêt trois fois la vie d'un homme.

Sur le plan culturel, on apprends aux Turiens qui sont en bas-age à assumer toute décision et que les responsabilités individuels passent avant le groupe, c'est ce qu'appelaient les autres " l'honneur Turien" qui était si respecter et admirer des autres espèces. Le pire crime qu'un Turien pourrait faire aux yeux de son peuple serait de mentir sur ses actes. Ce n'est pas dans la culture Turienne que de mentir. Ce sont des personnes franches et qui feraient de bien piètres hommes d'affaires.

Le Gouvernement Turien était formé d'un Conseil incluant les pouvoirs exécutifs, judiciaires et législatif. Chez le pouvoir exécutif, ils prenaient le meilleur gradé, non pas par ses compétences, mais par ce qu'il avait fait, ses exploits et sa réputation. Selon les Turiens, il fallait un modèle, un symbole mais aussi un militaire à la tête du pouvoir exécutif. Pour les deux autres pouvoirs, ils recrutaient parmi des Turiens compétents. C'était une démocratie Directe. Le conseil était bien entendu entouré de trente sénateurs. Des citoyens qui avaient tous une particularité. (Ancien Soldat décoré, grand vendeurs de vaisseaux militaires, milliardaire, etc...) Tout le monde ne pouvait pas entrer dans le Sénat où le Conseil. Il fallait avoir accomplit quelque chose d'important pour y accéder.

Le Conseil formé de trois personnes n'étaient bien entendu pas obliger d'écouter les requêtes du Sénat mais tout comme chez les Romains, il ne valait mieux pas faire du Sénat un ennemi car ayant des particularités, ils pouvaient très bien utiliser cette "particularité" pour servir le Conseil des Turiens ou bien contre ce Conseil. C'était à double tranchant, et cela a été vu plus d'une fois où un Sénateur a utilisé de son pouvoir pour tuer un membre du conseil où même un conseil tout entier. Le plus étonnant c'est que pour les Turiens, cela parait normal, du moment que le tueur avait des preuves et de bons actes à valoir, il avait une place au conseil. D'autres, ont eut moins de chances en tuant ou en essayant de tuer des membres du conseil, cela c'est retourner contre eux et ils ont été exécuter.

GARRUS - C'est a peu prêt tout ce que vous devez savoir sur mon peuple... Je me nommes Garrus, Garrus Vakarian et je suis un Turien. L'histoire de mon peuple n'a pas toujours été rose... Niveau Militaire, il n'y avait rien à redire, mais niveau économique où diplomatie, ca ne marchait pas vraiment, je vous l'assure... Notre culture nous interdisait de mentir, nous ne pouvions pas mentir. Et puis... Il y a eu cette guerre contre une autre espèce aujourd'hui disparu. Nous étions en face de gagner quand leurs scientifiques ont trouver un virus qui n'affectait que les Turiens. En dix minutes, ils se faisaient tuer. C'est ainsi que tout mon peuple est décimé, je sais qu'il reste quelques Turiens dans la galaxie, je l'espère... Mais la race des Turiens sera effacé de ce monde d'ici deux où trois siècles. J'ai eu la chance de ne pas être affecté à ce virus. Je n'avais que vingt-six ans, on peut dire que j'étais déjà un jeune adolescent et mon apprentissage en tant que padawan m'avait forcé à quitter Tuchanga, ma planète d'origine pour partir. Lorsque j'ai appris le génocide, j'étais perdu... Vous comprendrez mon malaise. J'étais perdu et je ne savais plus vraiment quoi faire, j'ai faillit tomber dans le côté obscur mais quelqu'un m'a sauvé de cette voie. C'était un chevalier Jedi, j'ai été sous son aile et j'ai continué mon apprentissage. C'était un humain. Une femme même... Je n'oublierais jamais son visage, elle était si radieuse, si belle, sa générosité et sa gentillesse se voyait sur ce visage souriant. Malheureusement, elle a été tué... J'ai jurer de retrouver l'enflure qui lui avait fait cela et j'ai tenu parole. Elle devait savoir qu'elle allait mourir car elle m'a affecté au Temple Jedi sur Coruscant. Les autres élèves étaient assez faible... Où alors c'est moi qui était doué. En tout cas, les Maîtres étaient intéresser par moi, ce n'était pas courant de voir un Turien. Même assez rare...

Je suis passer Chevalier Jedi assez rapidement, mais j'avais demander à ne pas avoir d'élèves. Ils ont accepter mon choix mais en échange, je devais fournir plus d'importance à mon travail. Personnellement, cela ne me dérangerait pas. En dehors des missions et du temps que je passais à la méditation et à l'entraînement, je ne faisais pas grand chose. Je n'avais pas vraiment de vie social, je consacrais ma vie à aider les autres. Le Conseil avait bien vu le potentiel que j'avais et voulait faire de moi un Maître. Je leur ai alors dit que je devais réfléchir. J'ai fini par dire non... Était-ce une erreur ? Je ne pense pas... De toute façon, il est trop tard pour changer cela mais je n'étais pas à la hauteur. Je le savais... Mes pouvoirs étaient encore bien trop faible, tout mon potentiel n'avait pas été libéré. Pendant ce temps, j'ai pu retrouver l'homme qui avait tuer mon ancien maître, je ne l'ai pas tuer car je ne suis pas un Sith, même si l'idée était grande, je lui ai fais payer à ma manière en lui privant de tout ce qu'il possédait. A présent il doit croupir dans une cantina... Je pouvais donner plus mais je n'arrivais pas à trouver comment. Peu après, vous êtes arriver Revan... Je vous ai observer grandir vous savez... Je vous identifiais, je savais qu'un jour, vous seriez plus puissant que moi, vous aviez l'étoffe d'un Héros. Peu de gens ont un potentiel aussi important que vous. Votre maître, Keia je crois ? C'était un bon maître.

Et puis vous êtes partit. La suite vons la connaissez...

Il me regarda, je ne voyais que sa bouche. La bure de sa capuche était rabaissée comme à son habitude. De tout ceux qui étaient partit avec lui, aucun n'avait vu son visage. C'était assez effrayant d'un côté. On ne pouvait pas savoir qui se cachait derrière cette capuche. Il n'y avait qu'un homme qui l'avait vu. Alex, son "bras-droit" mais aussi son ami. Je pu apercevoir un sourire sur le visage de Revan. Il est vrai que je l'avais suivi tout en étant discret, j'étais l'un de ses meilleurs sujets, il savait que j'étais loyal et que je ne le décevrais pas. J'avais déjà un bon nombres d'années d'expérience comparer aux humains et aux autres races ici. Et pourtant... Certains étaient plus vieux que moi si je comparais mon âge par rapport aux autres sur la même échelle. Nous menions une guerre contre les mandaloriens qui menaçaient d'envahir le monde... Nous ne pouvions pas échouer. Nous avions quitter l'Ordre Jedi, non pas par désertion mais nous voulions arrêter la menace mandalorienne et le Conseil n'entendait pas de cette oreille... Revan était partit avec quelques padawans et quelques chevaliers. J'en faisais partit tout comme L'Exilée et Alex. Revan avait mit l'Exilée et moi en équipe. Nous avions apprit à nous connaitre et je savais pourtant peu de chose sur elle. J'avais beaucoup d'expériences par rapport à des jeunes ici qui n'avaient qu'une vingtaine d'années. J'étais appeler le "Sage" à cause de mon age qui semblait extraordinaire pour les autres alors que pour moi, je n'étais qu'un adulte normal. Je n'aimais pas trop d'ailleurs qu'on me dise que j'étais vieux.

Les médias mettaient le nez partout et parfois la où il ne fallait pas, ils nous appellaient les Revanchistes du fait que nous suivions Revan. C'était une sorte d'allégeance, une loyauté. Ce qui m'avait inquiéter, c'était les visions de Revan. Il ne paraissait pas dans son assiette, j'avais beau lui demander de m'expliquer, il refusait. J'étais un peu contrarié. Je me rappelle du jour où Revan nous avait envoyer sur Suurja. Il y avait une colonie républicaine dominée par les mandaloriens. Dans ces visions, Revan avait vu des plans importants et nous devions les ramener. Nous étions cinq : Alex, L'Exilée, Jacob, Mina et moi. Jacob et Mina étaient deux padawans, Mina était proche de devenir Chevalier, Revan lui avait promit de la faire passer à ce rang lorsqu'ils rentreraient de missions. Nous étions partit sur une navette équipée de ce qu'il fallait pour passer inaperçu à travers la flotte mandalorienne et atterrir sur Suurja sans ce faire repérer. Notre mission était simple, récupérer ses importantes données concernant les mandaloriens et réactiver les tourelles défensives pour supprimer le vaisseau ennemi en orbite au dessus de la planète. Pour ce faire, il fallait réactiver le réacteur de la base ainsi que les deux moteurs. Alex voulait que nous nous divisions en deux groupes. Il partirait avec Jacob et Mira récupérer les données pendant que moi et l'Exilée nous nous occupions du vaisseau. La mission paraissait facile, il n'y avait pas vraiment de bataillon important dans la base. Nous étions persuadés que cela serait vite bouclé. Nous nous trompions largement... A peine arrivé, le combat était déjà engagé. Les mandaloriens avaient beau tirer des bastos, il nous suffisait de manier le sabre pour les contrer. Nous n'avions pas le droit à l'erreur. La mission était cruciale pour la progression de notre but. C'est alors que Alex partit avec les deux padawans pendant que moi et l'Exilée nous venions de rentrer dans la base. La salle du générateur n'était pas si loin que ça. Il y avait encore des mandaloriens mais cette fois-ci, ça se corsait. Nous étions dans un couloir étroit, a l'abri des tirs derrière des caisses. Nous ne pouvions plus avancer. Regardant l'Exilée, je voyais dans ces yeux qu'elle n'avait pas de plan. Moi au contraire j'en avais un, il y avait à côté d'elle un conduit d'aération, je relevais un peu la tête pour voir en face de moi, les mandaloriens continuaient de tirer et les balles me frôlaient, j'aperçus alors une autre bouche de conduit. Je lui fis signe et elle comprit rapidement, c'est alors qu'un mandalorien apparut, il avait du courir pour arriver ici, il allait frapper L'Exilée avec le manche de son arme mais je le transperça d'un coup d'estoc. J'entendis son cri alors qu'il tombait au sol. Une longue marque de brulée dans le dos mélangé a du sang déjà sec. Elle me fit un signe de la tête pour me remercier. Elle n'avait jamais trop aimé discuter. Elle préférait le silence, être mystérieuse, je pense que de tout les Revanchistes, j'étais celui qui la connaissait le plus. Même si je ne savais pas grand chose d'elle, même pas son propre nom. Elle arriva finalement au bout du conduit, usant de la force pour l'ouvrir, le morceau d'acier du conduit se dirigea vers le dernier garde qui le repoussa, je la vis bondir sur lui telle une prédatrice sur sa proie et du sang giclé. Elle m'aurait toujours inquiété, j'avais un peu peur qu'elle me plante son sabre par derrière dans mon dos, elle avait du respect pour moi, c'était net, ça se voyait mais quand même...

Par contact radio, Alex me précisait qu'il serait bientôt en phase d'avoir les plans. La mission était bientôt finie. Je soupirais, j'étais un peu inquiet et j'avais un mauvais pressentiment. Nous étions dans la salle des générateurs. Il y avait d'autres mandaloriens, j'en faisais mon affaire. Concentrant la force entre mes mains, je propulsais une énorme boule qui les renversa, faisant exploser les barils et conteneurs explosifs au passage. En un instant, ils avaient tous été balayer. Aucun survivant... Elle applaudit ce qui avait le don de m'exaspérer, elle le savait. Le réacteur fut activer et la base reprit vie. Il fallait maintenant détruire ce vaisseau. L'Exlilée était plutôt doué pour pirater les systèmes où comprendre assez rapidement comment un système marche. C'était sans l'aide d'une IA de la base sans qui, nous serions rester la pendant des heures à ne rien faire. La combinaison de l'IA et de l'Exilée permit aux tourelles de tirer sur le vaisseau. Des tirs puissants qui détruisaient petit à petit les boucliers du vaisseaux. Mais beaucoup de mandaloriens venaient d'arriver. Nous étions trop occupés sur le vaisseau que nous ne les avions pas remarquer.

MANDALORIEN : Voilà les autres ! Emmenez-les avec nous. Nous allons sur Flashpoint avec les autres.

Je réfléchissais, par "les autres" il voulait sûrement parler d'Alex, de Jacob et aussi de Mina. Nous étions tous tomber dans un piège... Nous fûmes réunis dans le vaisseau mandalorien. Nos sabres avaient été confisquer et des colliers nous avaient été posés afin de nous supprimer l'utilisation de la Force. Nous étions réunis tout les cinq dans le vaisseau mandalorien. Mais aucune possibilité de contacter Revan. Était-ce notre fin ? Non, même si Jacob était affecté par la peur, l'Exilée et moi restions calme tandis que Mina essayait de le calmer. Quand à Alex, il regardait par le hublot, contemplant l'espace... Il voulait peut-être voir un signe de Revan.

Nous avons été déposés sur Flashpoint, une station spatial désaffectée qui a été rénovée par les mandaloriens et c'était là-bas que le laboratoire de Démagol était. Nous allions sûrement lui servir de cobaye dans ses expériences. J'avais entendu parler que c'était déjà un grand scientifique mandalorien, craint et adoré en même temps et qu'il étudiait la Force. A l'intérieur de la station, nous avions été placer en ligne, des mandaloriens armés jusqu'au dents se tenaient également un peu partout autour de nous. Il y en av ait deux a côté de la porte gauche, deux aussi vers la porte au fond à droite, et quatre autour du célèbre Démagol. Pendant des mois, nous lui servions de cobaye, nous étions forcer d'utiliser la Force où de la combattre mentalement et de résister à celle-ci si bien que Jacob n'avait pas survécu, il était mort. Cela avait beaucoup affecté Mina, j'avais vu quelques sentiments dans ses expressions faciales. Je la consolais et lui disait qu'en tant que Jedi, il n'y avait pas de place pour ces choses-là... Que c'était interdit mais difficile aussi. Qu'il fallait aussi qu'elle fasse attention car c'était dans ces moments-là que les Jedi étaient le plus susceptible de rejoindre le côté obscur de la Force et que si c'était le cas pour elle, je lui avais dis que je n'hésiterai pas à me débarrasser d'elle. Cela l'avait un peu effrayée mais il fallait qu'elle comprennes.

Au bout de quelques mois, un soir, il y eut une grande explosion. Pendant une heure nous entendions l'odieuse alarme qui nous cassaient les oreilles et des cris de mandaloriens qui se rapprochaient petit à petit. Nous finîmes par voir Revan. Tout nos visages émerveillés, nous nous croyions finis depuis longtemps, certains avaient perdu confiance, d'autres presque mais le revoilà. Il nous délivra de cette emprise que nous imposais le collier et nous emmena. l'Exilée, Alex et Mina étaient trop affaibli, moi, j'étais un Turien ce qui compensait ce manque. Mon système immunitaire était plus résistant que celui des humains, je pouvais me battre même si je serais vite fatigué. Je n'avais cependant pas perdu la main, dans la cellule, je m'entrainais régulièrement et je pouvais utiliser la Force pour les expériences de Démagol. Revan me dit qu'il avait détruit son laboratoire et que la station allait rapidement sauter. C'est ainsi que nous sommes partit de cette odieuse prison pour Jedi.

La prochaine étape de notre voyage était la planète de Cathar. Elle était située dans la région d'Expansion. Les cathars sont des bipèdes que l'on pourrait comparer à des félins debout. Ils vivaient dans d'énormes cités-arbres vivants ce qui fascinait les padawan que nous avions emmener. Je leur rappela que ce n'était pas du tourisme mais que nous étions ici par nécessité. Nous pûmes remarquer l'atrocité qui était faite à l'encontre du peuple Cathars. L'Ordre des Jedi ne faisait toujours rien et d'autres Chevaliers et Padawans nous rejoignirent dans notre lutte. Nous étions encore plus puissant qu'avant, les Revanchistes devenaient un peu plus puissant à chaque fois que Revan faisaient de bonnes actions.

Malheureusement, nous avions besoin d'un soutien financier, sans quoi, nous ne pouvions rien faire. Revan contacta l'Akarnien Adasca, dirigeant d'Adascop étant la plus grosse firme de bio-ingénierie, Alex fut envoyer et j'avais décider de l'accompagner. Il y avait un autre Chevalier Jedi et quelques Padawans, mais cette fois, des soldats de la République nous accompagnait. Nous étions dans un croiseur républicain et nous allions sur la planète où Adasca était. Le vaisseau resta en orbite et une navette atterrit sur la planète. Mais il se trouvait que Adasca n'était qu'un traitre. Des mandaloriens sortirent alors de toute part et nous étions encercler. Les soldats républicains faisaient lutte face aux mandaloriens, tandis que les Jedi se jettaient sur ces ennemis. J'en abattais un tout en renvoyant les tirs d'un second et d'en soulever un grâce à la force pour le jeter violemment contre un rocher, je pouvais entendre ces os se briser. Alex tua Adasca. Après avoir tuer la menace sur cette planète, nous nous dirigions vers Revan.

Mais la véritable menace venait... Les Mandaloriens avaient amassés suffisamment de ressources et décidèrent d'attaquer la République. Ils lancèrent plusieurs assaut sur des colonies comme pour mettre en garde les républicains. Ils étaient plus puissant et remportait chaque bataille qu'ils menaient. C'est ainsi que Revan décida de partir en guerre contres les Mandaloriens. Alex, L'Exilée, Mina, Moi et bien d'autres encore décidèrent de le suivre encore. Ils recrutèrent beaucoup d'autres Jedi qui désiraient sauver la veuve et l'orphelin. Les choses allaient rapidement et les médias voyaient en Revan le messie attendu, celui qui repousserait les mandaloriens. Personne ne les poussaient à partir en croisade mais ils le faisaient pour sauver la galaxie de l'emprise mandalorienne. Lorsqu'il entra dans l'armée républicaine, il nomma amiraux, des Jedi en qui il avait confiance comme Alex, l'Exilée où moi. Les tactics de Revan impressionnante les unes par rapport aux autres nous permirent de remporter la victoire à plusieurs reprises et de reconquérir des mondes que nous avions perdu comme Taris où Dxun.

Cependant, ce qui m'inquiétait, c'était la barbarerie que Revan faisait preuve contre les mandaloriens. Ils leur répondaient avec la même sauvagerie qu'eux. Cela m'inquiétait mais je continuais de le suivre même si j'avais quelques inquiétudes qu'il devienne un sith. Mais mes soupçons s'estompaient lorsque j'entendais dire par les autres que Revan était un héros. Il devenait un véritable icone parmi les Jedi. Les mandaloriens reculaient peu à peu. La dernière bataille allait être titanesque, nous étions en route pour Malachor V. Dans quelques heures, nous serons en train de combattre les mandaloriens et cette bataille allait déterminer le sort de la République. Sortant de l'hyperespace, l'ennemi étaient déjà la. Je me tenais dans le croiseur que m'avait léguer Revan. Il m'avait donner un ordre, il y avait en face de nous une frégate ennemi, je devais la neutraliser. Regardant les hommes autour de moi.

GARRUS - Vous avez compris ?! Aujourd'hui, La République dépend de nous ! Et nous devons la sauver ! Alors concentrez-vous bien car nous n'avons pas le droit à l'erreur ! Si vous voulez revoir vos familles heureuse et non dans un cercueil, Donnez le meilleur de vous !

Les hommes avaient été motivés. Les canons avaient été armés et étaient pointer sur la frégate, sur les réacteurs et le générateur de bouclier de la frégate. J'ordonnais d'ouvrir le feu et les canons à ions touchaient le vaisseau adverse qui était cependant protéger par le bouclier. Cela prendrait du temps de le désactiver et nous ne l'avions pas. Je pris quelques hommes avec moi et deux Jedi, montant dans une navette, elle partait en direction de la frégate. La navette atterrit dans le hangar et en sortant, les mandaloriens furent rapidement balayer. Par les tirs des armes des soldats où par les sabres des chevaliers. J'avais demander à un des deux Jedi de m'attendre ici avec une poignée de Soldats pendant que je me dirigeais avec les autres vers le générateur de bouclier qui n'était pas loin d'ici. Tuant les mandaloriens au passage, nous n'avions pas beaucoup de pertes. Le générateur neutraliser, le vaisseau put tirer sur la frégate pendant que nous le quittions. Il fut rapidement neutraliser. Par la suite, la bataille fut gagnée mais Revan ne voulait pas s'en arrêter là. Il voulait allez chasser les derniers mandaloriens dans l'espace inexploré. Je ne l'entendais pas de cet avis et je quittais les Revanchistes...

Pendant quelques années, j'étais devenu une sorte de chasseur de prime, allant de planète en planète, j'étais pour mon compte et je m'étais dis qu'en solo, se serait mieux. Dans les cantinas, il y avait souvent des gens qui payaient pour se débarrasser de quelqu'un ce qui m'arrangeait. Puis j'entendis la réaparition de Revan, il avait été il y a quelques années il avait été Seigneur Noir des Sith mais il avait disparu, cependant, je l'avais vu en compagnie de Jedi, il y avait aussi un mandalorien, une twil'ek et un wookie. Je n'avais pas compris mais par la suite, j'avais appris qu'il avait perdu la mémoire. Alex où Malak était à la tête de l'armée Sith et Revan parvint à le battre alors qu'il était amnésique. C'était assez bizarre pour moi. Je me souviens avoir eu quelques démêles avec Malak il y a quelques temps, il avait voulu me corrompre mais je ne m'étais pas laissé faire.

Puis Revan était repartit combattre la menace Sith dans l'espace inexploré, loin de toute civilisation. Il paraitrait que des Sith se cachaient là-bas. L'Exilée fit aussi son apparition, quelques années après, elle s'occupa de quelques Sith qui menaçait la République et disparu aussi, elle voulait rejoindre Revan. Le monde redevint calme mais la menace Sith était bien présente... Quelques années plus tard, l'Ebon Hawk refit surface mais c'était des Sith qui étaient à l'intérieur malheureusement... J'entendis alors parler de Revanchistes, ce mouvement avait été reformé et je décidais de l'intégrer. Je cherchais des informations un peu partout sur l'endroit où ils pourraient être. J'entendis alors que la base était Dxun. Celle que nous avions reprit aux mandaloriens, et je fus accepté par les Revanchistes. Je pouvais reprendre la lutte, j'allais affronter les Sith car c'est ce que "ces Renvachistes la" cherchaient. L'Ordre Jedi ne bougeait toujours pas le petit doigt. A croire que les évènements allaient se reproduire comme il y a trente ans... Face aux mandaloriens.

Je savais qu'en suivant les Revanchistes et en affrontant les Sith, j'aurais des réponses par rapport à Revan et l'Exilée, de réponses importantes a des questions énigmatiques...