Histoire:
Journal d'Ayou Miharu Les souvenirs d'une vie passée, car parfois il vaut mieux tous oublier...
Vous âmes perdues marcher sans but dans ce vide absolu, quand dans le néant se trouve un calepin... Peut-être que sa lecture vous fera passer le temps qui n'est que de trop ici...
Je ne vous raconterais que quelque événement marquant, dont des croustillantes empliront vos oreilles de délices...
Le reste vous restera inconnu et interdit...
Tell est mon choix La famille, elle vous fait grandir dans l'amour et la joie, elle vous inculque des principes de vie. J'ai toujours aimé ma mère, mais elle ne m'a jamais souri de son vivant... Elle m'aimait autant que ma sœur, elle nous choyait autant que possible... Mais la vie restait dure ... Le vent souffla bientôt et il ne resta plus que moi, dans une famille que le temps avait réduite à néant…
Il fut une époque ou une jeune femme était libre loin de toutes ses obligations, elle avait quitté l’emprise étouffante d’une famille trop autoritaire. La jeune fille était partie loin de tout devoir vers un avenir dont elle serait la seule a choisir, a dicté… au du moins c’est ce qu’elle croyait…
Tout commença le soir où ma mère sur à Coruscant monde du noyau, aussi dit joyau de l'univers. La nuit s'annonçait belle pour un monde gris sous la végétation de pierre et métal tailler quelques rayons de lune percutaient les innombrables fenêtres vitrées. Laissant ses pas à la rencontre de son nouvel univers qui la mènerait au tram. Les rues étaient désertes pas une âme qui vivent. L’aire était lourde le danger la guettait, enfin surtout son porte-crédit. Ce fut à ce moment qu’entre les ombres un groupe de voyous débarquèrent avec la ferme intention de prendre et de prendre encore. C’est a se moment que la jeune femme fit claquer ses talons pour fuir, pourtant de grosses pattes s’emparèrent d’elle la fessant tournoyer jusqu'à de gros bras. L’homme ricana sous la confusion de la jeune femme, la serrant dans ses bras muscler par des années de dur labeur. La dépouillant peu à peu de ses biens ils entreprirent de continuer leur manège sous ses cris toujours persans. La situation semblait désespérée... Pourtant, il y eut bien un sauveur, et non pas l’idéal du prince charmant, mais plutôt du prince ténébreux… Maigre et drapé de noir il était d'un aura noir, qui figeât tous de suite ses adversaires. Mais ce n'était pas suffisant, il ne suffisait pas d'apparaître pour les faire dévier de leur proie. Cette proie qui était sûre que cet homme était son sauveur, sans même le connaître. Elle en était sûre! Il semblait briller, plus que le soleil lui-même, c'était comme si elle avait été frappée... Elle tomba même... ce fut peut-être à cause du choc ou du traitement qu'elle avait subit. L’homme drapé de noir vient à son secours, restait à savoir si c’était pour son propre intérêt ou pour celui de la jeune femme.
Un cercle vicieux se forma bientôt autour du défenseur, le piège se refermait sur l’intrus…
Seul dans la pénombre face au démon des rues, bien peu pour ce diable noir...
Les hostilités commençaient ce fut en un seul saut qu’il réussit à éviter le troupeau qui s’entrechoqua brutalement. Au dessus de ses ennemis, il laissa glisser une dague dans sa main d’où irradiait une lumière rougeâtre qui vient bientôt éclabousser le sol granuleux de sang frai… Se retrouvant sur le sol, après son envol de courte duré. Une nuée de petits démons se ruèrent sur le prince ténébreux, il ne resta d’eu qu’une simple boucherie d’eu. Les dents serrées, un colosse s’avança vers ce monstre qui avait réduit ses braves compagnons en simple cadavre. L’homme allait lui faire payer par la souffrance et la douleur qui affligeait son cœur déjà souiller du sang des nombreux innocents. Soif de sang, ténèbres, mort et peur voilèrent ce qui gonflait l’oxygène déjà irrespirable. Dévoilant une vibro-lame bien affûter, mais pourtant rougie par le sang, le bandit s’avança un sourire satanique collé aux lèvres.
Chacun de ses pas était lourd que le sol semblait en trembler, chaque éclat de roche semblait se soulever pour retomber lourdement sur un sol couvert de poussière et de cadavre…
Les deux adversaire se firent face dans les règle de l’art, en position de combat arme et poing lever. Il mettrais fin à se massacre en emportant la tête du perdant a leur maître respectif.
Placer a un bon mètre de distance les deux adversaire entamère une course vers l’ennemie qui leur fessait face, les armes pointer il s’élancèrent arme au poing.
Un nuage de poussière se souleva dans cette course folle.
Les deux armes s’entre choquèrent brutalement, parant tant bien que mal avec sa dague laser le vibro-lame le prince ténébreux craquait presque sous cette force titanesque les sabre fessait quelques étincelles. Un coup a droite une parade, un autre coup un autre parade. Le combat n’en n’en finissait plus ! Il parait tant bien que mal l’arme qui tentait de se rendre au cœur. Mais le colosse voulait en finir et non pas dans les règles de l’art. Il utilisa sa botte secrète une épine empoisonner disposer dans sa manche, pendant que le petit démon paraît sa grande vibro-lame il laissa la petite épine sauter de sa manche grâce a un mécanisme.
L’épine s’enfonça sa chair comme chauffer à blanc pour ressort en sens inverse, le prince noir roula sur le sol laissant le sang gicler de sa plaie…
-Hahaha ! J’ai eu salté de monstre !-Argg.. Vous ne jouez pas loyale… Alors, vous mourez vite…Pressant sa plaie contre sa main, il se leva tant bien que mal, affaibli… Il souleva le bras qui lui était encore libre, la haine dans les yeux. L’homme écarta les yeux il flottait, sa gorge se serrait de grosse goute de sueur commençaient a couler le long de son front puis de son visage, il voulait respirer !
Comme pour l’achever le ténébreux lui envoya une déchargée électrique d’une tell qu’il ne resta du corps que des cendres...
Le sang maculait les rues désertes, l’aurore pointait déjà son nez. Qui était cet être, ce démon qui avait souillé la nuit de sang. Moins d’un contre une trentaine d’hommes ! Comment avait-il gagné ? Mais le temps pressait il fallait partir.
Tenant son épaule couverte de son propre sang pour une fois, il s’approcha délicatement vers cette douce jeune fille étendue sur le sol, encore en état de choc et en proie à de nombreuses questions… Il lui offrant sa douce main gantelée, au prix d’effort surhumain, pour se relever. Leurs yeux se croisière comme deux aiment attirer un bleu océanique vient croiser ses yeux d'un jaune maladif, rempli de tant de souffrance et d’atrocité…
Perdant pied comme lucide le jeune homme se laissa tomber sur la jeune femme.
Laisser a elle-même, elle transporta le jeune homme jusque chez elle, ou elle devais se rend avant de se faire brutalement attaquer et assister a ses massacres. Elle pensa ses plaies et injecta l’antidote au poison qui lui avait été administré, c’était une chance qu’elle est quelque don de médecin. Sous les soins attentifs de la jeune femme, le jeune homme ouvrit les yeux et plongea une seconde fois son regard dans le sien.
Ils ne lâchèrent plus à partir de ce moment-là!... C'était ce qu'on appelait un coup de foudre... L'amour avait frappé fort, mais elle semblait artificielle... trop rapide... Mais personne ne contrôle son cœur...
Elle le suivit donc chez lui, les yeux pleins d'amour, le ventre plein de papillon et le cœur plein d'espoir... Dans une passion nouvelle où chaque mouvement s’accordait, ils passèrent une nuit ensemble... (Je vous passe les détails u.u)
Le petit couple former à partir de ce jour fatidique se promirent de s’aimer et de ne jamais se quitter, ou du moins jusqu’au rétablissement du jeune homme qui ne pouvais quitter les soins attentifs de la jeune femme…
Un bon mois passa, elle ne fessait que passé du bon temps avec ce nouvel amour! Grandir en beauté et en joie... Quand la nouvelle arriva... Une nouvelle qui aurait dû être heureuse, mais qui fut tout le contraire... Sa visite chez le médecin lui avait appris qu'elle attendait un enfant! Le sourire aux lèvres, elle avait tout préparé pour l'annoncer à l'élu de son coeur. Un dîner aux chandelles dans un beau restaurant, au milieu du repas, après un baiser le jeune ténébreux lui fit une confidence qui lui pesait sur le cœur.
-Je.. Je suis désolée Amélia… Mais je ne peux plus rester…Il inspira profondément sachant que les mots qu’il allait prononcer allaient la blesser, il n’avait pourtant pas le choix s’il voulait qu’elle vive. Il aurait donné cher pour rester avec elle, mais le prix à payer serait trop cher…
-Tu n’étais qu’un jouet et maintenant je ne veux plus de toi.Il se leva rapidement, pour quitter les lieux vers son vaisseau au centre de la ville. La jeune fille resta un moment assit sur son siège en était de choc. Quelque larme routière le long de ses joues rougit par la honte… Elle se leva brusquement et courut rattraper celui qu’elle aimait.
Je vous dirais bien qu’elle a récit a le rattraper et qu’il vécurent heureux jusqu'à la fin de leur temps, mais ce serait mentir sur se journal…
Elle arriva donc au hangar et effleura la coque du navire spatial trop tard.. Elle s’écroula sur le sol et murmura :
-Tu vas être papa…Il était parti... Elle était seule avec cette vie ... Elle ne pouvait rester à Coruscante, elle y souffrait trop... Elle partit donc pour Corélia, un monde qui lui ferait reprendre ses esprits et garder la tête froide... Mais son cœur restait à dans ce monde de pierre et de métal...
Quelques mois plus tard...
La jeune maman caresse son ventre déjà arrondi, dans le quelle un cœur battait, après d’elle pesait le poids de la solitude. Elle aurait voulu passer cette étape de la vie à deux, main dans la main. Loin au fin fond de ses entrailles un mal inconnu vient la ronger ne laissant résulter d’elle que des cris de douleur. Le travail avait commencé plutôt que prévu...
Si le premier enfant est toujours le plus difficile lors de son arrivée, alors on peut dire que ce fut l'un des plus longs et difficiles accouchements qu’il fut possible de vivre pour cette pauvre maman si seul. Le sang couvrait littéralement les murs autres fois d’un blanc cotonneux, la chaleur était insupportable. Ce n’est qu’après d’interminables heures, que la petite frimousse rougeoyante et brayant d’un nourrisson, affreusement maigre vit le jour. L’enfant légèrement prématuré reprendrait des forces en puissant dans celle de sa mère…
Emmitoufler dans un drap de coton, le petit être n’arrêta ces pleurs creux des bras de l’heureuse maman. La jeune mère observa, malgré la douleur qui l’asseyait, l’enfant qui trônait au creux des bras sans force. La différence brillait au fin fond de ses yeux océan miroitant au clair de lune, elle portait au fond des ses iris océan un destin qui lui semblait différent, différent de beaucoup d'enfants.
Pourtant, elle sentait que s’il gardait ce petit bout de chou elle courrait à sa perte. À cette seule pensée, le nourrisson laissa échapper plusieurs sanglots qui firent promettre à la mère en proie au délire une vie au sein d’une famille parfaite qu’elle se construirait !
Au clair d’une lune étrangement rougie, les hurlements de loup virent remplir le silence, comme pour sceller un destin.
Beaucoup de gens ont des rêves aussi impossibles soit-il. Nous avons toujours le désir, l'espoir et la possibilité de les réaliser et ce souvent très jeune. Mais quand on doit faire un choix, il faut parfois mettre ses rêves de côté pour le bien des autres...
Je devais avoir sept ans peut-être même moins... Il ne me reste que peu de souvenirs de ce temps heureux qui n'est que l'insouciance de l'enfance. Ce temps où nous gamins et gamines étions tous égaux...
Une douce brise me caressait le visage, c'était une journée de bataille!
Nous allions affronter un groupe criminel qui retenait un otage. Le plan était fixé, c’était le plan du siècle. Le camp était juste devant, mes mains se posaient nerveusement sur le manche de mon sabre. La guerre m'appelait! Elle coulait dans mes veines! Mais surtout le besoin pressant de le délivrer!
3…
2…
1…
-YAAAAAAAMon cœur s'accélérait, plus le compte à rebours avançait... L'heure avait sonné, l'attaque commençait ! L'armer de jedi sortit du couvert des grands arbres, il était temps de mettre fin à cette guerre ! Nos sabres étaient placés droit devant nous, il était les seuls boucliers que nous possédions ! Les soldats ennemis enfin conscients de la situation déversaient une grande quantité de projectiles de pierre ! Les quatre jedi a eu seul formaient un armé! Mais je dus pourtant laisser mes alliées... Je devais le délivrer ! Il m'appelait, il tirait le fond de mon âme tel un long fil d'or. La route m'était toutes tracée. Il ne prit que peu de temps pour me retrouver dans la mailler, je me faufilais si adroitement que je ne fus même pas remarquée. Il était fissonné au tronc d'un grand arbre, je souris, je trouvais enfin mon petit frère ! Rapidement je me précipitais sur le saucisson qu'était devenu mon frère, la lourde tâche qu'était de détacher chaque nœud était mienne. Le travail était presque terminé, il ne me restait qu'un seul nœud. Je levais par réflex les yeux vers le haut, je constatais qu'un sabre s'abattait sur moi ! Un ennemi m'avait remarquée ! Je plaçais, en cause de désespoir, mon sabre comme seule protection, mais je ne pus rien... Il se brisa en deux et la lame de bois tomba doucement sur le sol terreux. Je fermais les yeux, je ne voulais pas mourir... Ou plutôt subir la grande douleur qui suivait la défaite ! C'était fini !
Pourtant, rien ne se passa... Mon frère avait réussi à se délivrer seul ! Nous avions gagné ! Le sang chaud des gagnants fessait plusieurs tours dans nos veines !
Heureux nous poursuivions nos ennemis dans les ruelles du marché! Une autre bataille d'enfant recommencerait la semaine suivante le temps des préparatifs, nous étions toujours invaincus!
Sur le chemin de retour un homme m’intercepta son front dégarni suggérait qu'il avait vu passer plusieurs printemps et hivers, se devait être un homme sage... Mais ses sourcils touffus poivre et sel le rendaient quelque peu moins respectable.
Je savais déjà au fond de moi qui il était, c’était gravé dans son âme, jusqu’a la moelle de chacun de ses os ! Un grand jedi !
Ce fut la grande excitation, le rêve ! Ils nous proposaient de devenir jedi !
Fou de joie nous le tirions à l'intérieur de la maison, qui nous avait vu grandir, pour faire nos bagages en quelques secondes!
Mais...
Quand je la vis... Assis sur une simple chaise de bois coussiné, son regard était rempli d'eau. C'était comme si l'océan lui-même se déversait doucement le long de ses joues roses. La chaude mer océanique se posa sur moi, là je compris....
Je compris, avec un pincement au cœur, qu'elle ne voulait que mon bien, et ce, depuis ma naissance comme celui de mon frère! Si nous partions pour devenir jedi, il ne lui resterait aucune raison de vivre! Sa famille la détestait parce qu’elle avait tout laissé derrière elle pour moi! Puis son seul et premier amour la tourmentait nuit après nuit. Ce n'était pas une vie!
Si nous prenions ce chemin trop simple, trop rapide qui s'offrait à nous... C’en serait la fin de notre mère et de notre seule faute!
NON, aussi jeune étais-je, je ne pouvais pas laisser ma mère seule... La mort aux trousses l'arme sous la gorge après une vie sans but! Nous étions ses deux petits soleils ceux qui donnait un sens coloré à sa vie!
Notre décision était prisse.
- Monsieur Kiin, moi et mon frère avons réfléchi... Nous ne pouvons pas nous joindre au jedi, ici on a trop besoin de nous... Puis il est impossible pour une de partir, la douleur de la séparation ne serait pas vivable...-Ne vous en faites pas mes enfants... Un jour les jedis vous accueilleront et comprendrons! Mais ce ne sera que quand vous serez prêtes...Sur ses mots, le sage jedi disparut, le vent du sud se leva et de sa silhouette ne resta rien qu'un brouillard sablonneux...
Il avait fait son chemin et il me restait encore le mien!
C'était un jour comme les autres, enfin c'est ce que je croyais... Jusqu'à ce que je prenne le courrier en cette avant-midi de pluie.
Regardant le courrier, je vis une lettre adresser à ma mère, chose quelque peu surprenante... Appart des factures, elle ne recevait pas grand-chose. Je lui donnai la lettre, de la malice dans les yeux. Elle l'ouvrir, la lut si vite et si bien, que je ne pus même pas distinguer un seul mot. Elle la déchira en morceau criant et pleurant, je m’approchai pour l’aider, mais elle me repoussa si violemment que je heurtai la table. Mais diable qu'avait elle !? Poussant des cris, j'appelai de l’aide sur mon comlik. Je criais au voisin de venir dans les rues de l’aide… Personne…
Mon frère était à chez son père, deuxième amour de ma mère… À croire qu’elle n’avait pas beaucoup de chance avec l’amour…
Ne pouvant rien faire de mieux, j'essayais de calmer ma mère qui était en pleur et qui pointait le baster qu’elle m’avait offerte pour ma fête sous sa gorge, si j’avais su je n’aurais jamais accepté se cadeau de fête aussi heureuse…
-Mère lance cette arme ! Tout ira bien ! Je t'en pris !La jeune mère ne quitta pas son arme, elle semblait terriblement bouleverser et résolue.
Je vivais un vrai cauchemar, j’aurais tant voulu me réveiller…
-Ayou je n’en peu plus de vivre, voir le visage de cet homme qu’est ton père… Me lever chaque matin la mort aux trousses… J’ai toute donné pour toi ma vie, mon cœur et mon avenir …
J’AI TOUS FAIT SA POUR TOI ! Maintenant, laisse-moi partir ! Tu es assez grande pour prendre soin de toi et de ton petit frère !Elle laissa un doux sourire éclairer son visage, le premier qu’il me fut donné de voir de sa part… Elle semblait toujours si terne, triste et voilà qu’un soleil se levait sur son visage si pâle… Le jour de sa mort…
Sur ses derniers mots, elle appuya sur la détente et se vida de son sang.... qui gicla dans toute la pièce. J’étais en pleur le coeur en miette couverte de sang le sang de ma propre mère. C’est là que ma mère m’abandonna pleine de sang, seules dans ce monde cruel... Elle mourut sur le contreplaqué de la cuisine longtemps avant l'arrivée d’une aide quel qu’on que... À partir de se jour les malheurs n’allaient pas arrêter de pleuvoir…
Moi et mon frère avions fui, fuis loin de la séparation ! Je n’avais pas encore 13 ans que je fuguais déjà avec mon frère qui en avait 12. La séparation voila ce qui nous guettait après la mort de notre mère… Voilà comment j’ai volé le vaisseau de mon beau père avec mon petit frère pour m’envoler comme ma mère avant moi vers Coruscant… La nous avons fouiller dans les bas fonds pour trouver une guilde, une organisation n’importe quoi qui eu peu nous permettre une autre vie et de disparaître quelque temps dans l’ombre… Après quelque lune dans l’ombre est venu un zabrak à la peau rougeâtre d’un œil mauvais il vient nous proposer de se joindre a son association Essaim. Association que peu trop recommander pour ses fréquentations et action plus que louche. L'Essaim évoluait dans l’ombre parfaite pour deux gamins qui voulaient disparaître…
Généralement il n’acceptait pas les humains, mais consentait à faire une exception pour moi et mon frère… Nous ne serions que de simple pion, mais qu’espérer de mieux ?
Voilà comment je passai les deux prochaines années a prendre la survit sous un autre angle, la ruse, le vol et le maniement du baster. J’apprenais si vite et si bien que mon frère devint jaloux de moi. Il vient de moins en moins me parler, nos chemins se séparaient lentement sans que je puisse faire quoi de se soit…
Après ces années d’entrainement on daigna enfin de m’accorder une vraie mission. Je ne serai pas seule, mon petit frère m’accompagnait. J’étais sûre qu’avec moi en tête cette mission serait un succès, que je gravirais rapidement les échelons pour me trouver au sommet ! D’un pas léger je me rendis vers le hangar,
-Ayou ! Ça fait bien longtemps ! Que fais-tu ici ?-A Wen ! C’est moi qui vais diriger cette mission !-QUOI!… bien bravo… Tu es sur que tu vas y arriver ? Tu devrais laisser ta place à quelqu’un d’autre …- Quoi ? Et te laisser en retirer toute la gloire ? Ne compte pas là-dessus !
Je prenais place dans mon chasseur, suivi de beaucoup d’autres, qui assurerait une surveillance au cargo. Avant d’arriver dans la bordure extérieure nous visitions de font en comble le blanc laiteux de l’hyperespace. Quand l’engin ralentis le monde dans lequel j’avais été plonger quelque heure sassa enfin de tourner, laissant enfin place aux ténèbres d’un vide infini. Dans ce vide infini, nous nous laissions doucement porter par les courants stellaires, un petit attroupement de vaisseaux progressait lentement vers Mustafar pour un déchargement d’arme de nouveau type. Pourtant dans cette troupe solidement former, quelque remous semblait remonter à la surface…
Dans le calme absolu, je laissais mon regard dériver pour explorer cet univers. Ce fut une chance, car c’est grâce à cette observation que je pus voir deux rayons verdâtres se diriger droit sur mon appareil. Je changeais ma trajectoire en effectuant un looping très séré qui me fit voir le monde a l’envers et assister a l’explosion du vaisseau qui était porté près du mien.
Sans vraiment comprendre ou plutôt vouloir de croire, je décrochais ma radio pour joindre ce qui avait été mes coéquipiers.
-Chasseur rouge ! Vous avez perdu le contrôle de votre appareil ? Pourquoi ce tir ?-Non mon cap ! Vous étiez affectivement visé ! Et à cause de vous on a perdu Wilton !-Mais vous avez perdu la tête ! C’est une mutinerie !-Dite sa à votre frère !-WEN !?-Bien Ayou je t’avais dit de ne pas venir… Puis ce n’est pas juste tu as toujours été meilleur que moi dans tout ! À mon tour ! Part où je devrais t’abattre et tu ne gagneras pas cette fois-ci !C’était simple il voulait la cargaison et moi j’étais la seule chose qui se plaçait entre eu et leur trésor… Pour expliquer ma disparition, enfin si voulait revenir chez l’essaim… Il n’aurait qu’à dire que j’étais morte dans une collision… L’excuse serait facile à inventer… Ça c’était s’ils comptaient me tuer…
J’activais les boucliers de derrière, sous les petits cris de mon droïde qui semblaient s’être enfin réveillés, j’allais les attirer dans un piège ! Ils ne me m’auraient pas de cette façon fois d’Ayou !
Je m’enfonçais malgré moi dans les profondeurs insondables d’un cham de roche qui dérivait au gré de l’univers… Zigzaguant aussi dangereusement qu’efficacement dans le cham d’astéroïde, mes cours de pilotage avait été brefs, mais une douce énergie semblai couler en moi me dictant que faire pour survie.
Un tournant serré à droite une explosion a l’arrière… Un poursuivant hors piste…
Un tour à gauche une détonation… Un ennemi de moins sur le parcours…Se petit gère dura un bon moment, je ressentais un étrange plaisir presque pervers a voir mes poursuivants exploser un à la fois… Bientôt ne resta plus que moi et mon frère. Flottant dans le vide infini, nous restâmes la un moment a nous fixé droit dans les yeux au travers de nos cocpite luisants. C’est là que les mots vinrent enfin.
-Ayou, laisse moi partir avec la cargaison.-Non, tu ne crois pas que tu en as déjà assez fait !-Je ne suis plus un ENFANT ! LAISSE MOI FAIRE CE QUE JE VEUX TU N’ES PAS MA MÈRE ! C’EST TOI QUI LA TUER !-Je…Dans sa rage il m’envoya une généreuse portion de laser du haut de ses canons.
Je vis les lasers verdâtres se diriger infiniment lentement vers moi, le temps semblait suspendu, mais mes mouvements semblaient si rapides… Ce que je ne vis pas dans mon infinie vitesse c’est le cargo d’arme, qui avait suspendu ses mouvements depuis les débuts des hostilités, placés juste derrière moi… La détonation fut elle qu’il me sembla voir le vaisseau de mon frère réduit en cendre… Il avait disparu et moi… encore une fois je m’en tirais presque indemne. Je laissai l’eau couler sur mes joues, mon cœur se serrait une fois de plus si j’avais pu j’aurais inonder ma cabine… Pour me noyer dans un chagrin sans fin… J’avais pris la vie de ma mère qui m’avait tout donné… Et maintenant je prenais celle de mon frère ! Pourquoi avais-je bougé ce maudit appareil ! J’aurais pu recevoir ce tire verdâtre comme la fin… Pourquoi avait-il fallut que se soit mon petit frère qui paye pour moi ! Ma seule famille !
Dans mes larmes, dans mes pleurs, dans ma lente agonie du cœur j’avais trouvé une solution pour définitivement en finir !
J’activais les moteurs pour désactiver les boucliers et je fonçais à pleine allure sur le premier vaisseau que je croisais dans ce coin d’univers peu fréquenter. Il ne devrait pas trop souffrir s’il possédait des boucliers…
Ma seule et j’aurais bien voulu dernière vision de se monde fut la coque et une explosion rougeoyante… Le reste fut des ténèbres si épaisses qu’il aurait pu engouffrer toute source de lumière…
Je me réveillais à mon grand étonnement, moi qui aurais voulu payer pour mes crimes, dans une pièce d’un blanc vif. Je fermais les yeux laissant couler une larme sur ma joue. J'avais si mal a certain endroit ma peau pendouillait en lambeau chauffer par le flottement de ma couverture contre ma chaire…... Ses morts, elles étaient venues me hanter pendant mon sommeil... Je n'avais pas pu les aider... les sauver ! De ses temps, je me sentais essoufflée... Fatiguée et si fragile... Elles voulaient me faire payer ? La douleur était insupportable !
Haletant pour reprendre mon souffle perdu, un petit humanoïde trapu sortit de l’ombre ou plutôt de la lumière.
Il sembla faire de nombreux effort pour me parler en galactique, voyant que je ne comprenais toujours pas il fit venir un droïde traducteur.
-Mes salutations chère créature, nous vous avons fait venir sur Polis Massa après l’explosion de votre vaisseau. Tenu par les lois galactiques de vous porter assistance nous vous avons aidé, et malgré se fait votre situation reste précaire… Il va vous falloir une transplantation du cœur rapidement... Mais nous somme isoler et la seule source d’approvisionnement que nous avions vous l’avez fait exploser lors de votre accident…Je lui aurais bien répondu de me laisse mourir, mais aucun son ne sortait de ma bouche. Ce fut donc comme cela que je passai plusieurs heures, jours, semaine je ne savais plus, a attendre un cœur… Je ne savais même plus quelle date nous pouvions bien être... Un grand sommeil me tirait souvent de mes souffrances et de cette salle si blanches, qu'elle en fessait mal aux yeux ! On était peut-être venu me voir... Mais je n'avais souvenir que de simples formes floues et brouillées par mes larmes de douleur et par ce sommeil, cette noirceur qui m'attirait vers une fin proche !
Quand enfin… J'étais sur la table d'opération pour le nouveau coeur qui me permettrait de vivre ! Mais je sentais que s'était la fin, oui la fin ! Je glissais dans un sommeil profond et ma respiration se fessait de plus en plus lente.... Je quittais ce monde qui m'avait vue naître... Pour un autre ?
Bientôt cette noirceur fut éblouie par une lumière, pas blanche, mais rouge ! J'avais perdu contact avec le monde des vivants pour sombrer... Ailleurs...
Une femme se glissa dans ce monde, ce monde où j'étais seule... Une chevelure aussi blanche que cette salle où j’avais agonisé des jours durant pour payer... Elle était assise plus loin dans un coin, la tête entre ses jambes. Savait-elle seulement que j'étais là ? Où rêvais-je encore? Je m’approchais, si légèrement que je pensais flotter. Je posais ma main sur l'épaule de la femme.
-Tout va bien ?Elle leva doucement sa tête, une fois sa masse chevelue écarter. Je vis une horreur ! Un visage plein de sang sécher, en décomposition, quelques vers bougeaient dans ce visage mutiler. Je reculais horrifier pour me retrouver contre un mur, je bougeais encore un autre mur ! J'étais encerclée ! La femme avançait morbidement vers moi cirant mon nom. Elle me prit le bras avec une main cadavérique, d'un blanc laiteux avec des ongles crochus et bien jaunes. Mais moi qui me croyais dans un rêve je souffrais ! Ses froides mains me seraient si fortes et semblaient me pomper le peu de vie qui me restait, je devenais de plus en plus froide. Ma peau était mutilée par ses longs ongles qui pénétrèrent ma peau y creusant de profonds sillons.
-Tu m’as tuée ! Tu dois payer ! Tu m’as volé mon cœur !-JE... Je n'ai rien fait !- Menteuse ! Le maitre te tuera ! À cause de toi nous ne serons liés à tous jamais !Des flammes nous entouraient, où étais-je donc ! En enfer ! Juste quand je me sentais sombrer dans des ténèbres, une seconde fois, de plus en plus profonde... Je la sentis enfin ! Oui, la main qui me sortait de ces cauchemars.
Quelques jours, heures ou secondes le temps avant d'ouvert mes yeux... Je ne savais plus…
Une douce brise sur mon visage, le soleil dans mes yeux la chaleur de mes proches. J'étais morte? Non! Vivante! Mais… Il n’y avait pas de douce brise de vent, pas de fins rayons de soleil et encore moins la chaleur d’une famille qui m’attendais, simplement parce que je les avais tués… Le droide était réapparue dans la salle, il comment ça a tous m’expliquer…
Il m'expliqua tranquillement comme j'avais obtenu mon cœur. Les médecins de la station avaient réussi à me trouver un cœur d’une des nombreuses victimes que j’avais faites dans ma tentative de suicide… Une Akaniene en bon état… La greffe n’aurait pas du fonctionner, nos deux espèces différentes, mais le résultat s’était avéré miraculeusement positif, après avoir stabilisé mon état…
Sur mon bras, je retrouvais les traces d'ongles, comment était-ce possible?
Quelques jours avant de partir de cette station, je me regardais dans un miroir et non ce n'était pas pour faire quelques coquetteries. Mais bien pour voir l'étendue des dégâts ou plutôt des proprets... Je déboutonnais ma chemise pour voir une cicatrice ...
Mon seul reflet dans la glace suffit à me lever le cœur! Je ne serais plus jamais la même ! J'avais tant changé! Avec ce cœur, qui battait doucement dans ma poitrine et qui n'était pas mien... Mais en observant mon reflet dans la glace, je ne vis pas la petite Ayou, mais bien une femme au regard rouge dangereux... Celle qui m'avait fait tant changer !
Son cœur était noir, le goute de la vengeance et de la mort coulais dans mes veines… Mais mon esprit restait blanc, doré comme le soleil… C’était un terrible dilemme… L’obscurité contre la lumière… Un cœur noir et un esprit blanc...
-Ayou! Tu m’as volé ma vie ! Le maitre ne t'a jamais aimé, c'est pour ça qu'il t'a abandonné, il va te faire payer ! OUI un jour tu vas payer! Tu verras, par le sang ! Tu verras ...L'iris bleu pur de mes yeux sembla submerger par un tourbillon rouge marron, tel le sang, qui s'y mêla... Je ne revis jamais cette couleur au fond de mes yeux, avec là qu'elle j'avais vu le monde. Elle avait disparu pour laisser place à des yeux d’un violet si dangereux !
C’est après ces événements que j’eut une idée complètement folle, si je ne pouvais pas mourir, car mon heure n’était pas encore venue je n’avais qu’a tous oublié comme se Revan. Je ne pouvais plus vivre avec mes souvenirs alors autant ne plus en entendre parler…
Après des semaines de recherche, je finis finalement par trouver un jedi… Malgré tout ce que je pus lui dire, sa réponse s’avéra négative…
Alors, une autre idée vient se loger dans mes neurones déjà fatiguer, c’était les murmures du cœur noir qui battait dans ma poitrine qui me l’avait susurré…
Trouver quelque chose d’important appartenant au jedi dans leurs archives et le lire… Ne resterait que le chantage…
Me voici deux jours après ma tentative elle s’est avérer positive… Je ne puis écrire ce que j’ai trouvé dans ce journal… Mais je serais enfin libérée dans quelques heures !
Voilà pourquoi mon cher journal je te laisse délivrer dans les confins de la galaxie, en mémoire du passé.
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Sujet: Ayou l'ange cornu ^w^ 
Jeu 4 Mar - 4:23
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Moi je veux bien te vénérer ^^
