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Du chaos, le désespoir
Tailon Delmo
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MessageSujet: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeDim 24 Jan - 1:44
Tailon avait suivi Khain. Il s'était d'ailleurs fait capturé en même temps que lui. Ces en ruminant que Tailon fut amenés au cellul. Il avait bien envie de se tirer de là, mais cette fois si, on avait pris soin de lui enlever sa lame cachée. Que c'était t'il passé au juste pour qu'on le capture. Il n'était même pas officiellement dans un camp de revanchiste ou de jedi. Déserteur d'un, il voulait rejoindre l'autre. Mais l'événement récent lui avait empêché de renter parmi les revanchistes. Et là, il était capturé. Encore. En entrant dans une cellule, Tailon regardas Khain. Il s'avait qu'il ne devait pas agir, mais il ne voulait pas non plus être emprisonné. Il tenta de s'asseoir dans le peu d'espace libre et poussa un soupir. Il sursauta quant Khain dit.

– « Bon, et bien il semblerait que nous allons avoir du temps pour faire connaissance finalement. »

Tailon lança un autre soupir.

-oui...surement. Ou peu être pas non plus. ça fait deux fois que me fait capturer aujourd'hui. Je commence à être tanné. De plus des pirate qui voulait me capturé. La raison de mon écrasement. Tien, les gardes arrives. Je me demande pourquoi.

Effectivement, plusieurs soldats entrèrent avec ce qui semblait être un Capitaine. Il arriva à coté des deux Revanchiste. Puis il dit.

-Alors, aller vous parler, ou on va devoir vous faire parlé? Pourquoi avoir tué la reine? Vous n'étiez pas aussi cruel avant. Apparemment, votre ordre a pris du mauvais. Vous êtes venus ici pourquoi? Tenté de tuer notre général?

Tailon ne répondis pas. Ni lui, ni Khain. Le Capitaine sourit alors. Bizarre dans le contexte de la situation.

-Mais ami, nous allons nous amuser un peu. Prenez le plus vieux en premier. Cela va peut-être délier la langue du plus jeune.

Khain lui lança un regard qui signifiait de ne rien faire. Puis les gardes l'emmenèrent. Peux après, des exclamations de douleur se firent entendre. Tailon s'assit, avec une boule nouée. Il ne pouvait rien faire pour le moment. Et cela le torturais à l'intérieur. Tailon ne sus combien de temps avait passé, mais les cris stopaires. Ils ramenèrent Khain. Il semblait exténué et endolorie. Normal vus le mauvais temps qu'il venait de prendre.

-Prenez le jeune maintenant. Il devrait parler.

Les gardes sortir Tailon de la cellule. Son coeur bâtait la chamade. S'il ne voulait pas lancer des menteries seulement pour arrêter la douleur, il aurait besoin de toute sa volonté. Les gardes l'amenèrent dans une pièce ou il fut couché sur une table. Une voix lui dit.

-c'est ta dernière chance d'éviter la douleur. Sinon, tu en a pour un bon moment sauf si tu parle pendant ce bon moment.

Tailon répondit de façon sarcastique.

-C'est dommage. J'aimerais bien savoir au moins pourquoi je suis ici.

Le garde répondit alors.

-Tu te crois fin toi. Tu riras moins après.

D'abord, ils attachèrent les bras et les jambes de Tailon. Puis, une manivelle écartela les membres de Tailon. Celui-ci hurla de douleur. La torture ne fessait que commencé.

Désespoir!
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Caine Lornan
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeDim 24 Jan - 18:37
– « Oui...surement. Ou peut être pas non plus. Ça fait deux fois que je me fais capturer aujourd'hui. Je commence à être tanné. De plus des pirates ont voulu me capturer. C’est la raison de mon crash. Tiens, les gardes arrivent, je me demande pourquoi. »

Tout cela était fort bizarre. Ca ne faisait pas assez longtemps que l’on était prisonnier pour qu’ils viennent nous libérer alors ils ne pouvaient venir que pour nous interroger. Je sondais leurs intentions et fus surpris de sentir une profonde noirceur dans leur esprit. Il ne venait pas pour nous interroger mais pour nous faire avouer coute que coute. Je voulus le dire à mon compagnon d’infortune mais leurs entrés m’en empêcha.

Plusieurs soldats entrèrent avec ce qui semblait être un gradé. Il approcha de nous, accompagné de deux gardes, laissant les autres à la porte.

– « Alors, allez vous parler, ou va t’on devoir vous faire parler ? Pourquoi avoir tué la reine? Vous n'étiez pas aussi cruel avant. Apparemment, votre ordre a pris du un mauvais courant. Vous êtes venus ici pourquoi? Tentez de tuer notre général? »

Aucuns de nous ne répondis. Pas parce qu’on ne le voulait pas mais parce qu’on ne savait pas quoi répondre. J’étais encore frappé de stupeur par les paroles du soldat : Talia était morte. Je connaissais bien la reine, j’avais longtemps séjourné sur Ondéron par le passé et elle avait eu une forte relation avec mon vieil ami Kavar. Apprendre sa mort dans ces conditions me laissait pantois. Devant notre silence, le Capitaine sourit et repris.

– « Mes amis, nous allons nous amuser un peu. Prenez le plus vieux en premier. Cela va peut-être délier la langue du plus jeune. »

Je lançais à Tailon un regard pour lui signaler de ne pas intervenir et commençai à rassembler la Force pour me préparer à ce qui m’attendais. Je connaissais bien les sensations qui s’échappaient des soldats, ils comptaient me torturer. J’avais souvent subi ce genre de chose par le passé mais même avec une bonne préparation on ne pouvait que rarement lutter.
Je fus emmené par les gardes jusqu’à une pièce adjacente, de taille moyenne, entièrement en pierre immaculée, la pièce était plutôt pauvre en mobilier. Une grande table pourvue de sangles et de grosses manivelles tenait lieu de centre. Dans un coin de la pièce je pus voir un gros générateur d’énergie et de nombreux ustensiles que je connaissais bien, à côté du matériel se tenait un autre individu portant un masque sur le visage. Les gardes me firent m’allonger sur la table sans aucunes douceurs. Après m’avoir retiré mon armure Zeison Sha et laissé en sous vêtements, ils m’attachèrent solidement les bras et les jambes et me passèrent une sangle en travers de l’abdomen et une autre sur le front.
Le capitaine ordonna que la table soit orientée à la verticale et se positionna devant moi.

– « Alors Jedi, quelques choses à nous avouer ?

- « Rien de ce que vous souhaitez entendre. J’ignorais que Talia était morte avant que vous me l’appreniez. »

Le Soldat me frappa violement et je sentis le goût du sans me remplir la bouche.

– « Ne t’avise jamais de manquer de respect à la mémoire de la reine, vermine. Pour toi c’est son altesse royale.

Le regardant avec mépris, je lui crachai en plein visage le sang que je ne pouvais avaler. Ma témérité ne me valus qu’un nouveau coup, d’un des autres soldats cette fois-ci. Le capitaine se recula pour s’essuyer et revint à la charge avec une haine parfaitement lisible dans le regard.

– « Alors, tu veux jouer sale chien. Et bien tu vas être servi. Bourreau, fais ton travail. Je veux tout savoir de ce qu’il nous cache mais attention, qu’il reste en vie pour une deuxième séance. »

L’homme à qui il venait de s’adresser s’approcha de moi. Ses yeux luisaient la folie qui l’habitait, j’avais déjà vu des êtres comme lui auprès de Revan. Il n’y avait jamais aucuns moyens de les faires revenir à la raison. Après m’avoir dévisagé un moment, le bourreau retourna auprès de ses instruments. Il revint avec une série de lames de toutes tailles ainsi que des sortes de vrilles.

- « Moi bien aimé toi, parce que toi pas vouloir répondre. Alors moi bien m’occuper de toi, comme j’aime m’occuper de mes amis. »

La folie je disais, non cet homme était tout bonnement malade. Le plaisir qui se lisait dans son attitude et son regard réussi à faire naitre en moi une peur insoupçonnée. L’homme pausa sur mon torse l’une de ses lames et trancha la peau sur une vingtaine de centimètre. Malgré l’aide de la Force, je ne pus réprimer un cri de douleur. Me reprenant rapidement, je foudroya le bourreau afin de l’inciter à continuer pour lui montrer qui j’étais. On m’a souvent dit que ma témérité me perdrait et je ne peux nier qu’il y avait du vrai là dedans. L’homme continua à lacérer ma peau en de multiple endroit, il n’alla jamais trop profondément afin de ne pas entamer la chair. Il semblait préférer travailler par étape. Le Capitaine reprit la parole pendant que je serrais les dents pour réfréner mes cris.

– «Alors Jedi, la mémoire te reviens ? Pourquoi avoir tué, ou fait tuer c’est pareil, notre reine ? Répond chien ! »

- « Va te faire voir chez les Sith, bouffon. »

A ces mots, le bourreau m’asséna un violent coup dans l’abdomen et empoigna l’une de ses vrilles. Il l’appuya sur mon épaule gauche et commença à l’enfoncer dans la chair. Lorsqu’il ne put plus la faire pénétrer facilement, il marqua une pause et regarda le capitaine.

– «Toujours amnésique ? »

Devant mon silence, il fit un signe au monstre qui se tenait à mes côtés. Celui-ci émit un rire grossier et commença à tourner sa vrille pour la faire pénétrer mes os. Le crissement seul aurait suffit à faire blêmir une Jal Shey, mais sentir ses os s’effriter sous l’effet d’un objet qui pénétrait lentement m’arracha un hurlement de douleur et de terreur. L’homme pesait lourdement sur l’instrument afin de mieux le faire pénétrer. Une fois son travail de perforation effectué, il dévissa le manche en bois de la vrille et se recula pour me regarder. Mon état était vraiment pas brillant : je saignais abondamment des plaies superficielles qu’il m’avait faite, et un plus gros flot de sang s’écoulait de mon épaule. Je suais abondamment à cause de la douleur et mes yeux étaient baignés de larmes. Le capitaine revint me questionner.

– « Bon, je pense que tu en as assez. Tu vas être gentil et me répondre : pourquoi avoir tué notre Reine ? »

Je lui jetai un regard vitreux et me força à le défier de nouveaux en lui souriant.

- « Je t’ai déjà répond bouffon, vas voir chez les Sith ! »

– « Très bien, tu l’auras voulu. »

Le Bourreau alla attrapa un câble qui pendait le long du générateur d’énergie et revint l’attaché à l’extrémité de la vrille toujours fichée dans mon épaule. Je vis un autre soldat remplir une bassine d’eau un peu à l’écart et venir la pauser à mes pieds. Les soldats aidèrent le bourreau à me déplacer un peu et me plongèrent jusqu’au cheville dans l’eau.

– « Tu feras moins le fier après Jedi. »

A chaque fois que le capitaine disait le mot « Jedi », cela ressemblait à une insulte. Qu’est ce qui avait bien pu se passer pour qu’il haïsse autant les Jedi ? J’étais sur qu’il ne m’avait pas tout dit. Le bourreau repartit vers le générateur et l’activa lentement.

D’abord faiblement puis de plus en plus fort, je sentis le courant électrique courir dans mon corps. Lorsque le voltage fut suffisamment puissant, mes pensées furent tellement inaccessibles à moi que je ne parvins même plus à entendre mes cris. Mon corps fut pris de soubresaut, et fort heureusement pour moi, ils furent tellement forts que je réussis à renverser la bassine d’eau. Le bourreau coupa l’énergie qui me parcourait et s’approcha de moi en vitesse pour me frapper de nouveau.

- « Moi plus aimé toi, toi pas gentil, pas laissé moi faire mumuse comme je le veux. »

Réussissant à me concentrer suffisamment pour appeler la Force à l’aide, je fis léviter l’un des scalpels donc il s’était servi pour m’entailler le corps et qui reposait sur le sol, et le lança avec assez de force pour qu’il aille se ficher dans le cou du monstre. Celui-ci essaya vainement de parler mais ne pu qu’émettre un gargouillis de sang avant de s’effondrer mort sur le sol. Les soldats se précipitèrent pour lui porter assistance et le capitaine réactiva le courant qui me cloua de nouveau sur place. Je dus perdre connaissance, car je ne me souviens plus des évènements entre ce moment et celui ou je fus détaché de la table puis sommairement revêtu. Lorsque je dus m’appuyer au sol pour marcher, mes se dérobèrent sous moi et je m’écroulai par terre. J’essayai de me relever mais sans l’aide des soldats je n’aurais pas réussi. Je constatais la présence d’un nouvel individu portant un masque dans la pièce, il y avait donc un bourreau de rechange. Quand je posais mes pieds pour marcher, je ressentis de violentes douleurs et je vis que des trainés de sang me suivaient. En réfléchissant je compris qu’il avait du m’entailler le dessous des pieds afin d’éviter que je tente de m’enfuir, comme si mon état me le permettait. En tout cas pas avant une bonne cure de méditation curative Jedi.

Ils me ramenèrent à la cellule. Le regard de Tailon en disait long sur mon état.

– « Prenez le jeune maintenant. Il devrait parler.

Les gardes sortir Tailon de la cellule et je ne sus pas ce qui se passait par la suite car je sombrais dans l’inconscience. Je fis en sorte d’appeler la Force avant de m’évanouir afin qu’Elle régénère mon corps au mieux.
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Frank Manak
Frank Manak
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeSam 30 Jan - 8:38
Le vaisseau était silencieux on entendait juste le bruit des moteurs . Tous avait un goût amer dans la bouche . La Reine Talia était morte et le coupable s'était échappé . Les onderoniens chercherait un bouc émmisaire et les revanchiste était les candidat réver . Le sas s'ouvrit sur le camp des revanchiste . Frank descendit et alla directement a sa tente . Les prochains jour promettait d'être sombre . Le mando'ade se coucha sur son lit de camp . Il se réveilla sur une table d'opération . Avec divers blessures sur le corps et un médecin mort sur le sol . Un grand massif entra dans la piéce qui était plein d'instrument de torture et de sang .




Bon -sang mais ou est que je suis ?




Ne fait pas semblant d'avoir perdu la mémoire jedis , pourquoi avoir tué la reine Talia ?




Quoi ? , mais ce , n'est pas nous c'est un sith










D'accord comme tu voudras . Electrifiais-le







Le Grand Costaud plaça des pinçes a divers endroit du corps . Au coin de la pièce , Frank vit l'armure Zeishon Sha de Khain







« Non c'est impossible , pensa Frank , je ne peut pas être dans le corps de Khai aucun pouvoir de la Forçe le permet , en tout cas pas a ma connaissance .




Tout d'un coup Frank sentit une énorme décharge électrique lui parcourir le corps entraînant une douleur atroce et puis … Frank se réveilla dans sa tente , au camp des revanchistes, sur Dxun




Frank savait que ce qu'il avait rêver était réel il courus dans son vaisseau et en profita pour contacter Landos







-Landos , ici Frank les Ondernoniens tiennent khain j'y vais rejoins-moi dés que possible




Au bout d'un certains temps Frank se posa sur le spatioport lorsqu'il sortit il vit autour de lui , des flammes des mort







Bon sang mais qu'est ce qui c'est passé ici ?




Tout d'un coup il vit des civils se massait autour de lui . Frank vit l'un deux avec un couteau a la main . Frank dit :




Ecoutez -vous me laissez passez et vous repartirait indemne







Ah ! Tu crois qu'on a peur de toi , Mandalorien ?




Vous devriez







Frank sortit son marteau et frappa le sol avec ce qui dégageas une onde électrique qui mit assommas

tous les civils autour sauf que Frank n'avait pas vus qu'un des civils avait laissé un détonateur thermique roulait sur le sol







Oh le con !!! crias Frank







son armure absorbas la majorité de l'explosion mais il fut quand même sonné . Il relevis la tête une personne tendre sa main vers lui
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Lando Dell
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeSam 30 Jan - 10:21
- Au cas où ca ne serait pas évident, je suis une Kiffar. Donc, en ces temps de besoin et étant la représentante de mon ordre la plus près d'Ondéron, je me doit de m'y rendre dans les plus brefs délais pour leur accorder ma science et mon soutien et aider à ce que la justice et la diplomatie triomphe. Le plus délicat serait que je leur envoie un message leur demandant de m'accorder le privilège de les aider.

Lando, entendant son com-link sonner, dit à la jeune femme :

- Bien, je vais vous laissez à l'enregistrement de votre message, bonne chance.

Puis le chevalier Jedi se retourna et activa l'appareil qui bipait. Il entendit la voix de Frank qui disait :

- Lando, ici Frank, Les Ondernoniens tiennent Khain. J'y vais. Rejoins-moi dés que possible.

Comme s'il avait deviné le futur désaccord de Lando face à un départ si précipité, Frank raccrocha directement. Le jeune Frank n'allait pas s'en sortir tout seul et il fallait aider Khain. De plus, si Lando se rappelait bien, Tailon était avec lui, ça fera donc deux personnes à sauver. Beaucoup pour un seul homme.

Lando se retourna à nouveau et vu que la jeune kiffar était partie, surement au poste de communication. Il quitta alors sa tente et se dirigea le plus vite possible vers les pistes d'atterrissages. Quand il passa la porte, il vit une navette dans le ciel qui s'éloignait. *C'est surement celle de Frank* pensa-t-il. Il monta lui aussi dans une navette et se dirigea vers Ondéron.

Une fois dans l'atmosphère de la planète, Lando ralentit. Il voyait une masse de gens ssur le spatiport du palais. Soudain, une secousse électrique les éloigna tous, précisant la présence de Frank. Lando se dirigea vers cette destination et lorsqu'il entendit et vit une explosion, il accélera.

La navette, en atterrissant, déplaça l'écran de fumée qui se massait autours d'elle. Lando sortit le plus vite possible et, apercevant un corps à terre, se dirigea vers lui. Il vit que c'était Frank et lui tendit la main pour l'aider à se relever, le choc de l'explosion ne l'ayant pas laissé indemne. Il l'aida à marcher jusque derrière des caisses et là, il le fit s'assoir contre l'une d'elle. Il s'adressa à Frank en ces mots :

- Tu aurais du attendre Frank, la situation sur cette planète est critique et foncer tête baissée n'est pas la bonn solution.

Puis, jetant un regard par dessus les caisses pour voir les civiles se rassembler, il se mit accroupi et dit :

- Je propose d'attendre le message de la Jal-shey Herebeth pour que les tentions s'apaisent et que Khain et Tailon soient libres. Si nous les libérons, ça ne fera je pense, qu'envenimer les choses.
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Tailon Delmo
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeSam 30 Jan - 14:48
Désespoir!





Ma première
séance de torture fut un véritable cauchemar. Il semblait employer des
technique qu’il connaissait bien, ou alors qu’il inventait au fur et a mesure. Les
pires manières de torturé quelqu’un sans laisser de trace trop apparente. Au cas
où qu’il se tromperait. Il avait l’air contant que je ne veuille rien dire.
Pour dire coi? Je venais juste d’apprendre que la reine avait été assassinée.
Reine que je n’avais même pas rencontrée. Comment des hommes pouvait t’il tombé
si bas? Des hommes qui semblaient pour temps bon. Le désespoir peux être? Ou la
folie. Ou encore, la manipulation.





Comme
première technique de torture, ils m’écartelaient. Mais os voulais voler en
éclat. La douleur était déjà insupportable. Se fut pire encore, quant l’un des
garde tira tellement fort sur la manivelle que
mon bras gauche ce déboitât. La peau pu alors prendre plus d’élasticité,
mais elle déchira un peux sur le dessus. Les gardes relachère la pression. Je
tomba mollement sur la table. Le temps qu’il prépare leur prochaine technique
de torture, j’entrevis la pièce. Coi que ma vision était trouble. Du sang semblait
avoir coulé ici. Mais ce sang n’était pas le mien. Mon bras avait beau saigné,
Ce n’était pas suffisant pour remplir une pièce. Je regarda mon bras. Il était en
piteux état. Les os disloqué était
séparé bien distinctement et un mince filet de sang coulais de la déchirure
mineur. Rien de grave. Je l’espérais du moins.





J’entendis
alors les gardes approché. Il ricanait. L’un deux dit alors.





-Tu vas
payer pour ce que ton ami a fait a notre ancien bourreau.






- Pourquoi
serait s’a moi de payer? C’était à lui de payer.






Je me rendis
alors compte de c’est pensé égoïste. Et qui semblais avoir un impacte encore
plus néfaste sur la situation.





-Et bien,
on voix la votre coté généreux n’est ce pas jedi?






J’entendis
comme des bruits. Comme une pince que l’on ajuste. On m’enleva alors mon linge.
Toujours attaché pars les bras et jambes, je pu bouger la tête. Je vis le
bourreau avec un pince. Elle semblait faite pour arracher. Rendu presque nu, le
bourreau s’approcha. Je pouvais presque voir son sourire sadique sous sa
cagoule. On m’attrapa alors un pied. Puis on l’attacha fermement pour qu’il ne
puisse pas bouger du tout. Je sentis alors la pince agrippé mon ongle. Puis
d’un coup sec, il arracha. La douleur était vive et lancinante. Du sang
s’écoulas aussitôt pars la plaie que venais de faire l’ongle en s’arrachant. Le
bourreau passa au second. Il fit tout mais ongle des deux pieds.





Puis, il
repartir. Il revinrent rapidement avec des couteau taché de sang. Du sang qui
semblais assez ressent.





-Alors
petit, vas-tu parler?






Le
capitaine approcha la lame de mon annuaire qui était déjà à moitié couper.





-Tu rêve en
couleur mon vieux.






J’avais
pris bien soin de positionner sur lui en même temps. Le capitaine jura, puis me
coupa se qui me restait de mon annuaire. Je perdis mon doigt jusque a la
phalange. C’était douloureux, très douloureux. Mais cette douleur, me rappelas
des souvenir. Des souvenir certes mauvais, mais qui me redonnaire espoir.
Bravant ma douleur, je souris. Le capitaine semblas surprit au plus haut point.
Il fit alors signe au bourreau. Celui-ci, prit l’un de couteau ensanglanté.
Puis il l’essuya rapidement.





S’approchant
de moi avec, il le déposât délicatement sur mon torse. Puis, il trancha la
chaire. C’était douloureux au plus au point. D’ailleurs, il semblait prendre les
secteurs ou il y avait le plus de nerf. Je n’en pouvais plus, alors je fis
quelque chose. J’utilisa la force. Mais cela me permit de me sauvé de la
torture. Pour le moment du moins. Je fit revoler les couteau dans tout la pièce.
Je nu même pas conscience de faire cela. De tout façon, juste après j’était
tombé dans l’inconscience. Combien de temps allait passer avant que je me
réveille? 1 heure? 1 journée? 1 semaine?





Souvenir!


[HRP: dsl pour les faute, mais je n'ai pas u le temps de corrigés.]
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Caine Lornan
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeDim 31 Jan - 15:04
J’ignorais depuis combien de temps l’on m’avait reconduit dans ma cellule pour emmener Tailon à ma place. Cela pouvait faire des heures comme quelques instants. La Force m’avait permit de guérir les blessures les plus superficielles mais mon épaule n’était pas encore remise, loin de là. Lorsque j’essayais de bouger le bras, j’avais encore la sensation de la décharge électrique s’insinuant dans tout mon corps. Je sentais non loin de moi quelques présences, dont celle de Tailon qui s’atténuait par à coups avant de revenir plus brillante en fonction de la puissance de ses cris. Plus près de ma cellule, juste derrière la porte, je sentais le garde qui restait en position en permanence. Sans que je sache pourquoi, celui-ci pénétra dans la pièce avec le regard hagard, puis une fois rentré il s’effondra sur le sol. Je distinguai à sa suite une forme de petite taille mais se déplaçant avec beaucoup d’assurance. La personne se plaça dans la lumière tout en prenant la parole.

- « Ils n’ont pas l’air d’y être allé de main morte, dites moi. »

La voix appartenait à un Bothan au poil blanchi et dont le visage était traversé par une grande cicatrice ayant emporté l’un de ses yeux. A sa taille pendant un cylindre dont la forme ne donnait aucuns doutes sur son utilité : un Sabrelaser. Sans me relever, je lui répondis.

- « Bien observé, Jedi. Puis-je savoir à qui j’ai l’honneur ? »

- « Mon nom Denkar Rank'sar, Maitre de l’Ordre Jedi le vrai, pas celui des parias Revanchistes. Et si je ne m’abuse, vous devez être Khain, le Morellien. »

Alors là, je ne m’y attendais pas. Les Jedi avaient déjà envoyé quelqu’un sur Ondéron ? On ne pouvait pas nier qu’ils étaient rapides, mais je me doutais que le Bothan devait plutôt être déjà sur la planète au moment des faits, ce qui expliquait les accusations des soldats. En plus, il semblait me connaître, j’avoue en avoir été assez flatté même si la chose n’était pas surprenant ; j’étais l’un des derniers Jedi vivant qui avait connu les guerres Mandaloriennes. Je réussis tant bien que mal à me relever et à m’avancer jusqu’au barreau de la cellule. Je sentis le champ de force crépité de l’autre côté.

- « Je suis flatté que vous me connaissiez, vous m’excuserez de ne pas vous serrez la main mais ……. Alors c’est surement à cause de vous que je suis enfermé ici, les Ondéroniens pense qu’un Jedi à tuer leur reine et je suppose que c’est vous ? »

- « Bien sur que je vous connais. Les Jedi ayant combattu aux guerres Mandaloriennes ne sont plus légions et votre sabre est connu de tous. Je ne parle pas de l'outil que vous utilisez aujourd'hui bien sur, mais de l'arme que aviez à l'époque. Sa couleur reste gravée dans les mémoires de tout ceux qui l'ont déjà vu. Pour le meurtre de la rein, je vous croyais plus fin que ça, vu votre âge. Non, je ne suis pas coupable, comme aucuns Jedi d’ailleurs, c’est un Sith l’assassin mais ça ne devrait pas vous surprendre, vous les connaissez mieux que beaucoup. » Ca remarque me blessa quelque peu mais je fis en sorte de ne rien laisser paraître. - « J’étais venu sur Ondéron pour convaincre mon ancien Padawan de quitter les rangs des Revanchistes pour revenir chez nous. Il était devenu chef de la garde de la reine et je soupçonnais leur relation d’aller bien au-delà. Mes soupçons sont depuis confirmés. Le Sith a non seulement tué la reine mais mon Padawan aussi. Le crime que ce monstre a commit va bien au-delà d’un simple meurtre. Talia était enceinte de Noguar et en la tuant, le Sith lui a arraché les entrailles et découpé le fœtus aussi. J’ignore dans quel but mais lorsque je l’ai affronté un peu plus tard, il m’a semblé particulier même pour un Sith. »

- « Je suis navré pour votre Padawan, sincèrement. Avez-vous essayé de dire tout ça aux Ondéronniens ? »

- « Pourquoi faire ? Le Sith a bien fait les choses, il a influencé les esprits de plusieurs soldats pour le faire croire que les Jedi étaient coupable, et voilà que vous et l’autre Chevalier arrivés. Quand il se passe de tel évènement, les gens vont au plus simple. Votre simple venu a servi à accréditer les dires du Sith. En plus, je pense que vous devez avoir perdu la notion du temps dans votre cellule mais depuis les évènements, il s’est passé une vingtaines d’heures et les Sith ne se sont pas tourné les pouces. Ils ont préparé un communiqué officiel de leur Ordre, qu’ils ont diffusé sur tous les médias. Dedans, ils annoncèrent à toute la République l’assassinat de la reine et l’implication des Jedi dans cet acte abominable. Dehors c’est le chaos. Si jamais vous parvenez à vous échapper, je vous conseillerais de ne pas trainer sur la planète. D’ailleurs je pense que les Revanchistes devraient quitter Dxun. »

- « Ils ont vraiment tout bien arrangé, les salopards. »

Ma colère fut grande d’apprendre les manigances des Sith et elle fut palpable dans la Force.

- « Vous vous laissez aller Khain ! La colère ne sert à rien, à trop vous éloigner des Jedi, vous perdez de vu l’essentiel. »

- « Ho non ! Pas encore les discours sur les dangers du Côté Obscur, j’ai passé l’âge. J’ai affronté bien plus souvent que la quasi-totalité des Jedi les affres du Côté Obscur et arpenté bien des ses sentiers, sans jamais m’y perdre. La colère est naturel chez les humains, et même chez les Morelliens, mais bien sur que je sais me contrôler. Et qu’est ce que l’essentiel pour vous, Maitre Rank'sar ? Rester dans votre temple à méditer ou faire en sorte d’arrêter les Sith ? »

- « Ma simple présence devrait vous répondre. L’Ordre n’est plus ce qu’il était à l’époque des guerres Mandaloriennes. Si les évènements de l’époque se passaient aujourd’hui, il entrerait certainement en guerre. »

- « Mais les évènements qui se passe dehors sont encore plus importants que ceux de l’époque. Les Sith ont quasiment prient les commandes et les Jedi n’ont pas encore contre attaqué. »

- « Contre attaqué ? Mais comment voulez vous que nous fassions ? La plupart de nos membres ont déserté pour rejoindre les Revanchistes et même au sein du Conseil les dissensions sont grandes. Pour pouvoir être utile, l’Ordre a besoin de combattant. C’est pour ça que je voulais que Noguar revienne, l’Ordre a besoin de Jedi tel que vous Khain. De personne connaissant les dangers du Côté Obscur et de la guerre. En restant chez les Revanchistes, vous faites une terrible erreur. »

- « Vous n’êtes pas si bien renseigner que ça, je viens seulement de rejoindre leur rang. »

Le silence suivit quelques instants notre échange virulent. Seul les cris de Tailon se firent entendre.

- « Je suis resté à l’écart des conflits pendant longtemps et lorsque je me suis décidé à participer, ou vouliez vous que j’aille ? Les Jedi ne m’auraient jamais accepté. »

- « C’est là que vous faites erreur sur nous. L’un des créneaux des Jedi est la compassion et le pardon. Quelques qu’ont été vos actes passé, vous avez prouvé bien plus que nécessaire que vous étiez digne de reprendre votre place dans nos rangs. Le Conseil ne vous aurait pas rejeté. Mais il n’est pas encore trop tard, vous pouvez nous rejoindre. »

A cet instant, nous entendîmes des pas dans le couloir derrière la porte. Les soldats devaient certainement ramener Tailon.

- « Nous n’allons pas avoir le temps de continuer, malheureusement. Tenez bon Khain, je sais que des secours vont venir pour vous. Le Sith coupable du crime est un Arkanien, je doute qu’il soit nombreux dans leur rang. Une fois libre, faites votre choix entre rester avec les Revanchistes ou revenir là ou vous devrez être, parmi les Jedi. Que la Force soit avec vous, mon ami. »

Après avoir bien réussi à me perturber avec ses paroles, le Bothan disparut aussi facilement qu’il était venu. Rejoindre les Jedi ? Je ne peux nier ne jamais y avoir pensé, mais l’entendre de la bouche de l’un d’eux me perturbait grandement. Je n’eux guère le loisir d’y réfléchir, la porte s’ouvrit et on ramena Tailon en aussi piteux état que je l’étais quelques temps auparavant. A ma grande surprise, les soldats ne me ramenèrent pas pour un second round. Deux solutions s’offraient à mon esprit : soit ils avaient enfin fini par nous croire, soit les secours étaient vraiment pas loin. Quelque soit la bonne solution, il nous faudrait récupérer le maximum de force pour affronter les prochains évènements et seul une séance de méditation dans la Force pouvait régénérer nos corps.

Je m’approchais de Tailon et l’entendit murmurer.

- « Souffrance, j’ai mal ……. »

Je lui posai une main sur le front avant de lui répondre.

- « Concentre toi sur la Force, Elle seule peut te guérir. »

J’utilisais ma propre énergie pour l’aider à se connecter à la Force et sombra moi aussi dans une profonde transe de guérison.
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Eternité
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeLun 1 Fév - 16:15
La petite navette que le Maitre Luthran Utor s’était procuré arriva en toute discrétion dans l’espace avoisinant Ondéron. Le vieux Zabrak espérait pouvoir aller directement sur la planète mais il ne se faisait que peu d’illusion. Il savait que les contacts étaient extrêmement restreints et qu’un Jedi ne serait pas le bienvenu. Mais ce que le vieux Maitre ignorait, c’était à quel point les choses allaient basculer.

Il orienta son vaisseau directement sur la planète, ne tentant pas d’arriver sans se faire remarquer. Dès que ses instruments lui indiquèrent la distance adéquate, il entreprit de prendre contact avec le contrôle orbital.

-« Contrôle orbital d’Ondéron, ici Maitre Luthran Utor, membre du Conseil Jedi. Je suis envoyé afin de vous apporter aide et soutien dans ces moments de troubles intenses. »

De longues minutes s’écoulèrent avant que le Jedi n’obtienne une réponse.

-« Jedi, ici contrôle orbital. Vous ne choisissez pas bien votre moment pour venir nous rendre visite. Le spatioport est fermé, nous allons vous rerouter vers l’astroport militaire. Vous devez recevoir les données vectorielles en ce moment même. »

-« Affirmatif contrôle orbital, coordonnées reçues. Terminé. »

Luthran sonda la Force afin d’identifier les dangers potentiels mais avec toute la tension qui régnait sur la planète, il n’y avait aucuns moyens de trouver de manière précise ce qui pourrait le menacer directement. Il fit prendre à sa navette le vecteur qu’il lui avait été attribué et commença son entré dans l’atmosphère de la planète. Vue de si haut, les dégâts de la cité semblaient mineurs mais plus le Zabrak se rapprochait et plus il se rendait compte de la violence des émeutes. De fortes fumées montaient des différentes villes, des carcasses de speeders et de vaisseaux de toutes sortes étaient écrasées sur le sol. Dans le cœur d’Isis, il put voir de nombreuses troupes d’individus armés se déplacer tel des soldats. Il entraperçut même des révoltés aux commandes de tourelles de quadri laser mais ce fut trop tard. Les alarmes de proximités se déclenchèrent au même instant où il aperçut le rouge du laser. Malgré la vivacité de ses réflexes il ne put éviter la totalité du tir et la majeure partie de son aile droite fut arrachée. S’aidant de la Force pour stabiliser l’assiette de son appareil, le Maitre Jedi fit tout son possible pour orienter sa chute en direction des endroits inhabités mais malgré tout son savoir faire il ne put aller assez loin.

Le choc du crash de son appareil se répercuta assez loin dans les environs et les incendies qu’il causa éloignèrent rapidement les manifestants. Le vaisseau s’était écrasé en partie sur le bâtiment enveloppant les centres énergétiques et rapidement toutes les lumières de la ville moururent. Luthran avait réussi à survivre à l’accident et son corps en flamme avait été éjecté au moment du choc. Il tentait de s’éloigner en rampant de son appareil avant que celui-ci n’explose. Chaque mouvement lui arrachait un cri de douleur lorsque la peau collée aux vêtements s’arrachait. Le Maitre appela la Force à son aide mais il savait que même Elle ne pourrait l’aider à supporter de telles blessures. Les secours arrivèrent assez rapidement sur les lieux et ils s’activèrent prestement à tenter de contenir les flammes afin de minimiser les risques d’explosions. Nombres des sauveteurs passèrent à côté du Zabrak mais pas un ne s’arrêta pour lui venir en aide. Les seuls qui s’adressèrent à lui, furent un groupe de trois soldats bourrus.

-« Alors Jedi, elle est où ta précieuse Force maintenant. Elle a même pas été capable de te prévenir de te méfier. Tu me fais bien rire. »

Et ils repartirent en direction des incendies laissant le pauvre vieillard souffrir. Luthran comprit alors son erreur, sa venue n’était en rien souhaitée. Le vecteur qu’on lui avait communiqué devait l’entraîner sur la trajectoire du canon laser et il devait se faire descendre. Son accident n’en était aucunement un, tout avait été prémédité. C’était une vengeance de la part du peuple, de la part des soldats, de la part de la régence. Les accusations des Sith avaient tellement marqué les âmes que personnes ne semblaient vouloir croire le contraire. Le vieux Jedi sentit les larmes mouillés ses joues malgré ses brûlures. Il ne pleurait pas pour lui, il était prêt à rejoindre la Force, il pleurait pour l’avenir. Il pleurait pour l’Ordre Jedi qui souffrirait bien plus que lui dans les prochains temps. Il se concentra une dernière fois, et envoya une puissante onde de Force aux alentours afin de donner espoir à tous les Sensibles qui se trouvait dans les parages.

Dans la cellule toute proche, les deux prisonniers affaiblies et blessés ressentirent la mort du Maitre Jedi. Celle-ci les sorties de leur transe de guérison. Le plus âgé des deux trouva la force de se relever et de s’approcher des parois de la cellule, il constata avec un sourire que la coupure d’énergie avait aussi coupé l’alimentation de la cage de force qui enveloppait la vieille cellule, ne laissant plus que les barreaux de métal pour les garder captif.
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Caine Lornan
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeMer 3 Fév - 17:20
Je ressentis la puissante explosion aussi bien physique que dans la Force. La violence me sortit de ma transe de guérison et me fit revenir à la réalité âprement. Je sentis la mort se déverser dans les courants de la Force comme un venin dans un organisme. J’eu l’impression que c’était mon propre corps qui s’éteignait lorsque la flamme de vie du Jedi s’éteignit, je ressentis toutes ses dernières sensations, sa réaction lorsqu’il découvrit le piège dans lequel les soldats d’Ondéron l’avait orienté et ses pensées quand il réalisa le drame que tout ceci entraînerait pour l’Ordre Jedi. Je perçus la présence des autres utilisateurs de la Force toute proche et pendant un moment toutes nos pensées purent converger vers le même point. Je contactai Frank sommairement pour lui indiquer où nous nous trouvions.

La faible lumière qui baignait la cellule clignota et finit par s’éteindre. L’énergie qui maintenait la cage de force active vacilla et perdit toute cohésion. Il n’y avait plus que les barreaux qui nous maintenaient captif mais il allait falloir agir vite avant que les générateurs de secours ne prennent le relais. Clopinant jusqu’à la porte de la cellule, j’utilisais la télékinésie pour désactivé les commandes de la cage de force afin qu’elle ne puisse pas se rallumer. Je jetais un coup d’œil à Tailon toujours assis sur le sol et pris ma décision. Je m’en voudrais peut être plus tard, mais la Force me disait que c’était ce qu’il y avait de mieux à faire. Puisant en Elle, j’introduisis mon esprit dans le système de verrouillage de la cellule et commença à circuler à l’intérieur afin de déconnecter ce qui maintenait la porte fermée. Au bout d’un court instant, j’entendis un bruit attestant de ma réussite. Je retourna aider Tailon à se relever et l’aida à sortir de la cellule puis l’installa sur une banquette proche. Sa séance avait du être sympathique, vu ses blessures mais la Force avait déjà refermé beaucoup d’entre elles, il pourrait tenir le coup jusqu’au moment où il quitterait la planète.

-« Voilà, nous sommes libre. J’ignore ce qu’il s’est passé mais je sais que de l’aide est toute proche. La Force te soutiendra jusqu’à ce que tu arrives à elle. Nos routes se séparent ici mon choix est fait. Je te charge de rapporter mes paroles au Conseil des Revanchistes, c’était une erreur de ma part de décider de les rejoindre, une nouvelle faiblesse. Une fois encore j’ai choisi la voie la plus simple plutôt que ce que me dictait la Force et j’ai maintenant décidé de me reprendre. A peine arrivée je les quitte mais je ne les trahis pas, je pars pour me retrouver, revenir à mes origines. Mais avant de quitter Ondéron, j’ai encore une chose à faire. »

Je commençai à me diriger vers la sortie, l’abandonnant là ou il se trouvait.

-« Je fus heureux de te rencontrer Tailon neufs doigts, je suis sur que tu apporteras plein de choses aux Revanchistes et que eux même t’enseigneront beaucoup. Tâche de prendre soin de toi et que la Force soit avec toi, Chevalier. »

Cette fois-ci je partis sans me retourner, je savais parfaitement qu’il s’en sortirait sans moi. Une fois hors du quartier des cellules, je m’attendais à rencontrer des gardes mais la caserne était déserte. Quand j’arriva dehors je compris pourquoi : Isis était la proie des flammes et des émeutes. Les soldats tentaient tant bien que mal de garder la situation sous contrôle mais les manifestant ne semblait pas vouloir lâcher prise. J’allais devoir faire preuve de prudence pour ne pas me faire prendre à partie par l’une ou l’autre des factions. Je clopinais tant bien que mal en direction de l’ex palais Royale, mes souvenirs des lieux m’aidant à me diriger dans le chaos ambiant. Je parvins à atteindre ma destination sans trop me faire remarquer et les rares fois où l’on fit attention à moi, la Force me permis de détourner l’attention.

Près du palais, les gardes étaient nettement plus nombreux et plus alerte, et je dus faire nettement plus d’effort pour ne pas avoir à combattre. Je ne tenais pas à faire preuve de violence inconsidérée afin de ne pas augmenter la colère à l’encontre des Jedi. Malgré cela, je ne pus faire autrement que de maîtriser certains gardes lorsque ceux ci tentèrent de m’intercepter. Pour se faire, en l’absence de possession de mon Sabrelaser, j’usais à la limite de l’outrance de la Force. Elle me permis de renverser les corps de mes opposants et « d’endormir » à distance ceux qui me gêneraient prochainement. Chose curieuse plus j’utilisais la Force à ce niveau de puissance et plus ma connexion se faisait de manière naturelle et instinctive. Après un temps relativement long, je finis par atteindre les centres du palais et je me retrouvai devant la porte de la salle du trône. Celle-ci était protégée par deux gardes armés. Je ne perdis pas de temps à faire preuve de tact et me présentais directement devant eux. Lorsqu’ils commencèrent à lever leurs armes pour me mettre en joug, j’utilisais la Force pour faire voler l’un d’entre eux contre la porte qui s’ouvrit violemment sous le poids. J’arrachai l’arme des mains de l’autre et l’assomma avec en le frappant sur la nuque.

Je pus pénétrer dans la salle, dans laquelle je trouvais un individu qui devait être le général qui commandait. L’homme se tenait assis, il me regardait sans aucunes craintes dans le regard ni aucunes réelles surprises. Je m’avançais tout en gardant le fusil Blaster paré à faire feu mais le général ne semblait représenter une réelle menace. Arrivé à quelques mètres de lui, je me mis à parler.

-« Je suppose que vous devez être le Général qui a pris le pouvoir. »

Le militaire ne dénia pas me répondre alors je poursuivi.

-« Vu votre silence j’en déduit être dans le vrai. Vous êtes donc le chef de ceux qui ont provoqué l’incendie qui ravage la cité, en entraînant un Maitre Jedi dans un piège et en le laissant mourir. J’espère que vous êtes conscient des risques de représailles ? »

L’homme maintient le silence et ne me quitta pas des yeux. Ou bout d’un certain temps, il se décida enfin à parler.

-« Pourquoi êtes vous ici, Chevalier Khain ? »

Sans même me présenter, il savait qui j’étais ? C’était assez surprenant, surtout que lui-même ne m’avait pas décliné son identité. Quoi qu’il en soit, je n’étais pas là pour des convivialités mais parce que j’avais une question.

-« Je ne suis ici que pour vous pauser une question : pourquoi laissé les Jedi se faire accuser d’un crime alors que vous savez pertinemment qui en est l’auteur ?

Le Général parut réfléchir avant de me répondre. Il porta son regard vers l’extérieur et sembla observer la cité. Il finit par reporter son attention sur moi.

-« Parce que nous ne pouvons pas lutter, pour le moment. »

Il ne développa pas son idée et je me mis à réfléchir à la portée de cela. Sans continuer la discussion, je me détourna du militaire et commença à prendre la direction inverse de celle qui m’avait mené jusqu’ici.

-« Attendez, vous oubliez ceci. »

Quand je me retournais, je vis qu’il tenait pointer vers moi un long cylindre métallique que je reconnu aussitôt : il s’agissait de mon Sabrelaser, l’arme que je maniais depuis plusieurs années et qui m’avait sauvé la vie à de nombreuse reprise. Mais il fallait que je me fasse une raison, cette arme n’était pas celle qu’il me fallait.

-« Vous pouvez la garder, Général. Peut être qu’elle vous sera utile un jour. Je considère que cette arme n’est pas la mienne, elle est celle de quelqu’un dont j’ai voulu me persuader être mais il est grand temps que je me reprenne. »

Cette fois ci, je m’engageais d’un pas décider en direction du couloir et je l’entendis me dire encore une chose.

-« Le vaisseau avec le quel vous êtes venu est resté là où vous l’avez laissé, Jedi. »

Je ne perdis pas de temps à lui répondre et me mis à courir en direction de l’extérieur du bâtiment. Je rencontrai encore quelques soldats mais ils ne m’inquiétèrent guère. Le plus dur restait à venir, le spatioport devait toujours être fermé et donc bien gardé. Je continuais mon chemin dans le dédalle de rue anciennement familier que je parvenais à peine à reconnaître avec tout les débris qui jonchaient le sol. En m’approchant du spatioport, je découvris qu’il y avait bien moins de gardes que ce que à quoi je m’attendais, bon nombre d’entre eux avaient du être appelés en renfort pour calmer les incendies et les émeutes. Néanmoins, il y avait encore plusieurs soldats et je ne voulais en aucun cas être responsable de la mort de personnes faisant leur travail. Je jetais enfin le fusil Blaster que j’avais emmené avec moi depuis le palais et tentai une approche suffisamment discrète pour échapper aux gardes. Je pense qu’il faudrait que je retravaille la chose car rapidement ils se mirent à courir dans ma direction. Je me concentra sur la Force et me servit de ce qu’Elle pouvait m’offrir pour m’élever haut dans les airs et atterrir derrière le groupe. Une fois au sol, je les repoussai en arrière d’une puissante poussée télékinétique et repris mon chemin en courant vers mon vaisseau.

La rampe d’accès était toujours sortie et je pus pénétrer rapidement à l’intérieur. Après avoir sondé l’appareil avec le Force afin de m’assurer qu’aucunes mauvaises surprises ne m’attendaient, je ferma tout les accès et me dirigea vers le cockpit. Les instruments semblaient tous opérationnel et lorsque j’enclencha les moteurs j’entendis les tirs des soldats rebondirent sur la coque. Je savais que mon vaisseau n’aimait vraiment pas les décollages à froid mais là je n’avais vraiment pas le choix. J’enclenchai les propulseurs et après de nombreux crachotages, il s’éleva de quelques mètres. Je pris soin de ne blesser aucuns soldats et pris la direction la plus sure pour pouvoir m’élever vers la sortie de l’atmosphère. Les défenses d’Isis se mirent en marche et mes boucliers encaissèrent de nombreux tirs. Malgré la puissance de feu, ils tinrent bon et je pus atteindre l’orbite basse de la planète. Là les choses allaient nettement plus se compliquer. De nombreux vaisseaux demeuraient en stationnement, ne pouvant pas atterrir sur Ondéron du fait du blocus institué et les canons orbitaux n’allaient pas tarder à me prendre pour cible. Il allait me falloir faire preuve de beaucoup d’agilité dans mon pilotage pour fuir rapidement. M’appuyant toujours sur l’aide de la Force, je réussis à naviguer parmi les multitudes de vaisseaux présents mais lorsque je me fis suffisamment éloigné, les canons orbitaux s’activèrent. De longues traînées ioniques filèrent à travers l’espace et je réussi tant bien que mal à les éviter. Il me fallait trouver un vecteur d’hyperespace rapidement pour partir mais faire le calcul tout en esquivent les tirs se révéla bien compliqué. Mes boucliers encaissèrent quelques tirs avant que par la grâce de la Force je puisse trouver le bon vecteur. Me jetant sur la manette de commande de l’hyperpropulsion, je vis les étoiles devenirs des traits de lumière et Ondéron et Dxun disparurent de mes senseurs. Je ne reviendrais pas dans ces lieux avant un temps certains, désormais.

Maintenant, j’avais fais mon choix. J’avais programmé un trajet court en hyperespace et je profitais de ce délai pour calculer ma prochaine étape. Les Revanchistes m’avaient accueillis, mais c’était une erreur de ma part. Le Bothan ma l’avait dit, les Jedi avait besoin de combattant et c’était chez eux que mon voyage allait me mener. J’étais décidé à réintégrer l’Ordre Jedi et rien ne m’en empêcherait. Une fois mon nouveau cap enclenché, je pus quitter le poste de pilotage pour me rendre dans mes quartiers. Là, je fouilla dans un coffre et en ressortit un Sabrelaser. Mon véritable Sabrelaser, celui que j’avais confectionné il y avait bien des années et qui m’avait accompagné pendant la totalité des guerres Mandaloriennes. Je l’avais abandonné après avoir quitté les rangs de Revan, ne voulant plus utilisé l’arme avec laquelle j’avais commis ce que je considérais comme des crimes, me persuadant que le simple fait de changer d’arme me changerais. Mais je me leurrais. J’appuya sur le bouton d’activation et la lame de couleur Bronze s’activa en bourdonnant. Désormais, je reprenais mon Sabre et je redeviendrais celui que j’aurais toujours du être.
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Tailon Delmo
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeMer 3 Fév - 23:47
Souvenir!








Une présence rassurante se trouvait a coté de moi. Je me sentais bien. La douleur et l’angoisse
était toujours présent, mais il semblait être caché. C’est alors que une réaction dans la force survenus. Une réaction d’une très grande puissance, Pareille a une explosion, reten5tit dans la force. Cela me tira tout de suite de ma torpeur et tout le confort que je ressentais disparut. Je regarda mais blessure. Elle semblait être en meilleur état. Mon bras avait une attelle qui le maintenait solide et en place. Les cages semblaient désactivées. J’étais encore trop inexpérimenté pour savoir se que était cette force. Mais elle semblait propager une onde de tristesse. Je la ressentis tout de suite. Je refermai les yeux.

J’étais troublé. C’était une expérience intense. Pourtant, ce n’était pas la première fois que cela lui arrivais, mais c’était la première fois que c’était aussi puissant. Je rouvris les yeux et je vis Khain qui s’approchait de moi. On avait une sortit, il ne fallait pas manquer notre chance. Il m’aida a me relevés. Dés que je fus sur mais pied, la douleur fut encore plus intense. Je manqua de tombé. Alors Khain m’aida a m’échappé.

Rendu dehors, il m’emmenas sur une banquette proche. Il parla alors. Je pris bien soin de mémorisé son message. Pas question de le décevoir. Puis il partit. Et en partant, il dit une dernière chose. Dont un surnom plutôt inaccoutumé, mais qui me représentait bien. Je dis alors, afin de lui répondre.

-Moi aussi j’ai été heureux de vous rencontré Khain. Même si c’était pour peux de temps.
Bonne chance. Que la force te guide et…au plaisir de te revoir.


Puis il disparut. Je colla ma tête sur les murs et relâcha un soupir. Combien de temps était passé? Trop de temps. Je garderais a jamais un mauvais souvenir de se moment. J’utilisa la force. Je devais savoir ou aller. Khain m’avait dit que des secours étaient proches. Et j’étais à un mauvais endroit pour récupérer des forces. J’espérais aussi pouvoir trouver mon sabre et ma lame caché. Mais seul, je n’y arriverais jamais. Je devais d’abord trouver un endroit plus sur. Se que je tenta aussitôt. Mais, j’en fus incapable. Trop blessée pour pouvoir me
déplacé seul.

Je me remis alors sur le banc. Et j’en déduisis que, ma meilleur chance était de récupéré avec la force. Alors je commença a me concentré. Je devais cependant resté alerte. Si quelqu’un arrivais, je ne voulais pas être pris par surprise.

Espoir!



[HRP: Court poste pour mettre mon perso a jour]
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Lando Dell
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeVen 5 Fév - 19:58
Une soudaine explosion se fit sentir. Lando et Frank attendaient le bon moment quand cette chose bizarre envahi le corps de Lando. Il se tourna vers Frank et demanda :

- Tu l'as aussi sentie n'est-ce pas ?

- Cette perturbation dans la Force ? Oui...

Ainsi, il n'était pas fou... Que pouvait être cette catastrophe pour avoirune telle influence ? Mais ils n'avaient pas le temps de chercher. C'était ça le signal. Les soldats devaient être en train de matter la rebellion donc ils ne devraient pas être trop nombreux mais il restait ces individus sur la plate-forme... Comment allaient-ils passer ? Le Chevalier Lando y réfléchit quelques instants puis dit à Frank :

- Je vais faire diversion, pendant ce temps, dirige toi vers la prison et récupère Tailon. S'il le faut, quittez la planète sans moi, je me débrouillerai. Bonne chance.

Après avoir prononcé ces mots, il sauta au dessus d'une caisse et se présenta à la foule. Quelques cris se firent entendre et les personnes présentes s'approchèrent de Lando. Ces hommes étaient armés d'armes blanches et certains de blaster mais un seul coup d'oeil suffisait à voir que ce n'était pas des pros.

Quelques insultes furent lancées à la tête du Revanchiste qui, d'un saut sur le côté, put facilement détourner l'attention de la foule en colère. Lando ne comptait rien dire, il devait juste détourner la foule.

En voyant Frank quitter la plate-forme, il su que la partie la plus dure commencerait : se débarasser de ces gens sans les tuer... Il allait avoir besoin de tout son talent.

Enfin, un homme commença les hostilités. Il tira un coup avec son blaster que Lando esquiva de justesse en sautant. Les autres tirs ne tardèrent pas. Lando en esquiva quelques un mais du sortir un de ses sabres pour contrer les autres. Il les parait juste, n'essayant pas de les renvoyer sur le tireur.

Ce n'étaient que des civils, le niveau de tir n'était donc pas très élevé et la fule se rendit bientot compte que c'était inutile. Alors certains s'avancèrent. L'un deux dit :

- Tu vas souffrir pour notre reine !

Les autres approuvèrent et sortirent leurs armes. Ce n'était pas de la qualité mais cela devrait leur suffir pour tuer Lando s'il tombait entre leurs mains.

C'est alors q'ils se lancèrent à l'assaut. Lando évita lespremier coup mais une lame transperça sa chaire. Il désarma deux hommes puis sentit une nouvelle douleur dans le bras gauche. Il fit alors un bond en arrière pour arriver sur le toit d'un vaisseau endommagé par la colère des occupants du spatioport et para les quelques tirs qui suivirent et descendit de l'autre côté du vaisseau. Il se retourna et découvrit la ville en feu, des grandes colonnes de fumée noire comme la haine s'élevaient haut dans le ciel, des cris retentissaient ainsi que des explosions, les ordres donnés par les soldats s'adaptaient à ceux criés par les civils et inversément.

Lando entendit alors les pas des civils qui s'approchaient. Il rangea son sabre et sauta dans le vide, se rattrapant sur le bord de la piste qui s'élevaient au dessus de rien. Il se déplaça alors de profil, de manière à ne pas se faire repérer par la foule armée.

Après quelques minutes de glissement, Lando se hissa pour remonter sur la plateforme un peu plus loin. Les gardes qui étaient proches du point de départ de Lando avaient accouru là-bas, ayant entendu les tirs. La voie était donc libre jusqu'à la prison.

Lando traversa les bâtiments en esperant retrouver Khain et Tailon en vie. Enfin, il arriva à la prison et vit Frank et Tailon. Il se précipita vers eux et demanda :

- Est ce que tout va bien ?
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Tailon Delmo
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeLun 15 Fév - 2:43
Espoir !

J’étais toujours assis. Incapable de bouger, lorsqu’une présence arriva. Je le su au bruit infernal qu’elle faisait en arrivant. Ouvrant les yeux, me donnant une contenance, je me préparais à utiliser la Force. Alors un homme en armure apparut et je fus soulagé. Du moins partiellement. Il était en armure Mandalorienne. Je ne sais pas qui c’était, mais lui semblais le savoir. Aussi se précipita-t-il vers moi. Il arriva a coté de moi et il se mit à genou pour être à peu près à la même hauteur que moi.

-Est-ce que ça va ? Et où est Khain ?

Je regardais son casque. Là où se trouvaient les yeux probablement. J’avais la vision trouble et les ombres ne m’aidèrent guère. Je soulevais ma tête.

-Khain est partit. Il m’a demandé de transmette un message. Mais ce n’est ni le moment, ni le temps de le faire.

Je soupirais longuement. Tout deux nous gardâmes le silence. Puis je dis alors.

- Ne devrions-nous pas partir ?

Il fit non de la tête.

-Nous allons attendre Lando un peu. S’il n’arrive pas, nous allons partir.

Nous attendîmes un peux. L’homme en question arriva alors.
Lui, il restât debout. Il semblait pressé. Il me demanda alors.

-Est-ce que tout va bien?

Je me rendis alors compte que je n’avais pas répondus à l’autre homme. Je ne s’avais même pas sont nom d’ailleurs.

-Sa ira mieux quant je serais partit de cette maudite planète. Je sais pas qui a tué la reine, mais je sais que moi et Khain, ainsi qu’un autre jedi inconnu, on a dû payer pour sa mort. Et comme première fois, ce n’était pas des plus plaisant.

Je pointais mais pied du menton.

-Bref… je suis trop faible pour aller cherché mais arme personnelle. Si se serait juste le sabre, je m’en passerais, mais il y a aussi une arme unique. Je ne veux pas que sa tombe entre les mauvaises mains. L’un de vous deux serait assez gentil pour aller les retrouver dans la prison ?

Lando regardas l’autre homme. Il me fit un signe de tête qui signifiait oui et il partit en direction de la prison. Il en sortit quelque minutes après, mes arme dans c’est main. Il me les donna. Je donnais mon sabre à l’homme a coté de moi, puis installa ma lame cachée. En même temps, je parlais du peu d’informations que j’avais sur la reine. Je ruminais plus.

-Maudite reine, comment une personne inconnu peut nous donner autant d’ennuis ? Elle en avait déjà donné assez à mon maitre quand j’étais jeune.

Lando m’interrompit dans mes mouvements. Il dit alors.

-Que sais tu à propos de la reine ?

Je me demandais se qu’il voulait savoir.

- Et bien…elle était à la tête d’Onderon. C’est tout je dirais. J’en connaissais très peu. A part une mission qu’elle avait confié à mon maitre.

-Et cette histoire, c’était quoi ?

-Une histoire d’héritier caché. Elle devait savoir que certaine personne voulaient sa mort. Alors elle a caché un héritier secret. Mon maitre fut chargé de le faire. Il le mit à l’abri du regard, mais assez près pour le retrouvé. Dans la forêt d’Onderon qu’il m’avait dit.

Lando voulut sûrement parler, mais un brouhaha s’éleva d’une ruelle près de nous. Alors, L’homme avec l’armure Mandalorienne me souleva de terre. Voyant que je ne tenais pas debout tout seul, il me permit de s’appuyer sur lui. Lando dit alors.

-Au rythme que nous allons aller, ils vont nous rattraper. Frank, part avec. Je vais retenir ces soldats… ou citoyens.

Frank approuva de la tête, puis nous partîmes dans une autre ruelle.

Contrôle !

[HRP : Tout contrôle de perso dans mon poste a été autorisé pars les membres contrôlant c’est perso. A aussi, ne faite pas trop attention au faute. Mon horaire est de plus en plus chargé^^’’]
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Frank Manak
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitimeMer 17 Fév - 19:25
De mauvaise humeur , voilà comment était Frank a ce moment la , de mauvaise humeur non seulement Khain était portés disparus mais en plus il devait se coltiner le blesses avec des mouvement de foule et une pluie battante qui tombait Frank était vraiment de mauvaise humeur . Avec Lando et Tailon , que Frank portait se faufilait dans les petites ruelles . Frank dit :

- Mon gars si on s'en sort vivant je paye la tournée

Au bout d'un moment Frank entendit les cris de la foule juste derrière eux .


Tout d'un coup ils se retrouvèrent coincé entre deux groupes . Le mando'ade dit

Bon c'est officiellement et définitivement une journée pourrite .

Tuons-les!!! , hurla un homme




Les gars vous commencez sérieusement a me gonfler alors les gars soit vous dégagez ou je vous faits griller les miches .

Pour appuyer ce qu'il a dit Frank prit son marteau et tira un éclair dans le ciel . Un habitant dit :

Tu n'oseras pas …

Tu crois ça

Le jedi dit :

Ne faite pas de bêtise pas la peine d'empirer la situation

Frank envoya un message a travers la Forçe aux jedi

« c'est du bluff »

Maintenant y 'avait plus qu'a esperais que cela marcherait . Au bout de 2 minutes Le chef des émeutiers dit

Ecartez-vous les gars pas la peine de se faire griller

Le groupe de devant s'écartas pour laissez passer les revanchiste cette petite ruelle débouchait sur l'astroport .Les deux compagnons d'infortune montèrent dans le vaisseau . Frank sortit son comlink et dit :

Landos c'est bon on est dans le vaisseau dépéche on de la compagnie et elle a pas l'air amical
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MessageSujet: Re: Du chaos, le désespoir Du chaos, le désespoir Icon_minitime
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Du chaos, le désespoir
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