Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requiérant

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un marteau en alu

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un marteau en alu.Malheureusement ils n'étaient pas assez pour jouer à ce jeu, puisqu'il fallait être au minimum

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un marteau en alu.Malheureusement ils n'étaient pas assez pour jouer à ce jeu, puisqu'il fallait être au minimum deux schizophrène, trois hystériques et un poulet.

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un marteau en alu.Malheureusement ils n'étaient pas assez pour jouer à ce jeu, puisqu'il fallait être au minimum deux schizophrène, trois hystériques et un poulet. Or il n'y avait pas de poulet

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un marteau en alu.Malheureusement ils n'étaient pas assez pour jouer à ce jeu, puisqu'il fallait être au minimum deux schizophrène, trois hystériques et un poulet. Or il n'y avait pas de poulet, seulement un écureuil schizophrène qui se prenait pour un poulet

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un marteau en alu.Malheureusement ils n'étaient pas assez pour jouer à ce jeu, puisqu'il fallait être au minimum deux schizophrène, trois hystériques et un poulet. Or il n'y avait pas de poulet, seulement un écureuil schizophrène qui se prenait pour un poulet, ce qui complique les chose en effet. Il ne restait donc plus qu'à

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un marteau en alu.Malheureusement ils n'étaient pas assez pour jouer à ce jeu, puisqu'il fallait être au minimum deux schizophrène, trois hystériques et un poulet. Or il n'y avait pas de poulet, seulement un écureuil schizophrène qui se prenait pour un poulet, ce qui complique les chose en effet. Il ne restait donc plus qu'à manger des bretzels

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un marteau en alu.Malheureusement ils n'étaient pas assez pour jouer à ce jeu, puisqu'il fallait être au minimum deux schizophrène, trois hystériques et un poulet. Or il n'y avait pas de poulet, seulement un écureuil schizophrène qui se prenait pour un poulet, ce qui complique les chose en effet. Il ne restait donc plus qu'à manger des bretzels avec des pépites de

Un homme vêtu d'un costume jaune poussin sort dans la rue avec son écureuil apprivoisé, tenu avec une laisse en fils de haricots de couleur bleu avec des piques et des grelots. Mais l'écureuil lui avait un œil de verre, trop gros pour sa paire de lunette de Johnny Depp classique. Sa queue aux reflets argent était parsemer d'épine aux couleurs flashs et multicolores, lui faisant gratter la terre desséchée, par une pluie de fruits secs. L'homme qui s'amusait à brosser sa longue barbe en aluminium avec un fouet d'environ dix centimètres de large. Il se coupa la bout du gland avec l'écureuil. Ainsi diminué, il ne pouvait que mieux monter à cheval. Mais son cheval lui est un alcoolique à l'eau de pluie coupée avec deux bons tiers de pastis. Malgré lui, le désespoir l'emporta toujours vers la descente en enfer du samedi après dîner juste avant d'aller visiter un cimetière et manger une glace châtaigne-citron revêtu d'un coulis à la pistache avec un biscuit planté dans une montagne de chantilly de couleur suspecte mais néanmoins agréable à l'œil mais à l'odeur néfaste de charogne et d'écureuil mal peigné trempé dans de la bouse de gremlins.

Puis une jolie belle femme arriva, portée sur l'alcool, mais avant tout par une jambe de bois elle titubait joyeusement faisant danser sa robe fuchsia agrémentée de broderie pourpre représentant un groseillier sous un soleil d'automne sur un coteau à 37° orienté Nord-Nord-Est. Quand la jeune femme vit l'écureuil apprivoiser elle fut si surprise qu'elle sauta sur place, et s'écria mon dieu mais quel horreur il y a trois nain qui vont à la mine accompagné d'une armé d'écureuil enragé et qui passent par la mine parce que c'est plus court pour aller au bar. Le premier prend une pelle , le second une pioche... Que prend le troisième ? C'est une bonne question et la réponse est la tête! Mais alors, qui prend les pince à sourcil? Personne, puisqu'elle n'est pas utilisé par les nains.

Sur la place un kumquat géant mangeait un fruit pourris, oscillant joyeusement des branches pour exprimer son contentement cannibaliste... Mais c'est alors que vint sa dulcinée qui ne s'était pas lavé les branches basses qui pour le coup sentait l'arrière-train, cela n'avait cependant aucun rapport avec la bande de jawa qui s’efforçaient à faire fonctionner une cuillère à glace géante, donc revenons à nous moutons, et plus particulièrement à notre écureuil apprivoisé ainsi qu'à l'influence de la libido des banthos sur les transport Tatooiniens et inversement. A cette époque de l'année, la multiplication des papillons carnivores ainsi que de grenouilles dansant la salsa du Jawa fou, provoquent des interactions vibratoires qui, chez les Sarlaac, n'est pas si courant que ça, sauf en période de kermesse tusken. D'ailleurs, le kumquat géant n'était pas habitué à de telles aventures émotionnelles, ni aux parcours initiatiques dignes des grains de cafés ou de goyave les plus hardis prêt à être moulus et démoulus de haut en bas ou de bas en haut.

Tiens, un nouveau paragraphe... L’écureuil, tout comme le kumquat, pensait qu'il s'ennuyait à mourir. Pour remédier à ce problème, il eut l'idée d'un jeu qui avait pour but de frapper très fort un fan de Série B avec une planche et un clou rouillé, sans pour autant toucher le clou et la planche, mais seulement un demi-centimètre de l'arme, sauf bien sûr dans des cas de self défense requérant un couteau en mousse qui rebondit plus qu'un marteau en alu.Malheureusement ils n'étaient pas assez pour jouer à ce jeu, puisqu'il fallait être au minimum deux schizophrène, trois hystériques et un poulet. Or il n'y avait pas de poulet, seulement un écureuil schizophrène qui se prenait pour un poulet, ce qui complique les chose en effet. Il ne restait donc plus qu'à manger des bretzels avec des pépites de de gungark caramélisées