Hors RPG
-Âge: 19 ans
-Dites-en plus sur vous: que dire... Le Rp est une pratique finalement quotidienne dans ma vie, même lorsque je n'en avais pas la notion je dirais. Mise a part ça... je pense que vous en saurez plus en apprenant à me connaître. ^^
-Aimez-vous l'apparence de ce forum ?: j'aime l'apparence du forum, bien qu'elle reste soft (peut-être même un petit peu style old school, un peu comme s'il avais été créé en 2005 ^^)
-Avez-vous quelque chose a suggéré ?: Aucune
-Comment avez-vous connu ce site ?: je compte toujours sur mes amis Rpgistes pour me trouver de nouveau forum. ^^RPG-
Nom : Kashir
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Prénom : Raven
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Race : Kiffar
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Âge : 18 ans
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Type de Sabrelaser ou d'arme : Sabrelaser basique
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Couleur de la lame du Sabrelaser : bleu clair
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Faction :Ordre Jedi
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Histoire :
<< La naissance c'est le commencement de la vie. La vie une succession d'événements, qui mis bout à bout forme un histoire. Une histoire dont l'issu n'est jamais définitive excepter la mort venue. La mort n'est pas la fin, c'est la fusion corps et âme avec la force. Une nouvelle vie, inconsciente et infinie, que nous offre cette dernière. Cette nouvelle vie finit lorsque l'on en a décidé ainsi, laissant place à la résurrection de l'esprit dans un corps matériel, plus communément appelé la naissance. Tout ceci forme un cycle, l'immortalité... serait-ce son nom ?
La planète Kiffu est l'endroit où je vis le monde. C'est une planète de la bordure extérieure qui a la particularité d'avoir une sœur jumelle, Kiffex. Cette autre planète est quant à elle jugée impénétrable par ses habitants et ce depuis des générations. Mon père était un honnête marchand, qui lorsqu'il fit son affaire avec ma mère, était loin de se douter qu'il mettrait des triplés au monde. Cette brusque situation marqua une chute brutale dans sa vie. Mais loin de s'en douter, il fut heureux de bercer dans ses bras sa triple descendance. Nous furent appeler dans l'ordre des naissances; Akrham, Elvan et Raven.
A quatre ans, mon frère Elvan touchait déjà à tout, intéressé au plus haut point par tout ce que faisait notre père. Celui-ci ne disait rien, mais je pense aujourd'hui qu'il était très heureux que l'un de ses fils commence aussi jeune à vouloir mettre la main à la pâte. Quand à moi je ne comprenais pas grand chose à la mécanique à cette époque. Pour être franc cela me paraissait complètement ennuyeux. Il fallut attendre mes six ans avant que je ne touche à mon premier composant électronique. J'avais découvert que la mécanique pourrait un jour me servir à faire peut-être mon propre droïde. Je ne voulais pas non plus devenir aussi bon qu'Elvan, je lui laisserais le soins de travailler plus en profondeur le projets que j'aurais. Non, ce que je cherchais était avoir une connaissance rien qu'étendue des bases. Ce qui me permettrais surement de comprendre mieux ce genre de chose dans le futur.
J'étais un adepte incontesté des connaissances en tout genre, je voulais tout connaître, tout faire et ce sans aucune limites. Il m'arrivais de prendre des piles entière de livres de diverses origines pour ainsi m'en abreuver. Mon apprentissage autodidacte était le plus souvent facilité par mon capacité héréditaire à la psychométrie, ce qui me permettait de recueillir non seulement les connaissances des écrits mais aussi celles des supports sur lesquels ils étaient marqués. Ma soif de connaissances me venait peut-être de ma mère, qui avait voulut loin dans le passé être interprète. Elle ne le devint bien sûr pas, préférant suivre notre père dans ses activité professionnel, car outre le fait de refaire à neuf de vieux androïde et machine en tout genre, il fallait derrière, faire tourner la boutique.
Alors que notre dixième anniversaire était passer, ma vie et celles de mes frères allaient changer pour la première fois. Venu de sa sœur jumelle, le fléau de Kiffu allait s'abattre comme une pluie sur le sol de notre planète. La guerre ne nous avait jusqu'alors pas toucher, et c'était à peine si nous en avions entendu parler mes frère et moi. Bien sur nos parents, eux s'étaient tout deux précipité au son de la flotte ennemi, nous tirant du lit le plus rapidement possible. Trop jeune pour comprendre à l'époque, je me demande encore parfois aujourd'hui comment Akhram, Elvan et moi avions fait pour ne pas nous réveiller avec tout le vacarme qui régnait là dehors. Les tirs de blaster se mélangeaient aux cris d'agonie de nos compagnons de toujours, ceux que nous aimions et connaissions périrent prématurément, des fois même pris au dépourvut, dans leur sommeil ou par un tir perdu. Une fois dehors, nos parents fuirent vers le garage, et alors que je me réveillais, je pus apercevoir à perte de vue les cadavres de notre peuple. Maintenant que j'étais apte a courir, mon père me posa à terre et je commençai à courir. Pendant cette course, je fut torturé par l'envie de fermer mes yeux, chose que je ne pus faire au risque de tomber et ne plus jamais me relever. Elvan lui tomba plusieurs fois, attrapé à chaque fois par notre père. La panique résonnait dans les rues, mais ce bruit incessant s'atténua lorsque nous arrivâmes au garage, une fois la porte fermer. Akhram semblait vouloir être rassurant envers notre mère, lui répétant que tout irait bien et que nous étions maintenant en sécurité. Notre père quant à lui ne semblait pas de cette avis. Il avait sur le visage, un air à la fois résolut et triste. L'ennemi tambourina alors à la porte, de plus en plus fort, jusqu'à ce que les premiers gonds cédèrent. La panique m'avait envahit, allions-nous donc mourir maintenant ? Ce qui faisait la fierté de notre père allait-il être notre tombeau ? Mes songes se calmèrent lorsque je sentis la main chaleureuse paternelle sur mon épaule. Un bref regard sur celui-ci est je compris que nous devrions à partir de maintenant nous débrouiller seul. Nos parents nous jetèrent à tour de rôle, des regards lourds de sens. Notre petite famille s'enfonça non loin dans le garage et nous soulevâmes un dalle de pierre, laissant apparaître devant nous un escalier, qui disparaissait dans l'ombre. Akhram , Elvan et moi furent équipé d'une torche chacun. Un dernier adieu silencieux puis nous nous fondirent dans l'ombre.
L'obscurité ambiante qui régnait dans ce tunnel, me donnait l'étrange impression d'être protéger, comme si en son sein, rien ne pouvait nous arriver. D'un coté j'étais attiré par l'idée d'y rester un moment le temps que tout se calme à l'extérieur. Mais de l'autre coté, j'étais poussé à marcher, de peur de perdre mes frères. Des sons de blaster accompagné d'un cris strident argumentèrent le fait de devoir avancer. Leur parents s'étaient sacrifiés pour leur sauver la vie, et si les soldats découvraient ce passage secret, mieux valait être déjà loin. Lorsque les ténèbres vous guide, un sentiment plénitude vous envahis. Ce chemin emboucha sur un cascade, non loin de notre village. Il nous fallait maintenant nous hâté de trouver un endroit où nous cacher le temps que les guerriers s'éloignent. Notre priorité serait alors de trouver de l'aide. Une grotte à laurée de la forêt nous abrita pour la nuit. Nous n'y fument pas de feu, nous contentant de nous serrer les uns contre les autres dans l'espoir que la nuit ne soit pas trop froide. Cette nuit là je ne pus pas dormir, et je suppose qu'aucun d'autre nous ne le pus. Les événements terrifiant de ce genre marque à vie les personne qui les vivent. Chose paradoxal , le ciel fut couvert d'étoile, comme un voile de beauté visant à cacher l'horreur. Le lendemain, nous ne pûmes manger quoi que ce soit, nous manquions tout d'abord cruellement d'appétit mais aussi de temps. Il nous fallut profiter de l'aube pour fuir le plus loin possible. Aussi discret que nous pouvions, nous jouions sur le fait de connaître nos terre pour éviter les troupes ennemis. En chemin, nous n'avons rencontrer que des cadavres. Les gens venus de l'espace ne faisaient pas de quartier aux Kiffar. Plusieurs villages furent rasés, d'autres seulement vidés de leurs habitants. Nous pûmes même trouver au sol, la carcasse d'un des gardien. Cet être qui n'avait encore jamais connu la défaite donnais maintenant l'impression n'être que de simple créature comme nous. Kiffar était-il donc devenu un abattoir ? Qu'avions nous donc pus faire pour qu'une telle cruauté s'abatte sur nous ?... Ce fut très certainement à la vue du gardien mort que mes frères et moi nous décidions alors de quitter cette planète. Chacun d'entre nous connaissait maintenant l'issu de cette bataille à sens unique. Sans pour autant être venu pour nos ressources, ce n'était surement rien que pour nos vie que ses visiteurs s'étaient posés sur notre planète. Le problème fut de savoir où trouver un vaisseau spatial susceptible de nous emmener loin d'ici. Ce fut Elvan qui nous parla d'une discussion entre nos parents qu'il avait saisie tout à fait par hasard. Celle-ci faisait mention d'un vaisseau spatial évacuant toutes personnes capables de le rejoindre. Celui-ci était surement caché de façon à ce qu'aucun envahisseur ne le découvre, mais peut-être qu'avec un peu de chance, les trois jeunes garçons finiraient par le trouver à temps. Nous parcourûmes tout d'abord, la grande foret de façon à arriver aux montagnes. Nous étions tous d'accord qu'un vaisseau ne pouvait pas se poser dans des endroits comme par chez nous. Le terrain n'était pas plat et la foret recouvrait un grosse partie du territoire. Une fois traversé les montagnes, nous devions aboutir dans des plaines. Ceci n'était pas tout à fait sûr, du fait que nous ne nous étions jamais déplacer autant, mais c'était néanmoins ce que j'avais pus lire dans les livres de mon village natal. La forêt fut donc assez simple à passer, nous savions comment faire pour ne pas nous faire attaquer et savions cacher notre odeur corporelle. La nourriture quant à elle ne manquait pas, au fur et à mesure que nous avancions j'apprenais à mes frères quelles plantes étaient comestibles et lesquelles ne l'étaient pas, nous cueillîmes ainsi assez de nourritures pour deux repas, en espérant ne pas devoir tenir plus longtemps. J'en profitais pour détendre l'atmosphère de temps à autre en saisissant toutes les chance que j'avais de faire un blague. Cela ne les faisait pas tout le temps rire, mais le principal était d'essayer. La montagne ne nous résista finalement pas par rapport à ce que j'avais projeté. Le plus dur fut le climat, qui ce refroidissait lorsque l'on grimpait. Bien que fatigué, nous réussîmes à parcourir le chemin qui nous séparait de la plaine en à peine une journée. La nuit était tombée lorsque nous nous arrêtâmes pour faire une pause, et se fut dans les ténèbres que le chemin s'illumina devant moi. Je pointais alors du doigt la lignes de torches pour quAkhram et Elvan puissent la contempler. J'étais sûr et certain que notre salut allait arriver. La fin de notre périple était proche, juste au bout de cette ligne lumineuse se trouvait le vaisseau. Notre cauchemar allait donc cesser d'ici quelques minutes, quelques heures au grand maximum. Je commençais à me demander sur que planète nous allions nous réfugier, et si nous serions bien accueillis.
Elvan posa sa main sur l'épaule d'Akhram comme l'avait fait notre père sur la mienne la veille. Akhram était heureux, et son sourire qui ne le quittait plus depuis le début de l'après-midi, se fit plus radieux encore. Nous étions tout les trois réellement soulagés, et dans un gros relâchement, la fatigue commença à me prendre. Mes jambes tremblaient et j'avais du mal à garder les yeux ouverts. Pris par un l'élan d'espoir qui s'était réveiller en lui, Elvan relâcha complètement son attention, nous avions atteints notre but et il était dur de penser que quelque chose pourrait nous arriver maintenant. Il sauta dans le petit chemin de terre plutôt abrupte, maitrisant comme il pouvait sa glissade. Je ne pus juger son acte comme idiot dans mon état, mais Akhram, lui, tendit la main vers Elvan, de façon à ce que celui-ci fasse plus attention. Lorsque j'analysai la situation, mes yeux s'écarquillèrent .Le canon de blaster posé sur le front d'Elvan, s'était bel et bien là un ennemi de Kiffu qui s'interposait sur notre chemin. Dans l'espoir de sauver Elvan d'une mort certaine, Akhram pris son courage à deux mains et s'élança dans la pente. La fatigue m'avait totalement eu et ma jambe ne répondait plus comme il faut. Un larme coula sur ma joue et je voulus crier, comme pour me réveiller d'un mauvais cauchemar. J'entendis alors un son bizarre en dessous de la côte. Celui-ci résonnait comme un laser mais n'appartenait à aucun tir de blaster que nous avions ouïe jusqu'à présent. Ce que je vis en bas à ce moment là, fut celle d'un homme encapuchonné, habillé d'une longue cape et dont la main droite était équipé d'une sorte de tube lumineux. Le blaster pointé sur Elvan changea de cible. Un premier rayon fut tiré, mais dévié par cette arme pour le moins étrange que portait cet homme inconnu. L'ennemi, paniqué, tira en rafale sur l'individu qui les dévia toutes avec son armes. Certains tirs allèrent même se loger dans les compagnons d'arme de celui qui, quelques secondes plus tôt, avait voulu attenter à la vie de notre frère. Akhram avait entre temps eu le bon timing et s'était arrêté dans la descente de terre, derrière un arbre.
Ce guerrier inconnu, venait de sauver la vie d'Elvan, mais la sienne n'était pas assurée. Nos ennemis tentèrent une contre-attaque vis-à-vis de celui-ci, se jetant tous sur lui. L'homme n'eut aucun mal à se dépêtrer de cette situation, faisait preuve à la fois d'agilité et d'aisance, il abattu ce que je pouvais maintenant apparenter à un sabre sur ses ennemis. Pendant ce temps Akhram sortit de sa cachette pour retrouver Elvan qui semblait évanoui. J'en profitai pour rouler dans le chemin de terre pour retrouver mes frères. Alors que notre sauveur en finissait avec les troupes ennemis, nos cris semblèrent réveillés notre cher frère. J'arrivai au niveau d'Akhram et Elvan lorsque l'homme posa sa main sur l'épaule de celui-ci. Mes jambes répondant de nouveau, je me relevai et suivi la petite troupe à travers un petit sentier. De près, cet homme semblait loin d'être inoffensif avec ses muscles bien sculptés. Il était un peu comme notre père, tout aussi musclé, peut-être plus grand. Je ne pus m'empêcher d'esquisser un sourire de joie. Nous venions tous d'être sauver pour la deuxième fois depuis cette attaque, à croire que notre vie n'était pas prête de touchée à son terme. Pendant notre déplacement, j'en profitai pour vérifier qu'Elvan allait bien, lui faisant passer quelques tests avec Akhram. Quelque fois même nous moquions nous de lui en lui faisant de faux tests, tout ceci dans le but de détendre l'atmosphère après un tel événement. Celui-ci ne répondit toutefois pas à nos attente, se contentant de jauger l'homme encapuchonné. Je ne lui en voulu pas, cet homme venait de lui sauver la vie et avait quelque chose d'inexplicable en lui. De plus, peut-être était-il sous le choque, cherchant quelques réponses à tout ce qui venait de se passer. Je préférais alors le laisser tranquille, sachant pertinemment que ça irait mieux plus tard. Bien que sur mes gardes, je me permis tout de même quelque relâchement avec Akhram, jouant à shi-fu-mi. En présence de ce nouvel individu, je me sentais de nouveau en sécurité, comme si nos parents veillaient de nouveau sur nous. A tête reposée, je repensais aux différents livres que j'avais lus, plus particulièrement à l'un faisant référence à l'un des organismes les plus vieux de la galaxie. Les descriptions que le livre faisait de ses adeptes étaient traits pour traits les mêmes que l'homme qui nous accompagnait. Je sus alors qu'il était un jedi, un guerrier aux aptitudes extra-ordinaire, faisant à la fois preuve de sagesse et de bonté sans limite.
La fin du sentier arriva plus vite et nous nous trouvâmes nez à nez avec le vaisseau spatial qui avait motivé notre voyage à travers les terres de Kiffu. Nous allions finalement quitter cette planète, ainsi que toute l'horreur qui y faisait maintenant rage. Hommes et femmes, peuple de Kiffar étaient rassemblés ici, tous dans l'espoir de quitter leur terre natale. Aucun d'entre eux ne nous connaissait, pas plus nous ne les connaissions. Des centaines de clans différents assuraient la défense du site, permettant ainsi aux plus faibles de survivre. Notre guide parla un instant au commandant qui nous fit signe peu de temps après, d'embarquer sur le vaisseau. Je me rappelle de toute cette journée, comme si jour après jour je pouvais la revivre à tout moment dans sa totalité. Le vaisseau avait par la suite décoller, nous laissant découvrir les planètes jumelles vus de l'espace. Nous avions été isolé des autres, ayant grimpé dans un vaisseau plus petit que le vaisseau de secours. Nous étions tout trois trop polis et trop redevables envers le Jedi pour lui demander pourquoi ou encore l'endroit ou nous nous dirigions.
A tête reposée, je me demandais maintenant qui était l'ennemi qui nous avais attaquer. Cette question se fit omniprésente en moi. Je fus sorti de mes pensées à mainte reprise lors de notre voyage, pour différentes raisons. Le jedi nous parla un peu de lui, l'histoire de casser la glace. Nous arrivâmes plus tard sur Tatooine, une planète à première vue désertique. Dehors, la tempête de sable faisait rage. Nous dûmes couvrir le vaisseau d'une bâche géante avant de nous aventurer dans ce mur sablonneux. Nous avancions en fil indienne, suivant le jedi qui bloquait en partie le sable qui venait sur nous. Je me rappelle la sensation du vent, qui soufflait comme aucun vent n'avait soufflé sur Kiffu. Mes yeux brulaient à cause du sable qui venait s'abattre dans mes yeux quoi que je fasse pour l'éviter. Notre voyage dans la tempête dura plus d'une journée, avant que nous arrivâmes dans un refuge en plein désert. Le jedi nous y invita et sans trop nous poser de question, à la fois guidé par l'envie d'être protégé des intempéries extérieurs et par le fait que nous avions maintenant une confiance absolue et aveugle envers l'homme qui nous avait sauver la vie, nous acceptâmes cordialement l'invitation de celui-ci.
Une fois dans le refuge, le Jedi nous expliqua tout ce que nous devions savoir. Celui-ci s'appelait Jack Hockor et faisait partit de l'ordre Jedi. L'ordre l'avais envoyé sur Kiffu après avoir intercepté quelques messages cryptés émanant de l'ennemi. Le but de leur attaque n'avait pas vraiment était mentionné, mais par pur respect de l'ordre et de la justice dans la galaxie, ceux-ci envoyèrent une troupe accompagnée de quelque Jedi, dont notre maître Jack Hockor. Celui-ci n'avait en rien prévu notre arrivé dans sa « mission », il implora le fait que la force l'avait guidé vers nous. Nous, nous étions apparemment prédisposés tout comme lui à maitriser la force. Tout ce qu'il pu nous dire, nous le gardions précieusement en mémoire. Pendant près de deux jours nous lui posâmes des questions sur l'ordre Jedi, et sur ce qu'il était vraiment. Des fois même, nous posions deux fois les même questions pensant ne pas avoir compris les réponses tellement celles-ci nous paraissaient inconcevables. Je lui demandais même si notre don de psychométrie ne nous avait pas été confié par la force elle-même. Ce à quoi il répondit que notre don semblait à priori venir de celle-ci. Aujourd'hui je pense même que ma question l'étonna, il ne devait être au courant que nous maitrisions sans nous rendre compte la force, preuve que nous y étions bel et bien sujets et ce peut-être bien plus qu'il ne pu jamais l'imaginer. Akhram finit quant à lui par lui demander pourquoi il nous avait pris sous son aile. Jack éclata de rire, et il se contenta de nous dire qu'il voulait nous transmettre son savoir. Le reste de son explication est maintenant flou dans ma mémoire, mais je sais que nous nous miment tous à rire de bon cœur ce jour là.
Nous devinrent à partir de ce moment ses élèves. Pour lui nous étions le futur de la galaxie, nous pourrions maintenir la paix. Je pense qu'il avait tord, la paix ne peut exister dans une galaxie entière, mais je sais que moi et mes frères feront tout notre possible pour réaliser ce que notre maitre voulait que nous fassions en nous transmettant tout son savoir. Nous ne pouvions qu'accepter son offre. En plus de nous sauver la vie, celui-ci nous promettait un avenir et de mon point de vue... nous offrait la chance de pouvoir venger notre peuple.
Notre entrainement débuta dès le lendemain. Que ce soit la maitrise de la force, du sabre laser ou encore au corps à corps. Nos premiers jours, voire même nos premiers mois furent difficiles. Le corps à corps fut le plus facile à exercer, car chaque être vivant est prédisposé à cette discipline. Pour ce qui est de la maitrise au sabre laser, nous dûmes d'abord faire une approche à l'arme en bois, le sabre laser étant trop dangereux pour ceux qui n'ont pas de formation spécifique derrière. La force fut, elle, mon point fort par rapport aux autres. Mon engouement pour celui-ci se révéla plus ou moins vite. En trois ans j'appris à contrôler la force mieux que personne dans notre trio. Nos affinités étaient maintenant palpables, nous nous complétions tous formant une équipe réellement puissante. À partir de ce moment, nous commencions à nous entrainer majoritairement sur notre affinité. A force de méditation, je me sensibilisais de plus en plus à la force et ses fluctuations. Maitre Hockor m'enseignait plus en détail les préceptes Jedi vis-à-vis de la Force. Ils y aurait deux cotés différents dans la force; le premier serait le coté lumineux de la force, le second le coté obscur. Les différentes choses qu'il me dit vis-à-vis des adeptes du coté obscur, fut qu'il fallait fuir si l'un d'entre eux se présentait à nous, nous ne serions pas de taille à les affronter maintenant. J'oubliais alors toutes idées de vengeance, ne voulant point sombré du coté obscur. Par la suite, Jack Hockor me demanda de réfléchir par moi-même à la force, trouver ce qu'elle est par moi-même.
Vint le jour où ma maitrise s'approcha de son apogée pour un simple Padawan. J'avais encore beaucoup à apprendre certes, mais avais déjà tellement appris. Je dus m'entrainer à utiliser la force au combat au sabre laser. Je ne voulais pas faire de sabre laser avant mon ascension à un rang de niveau supérieur, Maitre Hockor étant de mon avis, il m'offrit un sabre laser basique, destiné plus à l'entrainement qu'au combat à proprement parler. Avec lui je m'entrainais à mélanger l'art du combat à l'art de force. Au fil de ses sept années passées en présence de Maitre Jack Hockor, j'appris à m'assagir, je devins plus patient et plus calme. Ma réflexion se fit plus aiguisé ainsi que mon sens de l'analyse. Mais je fus encore trop faible ce jour là pour faire quoi que ce soit. Le jour de la mort de maitre Hockor, j'étais comme à mon habitude en pleine méditation, à la recherche de la force. Je ne pus pourtant pas sentir la présence de ce sith qui venait d'atterrir sur Tatooine et qui nous condamnerait à une nouvelle vie. Ce ne fut que trop tard dans la journée, alors que je m'entrainais avec mes frères, que je pus sentir sa présence. Un bien piètre performance quand on sait que celui-ci n'était qu'à quelques pas de notre lieu d'entrainement. Sans rien comprendre, Akhram, Elvan et moi fûmes propulsés loin de notre maitre. Nous nous relevâmes, étourdis, avant de pouvoir voir le combat qui s'était engagé entre notre maitre et ce nouvel ennemi. Celui-ci rappelait Maitre Hockor lors de notre sauvetage sur Kiffu, à la différence près que ses vêtements étaient noirs et son sabre, rouge. L'issu du combat m'apparaissait comme une évidence. Maitre Hockor était maintenant trop vieux, et ces sept ans passés en notre compagnie ne l'avait pas garder en forme. Je délaissais mes sentiments pour prendre un décision plus que difficile, que notre maitre vint appuyer... La fuite était inévitable. Cette scène, nous l'avions déjà vécu sept ans de cela, et voilà que nous la revivions aujourd'hui dans un tout autre environnement, avec un tout autre ennemi.
J'étais celui qui maitrisait le mieux les pouvoirs de la Force, je pourrais sans trop de mal courir avec une charge. Akhram partit devant lorsque je lui jetai un regard insistant, je pris ensuite Elvan par le bras et commençais à courir, accroissant ma vitesse grâce à mes pouvoirs. Nous ne voyions qu'une seule issu pour nous échapper, le vaisseau avec lequel nous étions arrivés jusqu'ici. Je pus me décharger du poids que représentait Elvan lorsque celui-ci accepta de ce plier aux ordres de maitre Hockor. Peu de temps après, je pus sentir la vie de notre maitre le quitter. Au même moment, Elvan serra les poings de rage, je ne pus que lui dire de se calmer. La haine n'avait qu'une seule issu... le coté obscur. Je lui dit par la suite que notre maitre faisait maintenant partie de la force, et que cela ne pouvait que nous rendre plus fort. Grâce à notre vitesse accrue, nous ne miment pas longtemps à rejoindre le vaisseau que nous avions abandonné dans le désert. À l'aide de la Force, j'enlevai la bâche qui le recouvrait au plus vite. Akhram se mit au commande pendant qu'Elvan faisait le bilan du vaisseau. Nous pûmes démarrer peu de temps après. Au coté d'Akhram qui pilotait l'appareil, je me laissais partir. C'était maintenant l'heure des regrets. Nous savions tous qu'il nous fallait maintenant aller de l'avant... il nous faudrait trouver le conseil Jedi. Nous entrâmes tout d'abord dans la bordure extérieur, puis nous dûmes chercher une planète ou nous arrêter où nous serions en sécurité pour mettre en état la totalité du vaisseau. Une petite planète fort accueillante nous permis de nous ravitailler, de réparer tout le vaisseau (pour de plus long trajet),ainsi que de faire notre deuil. J'y achetai cette pierre de mémoire que vous tenez entre vos mains, et ou je vous raconte mon histoire. Nous visitâmes plusieurs planètes, aidant les gens qui avaient besoin de nous sans trop nous faire remarquer. En temps que padawan, nous n'avions logiquement aucun droit d'user de la force en dehors de l'entrainement. Nous étions le plus souvent récompenser en crédits, et de temps en temps par quelque renseignements sur l'endroit exact ou se trouvait l'ordre Jedi. Entre temps, la paix avait fait son apparition, mais était elle vraiment stable ?
Nous arrivons aujourd'hui au terme de notre voyage. L'avenir est incertain, guidé par nos choix, et j'espère de tout cœur que ceux-ci seront en adéquation avec ce que voulait notre maitre pour nous. En un an j'ai pu trouver ma propre hypothèse sur la Force. Celle-ci serait neutre de base, ce sont les utilisations de la Force qui font qu'elle est bien, ou mal. Ceci me pose pas mal de soucis au niveau conscience, mais ma vision de la force se peaufinera au fil du temps. Nous approchons maintenant de Tython, j'espère sincèrement pourvoir revenir sur cette enregistrement plus tard. Au cas où je ne ré-enregistrerais rien sur cette pierre, cela voudrait dire que je suis mort... ou que je l'ai perdu... … … .>>
Raven arrêta l'enregistrement et avança vers l'avant de l'appareil en mettant la pierre dans sa poche. Là, il montra du doigt la planète Tython à ses frères.
" Tython. On a réussi les gars ! "
Leur voyage touchait à son terme et leur enseignement pourrait continuer et s'achever. Les trois compères étaient littéralement heureux de pouvoir enfin approcher de près ce que leur maitre ne leur avait toujours donner qu'à entrevoir... Un avenir au sein des Jedi.
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Caractère de votre personnage : Raven n'est pas un homme très compliqué avec les autres, d'une sympathie à toutes épreuves, il fait preuve d'une patiente qui fait honneur à l'ordre Jedi. Bien qu'il n'ait pas été apprentis au temple depuis sa tendre enfance, le jeune homme met un point d'honneur à ne pas laisser ses émotions altéré son jugement. Cette décision est loin d'être des plus supportable sur le long terme, surtout pour les personnes comme lui et ses frères qui ont goûter à la joie, l'amour et au bonheur, tout autant qu'au désespoir, à la haine et à la souffrance, et ce bien avant le commencement d'une quelconque initiation à la force. Le jeune homme n'ayant pas toujours été ainsi, on peut dire que tout comme ses frères, deux personnalités sont présentes en lui, la première est celle que l'on connait aujourd'hui, calme et posé, faisant à la fois preuve de sagesse et d'une perspicacité aiguisé. La seconde, celle de l'enfant qu'il était encore jusqu'à peu, guider à la fois pas ses émotions et l'envie de vouloir parfois tout pouvoir faire. Intrépide et tout autant charismatique, cette personnalité serait donc le coté caché de Raven. Cette seconde personnalité est un vestige inestimable de son passé, preuve de ce qu'il à vécu et qui, au fil des jours et des année, à forger l'homme qu'il est aujourd'hui. Mais elle est aussi son point faible, le problème qui à tout moment , pourrait finalement le faire basculer dans l'ombre la plus totale.
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Description physique : Son visage illustre le calme ambiant qui règne en lui, accompagné de la clarté de sa peau, cela le rend chaleureux au premier regard. Son sourire est inondé de compassion et ses regards les plus noirs font trembler les plus viles de la galaxie, digne des seigneurs sith. Heureusement pour ses ennemis cela n'arrive pas et n'arrivera peut-être jamais. Il porte tout comme ses frères, le tatouage de sa famille maintenant éteinte, qui est pour eux plus qu'une simple marque. Ses cheveux longs brun, témoignent de sa vie passée, les apprentis et padawan du temple étant obligé de se couper les cheveux depuis leurs enfances de façon à pouvoir distinguer leur rang. De façon générale, Raven n'est ni trop fin ni trop fort et ce grâce à sa condition physique héréditaire. En matière de taille, il doit être entre ses deux frères, faisant près d'un mètre quatre-vingts. Ses habilles son maintenant ceux des habitants de Tatooine, dernière planète ou il s'installa avant de ne faire que voyager. Il fera cependant l'acquisition d'une tunique jedi dans les plus bref délais étant très intéressé par les vêtements que portait son maitre.
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Utilisateur de la force : oui
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But de votre personnage : préserver l'équilibre de la paix dans la galaxie, comme le voulait son maitre.
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Sujet: Raven Kashir 
Dim 6 Juin - 22:27
