Le sabre couleur bleu mer frôla mon épaule alors que j’esquivais, tout en contrant un autre sabre couleur orangé. Pivotant sur moi-même, j’utilisai mon pied afin de balayer le sol, mais à peine le geste débuter que je dû le stopper afin de contrer un autre coup. Les deux lames ficher contre la mienne, j’appliquai plus de force que mon adversaire et parvint à me redresser debout avant de lui faire perdre l’équilibre et l’envoyer par terre. Aussitôt, mon adversaire utilisa la projection de force et m’envoya valser contre un mur de pierre. Je faillis bien tomber en bas et me rattrapa de justesse a des lianes accrocher ici et là.

- Sa suffit pour le moment.

Aussitôt, Une main mécanique m’empoigna fermement par l’avant-bras et me tira à nouveau sur le haut plateau montagneux ou moi, Thyphon et Aryana étions, cette dernière rangeait d’ailleurs ces deux sabre laser nouvellement construit. Son ancien ayant été détruit sur Nubia, elle avait opté pour un style plus agressif. Thyphon quand a lui avait son éternel double-lame verte a la ceinture. Reprenant mon souffle je m’étirai le coup et me le détendit. Voilà trois jour que nous étions ici, trois jour que je m’entrainais à combattre Aryana et Thyphon à tour de rôle, prenant comme simple pause le moment ou tout deux ce combattait, ou les rare moments où j’avais droit de dormir ou manger.

Thyphon avait vécus bien des combats et il était apte à me montrer quelque technique, plus que quelque une à ce que j’ai appris a mais dépend. Je ne savais pas grand-chose sur lui et Aryana quand j’étais sur Nubia, mais maintenant je s’avais que Thyphon avait combattu dans plus de guerre qu’il ne fallait pour en nommer, ancien Jal Shey, il avait rejoint les jedi en quête d’action a l’Age de 26 ans, puis il a fait partit des premiers revanchistes à recréer le mouvement. Aryana, sa fidèle apprentie, l’avait suivi. Aujourd’hui elle a été adoubé, mais par amour telle un père et sa fille, tous deux était resté ensemble.

Thyphon était un homme fort et il ne fallait pas négliger son sens stratégique, Aryana elle, possédait vitesse et une agilité que j’avais rarement vus. Sur Nubia, j’ai bien pu m’apercevoir comment il était possible qu’elle soit si peux blesser contrairement à moi et son ancien maitre. Lui avait perdu son bras en combattant le même jeune guerrier qui ma trouer le ventre. Cicatrice que j’avais pris soin de faire disparaitre. Comme toute les autre, rien de mieux que de la méditation.

- Prenez une pause tous les deux. Mangez un morceau, pendant ce temps Tailon, j’ai à te parler.

J’acquiesçai puis pris quelque chose à manger de mon sac qui était suspendu non loin. Une petit table a l’extérieur et une tente consistait notre logis. La tente contenait seulement quatre lit superposer et de quoi réchauffer. Prenant place à la table, Aryana vint s’assoir juste à côté de moi. Thyphon en face. Elle me fit un sourire confiant puis commença à manger. J’avoue ressentir un petit quelque chose pour cette jolie jeune femme, mais c’était seulement un lien…frère et sœur si l’on veut…n’est-ce pas?

- Tailon, tu es un excellent guerrier durant certain combat. Cependant, ces tu pourquoi?

- Parce que je me suis bien entrainer?

- Sa pourrait mais ce ne les pas, ces durant les moments où tu relâche ta rage. Ou tu combats avec et non contre. Ces moments-là, je te voix effectuer des merveilles. Tu dois toi-même avoué que tu deviens tout un combattant une fois ta rage déclenché. Il y a un problème qui persiste…

-Le fait que je n’arrive pas à la contrôler.

-Exactement. Alors si tu contrôle ta rage, tu peux devenir un aussi bon guerrier sans l’utiliser que si tu le ferais. Puis, quand tu l’utiliserais, devenir une véritable arme ambulante. Je crois que les Blade Born eux même pourrait te craindre… Certain du moins. Maintenant, voilà ce que je veux que tu pratique, tu es douer, mais tu as besoin d’être plus rapide. La force importe peux si tu arrives à frapper ton adversaire plusieurs fois le temps qu’il te donne un coup. Ces d’ailleurs la raison du pourquoi tu n’arrives pas à combattre Aryana, tu n’es pas assez rapide. Alors qu’elle…

Je vis bien le regard fier qu’il lui donna. J’aperçus aussi la jeune femme bomber du torse.

- Allez, Vien que je te mettre une autre racler.

Un sourire désinvolte au lèvre, elle se leva puis ce mit en place. Je pris une dernière boucher, me frotta les mains puis pris place à mon tour. Sabre allumer, elle fut rapide, mais je parai son premier coups aisément. Me concentrant a rappliquer rapidement… à la fin de la journée, j’avais ressaut plusieurs brulure et mon corps était endolorie. Mais deux compagnons riaient gentiment de moi alors qu’une me prodiguait certain soin afin de guérir les brulures et l’autre me partagea certaine théorie sur la force. Demain serait la quatrième journée sur la planète.

La soirée était magnifique. Les étoiles qui flottait au-dessus de nos tête semblait me sourire de leur éclat pendant que d’un œil distrait je les regardais. Mais brulure était presque tous guérit déjà et les quelque une qui persistait, offerte par Thyphon étrangement, avait été appliqué par une sorte de crème qu’Aryana avait concocté. La demoiselle qu’elle était m’épatait au fur et à mesure que j’apprenais à la connaitre. Elle était intelligente, avec un sacrer caractère mais parlait peux sauf au personne en qui elle avait une totale confiance. Thyphon était la seul personne à ma connaissance. Même moi, elle semblait rechigner a trop discuter.

Le vent soufflait peux. Une légère brise à peine pouvait être ressentit. Nous n’étions plus dans la montagne mais au long d’un cours d’eau. Thyphon m’avait fait m’entrainer sur un pont en bois plutôt en mauvais état. Nous l’avion d’ailleurs détruit par accident, le lendemain allait être à le réparer. Heureusement, nous étions tout trois de bon possesseur de la force. D’ailleurs, le vieux maitre Revanchiste voyait l’opportunité idéale pour entrainer mon contrôle de la force. Je me souviens qu’il m’a dit plus tôt dans la semaine, puisque voilà une semaine que nous étions ici.

*- tu es puissant au sein de la force. Le seul problème que tu a, ces ta capacité à la canaliser et à la contrôler.*

Effectivement, j’avais une utilisation instable de ma puissance de force. Parfois, j’arrivais à accomplir de mince exploit, mais exploit tout de même, alors que d’autre fois j’arrivais à peine à soulever un caillou. Heureusement, l’adrénaline des combats me permettait d’équilibrer cette stabilité. Cependant, je n’arrivais pas à obtenir mon plein pouvoir. Un bruit ce fit entendre a l’intérieur de la tente, alors que Thyphon se levait pour venir me voir. Il échangea quelque mot bas avec Aryana que je captai à grande peine.

- …Puis…bien de….

- Environ… re

Donc, il m’avait probablement surveillé. Peu importe. Le vieil homme sortit me rejoindre. Un sourire réconfortant au visage il me dit.

- Tu ne dors toujours pas? A ton rythme, tu tomberas d’épuisement avant que l’on puisse partir de cette planète. Tu ne veux toujours pas me dire pourquoi tu ne dors pas?

Prenants une grande respiration je dis.

- La même chose que tous les soirs, j’ai besoin de peux de sommeille afin de rétablir mon énergie.

- Nous savon bien tous les trois que ces faux. Nous commençons d’ailleurs à s’inquiéter à ton sujet. T’est mouvement son empreint de fatigue Tailon. C’est un obstacle majeur à ton entrainement…

C’était la première fois qu’il faisait référence à Aryana dans le sujet. Les Nous n’était pas trompeur et je vois mal qui pourrait être la troisième personne. Il est vrai cependant, que je ne lui disais pas la vérité et que je ressentais horriblement la fatigue. En fait, j’avais peur de dormir. Car depuis Nubia, chaque fois que je le fessais je voyais des yeux rouges, ou un homme à capuche dont le corps fut ravagé, puis des scènes de torture, bref un cauchemar. Mais ce sont toujours les même.

- Tailon?

Aryana était sorti à son tour. Dans ces mains ce trouvais une sorte de pot, une petite fumée s’élevais du contenant. Elle me le tendit puis dit sur un ton doux.

- Prend ceci, sa devrait t’aider à dormir. Calmer les rêves par exemple. Car oui je sais bien que tu fais d’horrible rêve, tu bouges beaucoup quand tu dors.

Je la regardai quelque seconde puis pris le contenant que je vidai en quelque seconde. Le gout n’était pas mauvais, mais pas extraordinaire non plus. Je la remerciai puis retourna me coucher. Suivit des deux autres. Dans mon lit peux confortable, je réussis tout de même à m’endormir sous peu. Dans ma tête, je voyais les yeux rouges comme a l’habitude, mais il était flou et rien d’autre ne semblais traverser ma conscience

J’esquivai une planche de bois qui avait pour cible mon épaule et je faillis bien perde l’équilibre. Il était important de garder un contrôle stable sur ce que je faisais. C’est-à-dire, léviter dans les airs debout sur une planche, éviter des projectiles envoyer par Aryana et Thyphon puis déplacer un pars un les planches qui allait servir au nouveau pont d’un point à l’autre. Inutile de dire que depuis les trois journées ou je fessais cette entrainement, j’avais a de nombreuse reprise chuter et avaler quelque litre d’eau. A chaque fois Thyphon me tirait de l’eau seulement en me soulevant, rieur.

La planche que je transportai en l’air échappa soudainement à mon contrôle. Me concentrant plus puissamment dans la force, je repris ce contrôle-là. Avant de me faire douloureusement heurter au niveau des genoux et chuter dans le cours d’eau…encore une fois. J’avalai un peu d’eau cependant, au fur et à mesure que je tombais je m’étais habitué à l’environnement. Thyphon n’eux même pas besoin de me sortir puisque a la seule force de mais bras, je me sortis du courant puissant. Coucher sur le dos, j’entendis Aryana avant qu’elle n’apparaisse au-dessus de moi. Son sourire moqueur au lèvre, elle me dit alors que je reprenais mon souffle.

- j’étais sûr que te faire perde le contrôle de la planche aurais marché, tu t’es fait avoir trop facilement Tailon.

- C’est légale de faire sa Thyphon?

Le vieil homme arrivait en courant. Son visage était neutre cependant. Il dit tout de même sur un ton hilare.

- Il n’y a pas de règle Tailon, c’est donc légale oui.

- Pas de règle hein? J’aurais aimé le savoir AVANT de me faire charcuter les jambes par une femme enragé.

- Si tu veux la femme enragée peut faire bien pire.

Elle me tendit une main afin de m’aider que je pris sans hésiter. De retour sur mais pied, je retirai le mince chandail qui recouvrait mon torse et le déposa sur une roche non loin. Ensuite, je retirai le plus d’eau possible sur mais botte et mon pantalon avec une projection de force sur mon linge. Une chance je n’avais pas mais arme ou rien d’autre sur moi. Il aurait pris la rouille. Thyphon fit un geste qui signifiait de retourner à l’exercice.

Ce fut sur la planche, alors que je me concentrais afin de la soulever avec moi dessus que les souvenir d’un combat sur Thyphon me revint en tête.

*Les deux sabres en main, moi et mon adversaire n’avons toujours pas bougé. Le sorcier se tient fièrement devant moi. Il n’affiche aucune peur. Aucun plaisir. Son visage affiche un air terrible qui je l’avoue, me fessait étrangement peur. Cependant, les pulsions de rage et ma soif de combat m’indiquait de ne pas m’inquiéter. Soudainement, d’un bon rapide, j’envoyai mon sabre rouge sur lui alors que du bleu, je préparais une attaque à la verticale. Il dévia mon arme en envoyant un meuble dessus et je fus moi-même repoussé en arrière, frapper par un éclair. Je ne portai aucune attention à la douleur et souleva le sabre bleu de Galaad. Le cadavre du Twi’Lek était encore à la même place, une mare de sang incroyable alentour.

Je retourne à l’attaque, cette fois si, j’arrive jusque au niveau de mon adversaire sans aucun problème. Je ne m’attendais pas à ce qu’il m’attaque en premier. Il passa juste sous mon bras et me prodigua un coup de genou au niveau de la cuisse. Je tombai par terre, puis fit un rouler bouler. J’allais devoir être plus stratégique et faire comme lui…contre-attaquer.*

- Contre-attaquer hein…

J’avais à peine murmuré ce mot. Alors qu’une planche me frôla, je l’attrapai avec la force et la projeta sur Thyphon avec puissance. J’entendis le bruit sourd du choc sur son armure suivit du moment où il tomba par terre. Un petit cri d’inquiétude bref, qui trahit la position d’Aryana. D’un bref coup de pied, aidé de la force, j’envoyai ma planche qui frappa la jeune femme à l’épaule. Puis, je fis revenir une autre planche vers moi afin d’avoir un autre plateau. Rapidement, les planches passèrent d’un coter de la rive à l’autre avant que Thyphon ne m’intime l’ordre de revenir.

- Pourquoi a tu fais ça?

- Thyphon, tu la dit toi-même, il n’y a pas de règlement.

Aryana émit un petit rire et me tapota légèrement l’épaule de façon amicale, puis Thyphon, avec un sourire en coin au lèvre alors qui balançait la tête.

- Tu as raison. Allez, on va terminer le pont puis retourner à l’entrainement au corps à corps.

Je m’attelai tout de suite à la tâche.

Jours sans tuer: 7

Spoiler:

Ô lointaines terres arides, j'oublie ta pâleur et ta douceur alors qu'au loin, dans le reflet huileux incolore et informe ton éternel regard ce terni, et en poussière se perd parmi les étoiles... Saviez vous que fumer dans un cockpit fait perdre tant d'oxygène ? ... Entre nous, je n'en savais rien, mais par la force des choses je m'en rendis compte, bien assez vite. J'enclenchais alors sur la légère aération que m'offrait ma place, un filtrage de l'air spatial s’obtempérant aussitôt, c'est beau la technologie n'est-ce pas ? Par filtrage, n'imaginez pas tout un machin qui fait que je finis par aspirer les foutus vent de l'espace, non, ce n'est rien de cela, juste que l'air passe dans un sens, et pas dans l'autre, pour la plus grande joie de mon âme, qui a ainsi le privilège de ne pas quitter définitivement mon corps.

Ma clope se consumait lentement alors que mon vaisseau effectuait ce léger vol plané, qui consiste tout simplement à stagné à un endroit. Perdu dans mes pensées, j'essayais sans le pouvoir de tenter de comprendre comment ce foutu instrument pouvait bien marcher, les bottes étalés sur les commandes. En réalité je m'en foutais pas mal de comment la saleté de pression est repoussé par un de mes réacteurs, ou un truc du genre, mais j'étais d'avis que dans les moments où la vie ne m'offrait rien à faire, une réflexion assidue sur les secrets du monde n'étais jamais de trop... Après tout, n'était-ce pas le "pourquoi" qui séparait l'homme de l'animal, ça doit bien être quelque chose de ce type.

Tout en grattant doucement ma barbe mal rasé, je lâchais de nouveau une bouffée dans ce cockpit, puis dans le vide intersidéral. Ah... j'oubliais, mon nom, appelez moi Liam, Liam Wylde, ou plutôt Lemmy si vous préférez la jouer intime, je ne suis pas du genre à faire des manières. Une légère diode rouge se met à clignoter, alternance rapide dans un "bip" fatiguant, je laisse mon regard se perdre dans la couleur pourpre, avant de, d'un mouvement vif, me redresser. Tirant une dernière fois sur ma clope, je l'écrasais prêt de dizaines d'autres contre un petit creux prêt de mon siège qui me servait de cendrier.

Spoiler:

Mon regard changea d'intensité, les yeux plissés, attentifs, je contemplais l'espace les mains sur les commandes, la diode clignait toujours, mais de plus en plus vite. Je sentais déjà en moi la présence, il n'était plus qu'à quelques mètres, la diode était presque sur le point d'émettre un son continu, et alors, soudain, à toute vitesse, un engin défila sous mes yeux, sans même me voir, poursuivant sa route, mais avec la rapidité de quelqu'un de déjà fort soucieux. Un geste simple de ma main s'en suivit, alors que mes doigts se refermaient sur l'habile cuir qui recouvrait les manettes de direction. D'un fantastique créneaux, mon vaisseau vrilla à gauche, sans même perdre une seule seconde dans le tournant, ma main s'approcha du levier de vitesse, j'enclenchais les turbos, et déjà je rattrapais ma proie.

En un rien de temps, j'étais à parfaite distance de tir, ni trop prêt, ni trop loin, lui de son côté, qu'il m'eut vu ou pas ne changeait rien, il continuait à tracer son chemin à toute vitesse, décidément, il connaissait donc les risques... D'un léger sourire je relevais ce dernier fait, cela n'était pas si étonnant, de nos jours plus aucunes information n'était gardé bien longtemps secrète, un billet lâcher dans un spacioport suffisait à en apprendre plus que l'on en voulait. Je fermais les yeux un instant, laissait mon corps s'imprégner de la force, mes fusils à protons centraient leur cible, ma main droite désormais pauser sur la commande de tir, mes yeux ne quittaient pas du regard l'arrière de l'engin, si ce n'est quelques instants pour me concentrer de plus belles, je m'approchais de lui, j'y étais presque... J'étais si proche que je pouvais désormais presque le sentir.

La cible se simplifiait, d'une fraction de seconde il était en plein dans ma ligne de tir, mon doigt appuya aussitôt, laissant partir deux missiles à tête chercheuses sur les ailes. Mais... Trop tard, il m'avait aperçu, d'une vrille, il piquait vers le haut, tournait sur lui même jusqu'à ce que mes deux missiles s'enfilent et s'explosent l'un contre l'autre, je l'avais peut-être sous estimé, il n'était décidément pas dénué de ressources. Je repiquais à nouveau droit sur lui, il accélérait dans une flamme bleu impressionnante, sans doute un engin trafiqué, cette fois il semblait perdre volontairement de l'altitude, j'avais négligé un détail, une planète s'affichait sur désormais à quelques milliers de mètres, je n'avais pas le temps de jeter un coup d'oeil à mon radar pour en savoir le nom, une chose était sûre, j'avais négligé ce paramètre, et si je ne le rattrapais, il allait sans perdre de temps s'y réfugier.

Je le suivais avec précision, mais sa fumée bleue m'avait fait perdre du terrain, je tentais quelques tirs et dans une pluie de laser j'essayais de lui barrer la route, mais il était trop tard, je ne réussissais qu'à peine à l'atteindre, le pilote était habile et piquais droit pour dépasser les premières ligne de la planète inconnue. Je tentais une nouvelle stratégie, je me mis à tirer des missiles sans tête chercheuse, juste sous son nez, il était obliger ainsi dé dérivé son vaisseau, et perdait du terrain, arrivé dans l'atmosphère j'étais de nouveau sur son ombre, je lâchais alors aussitôt une pluie de laser, il évita les premiers assauts dans un tournoiements spectaculaires, mais ne résista pas bien longtemps à mon habilité, je touchais déjà son aile droite qui dans une fumée blanche laissait entrevoir ma victoire sur sa défaite. Il tenta alors un atterrissage force en piquant par la forêt, je lui barrais le passage de quelques lasers, il puisait alors son dernier espoir dans un ruisseau tout prêt, et s'y laissa plonger.

Le suivant à toute vitesse, je tirais une myriade de laser sur son pauvre engin dès qu'il eut atteint l'eau, et dans une fumée noir assistait à l'explosion de son engin. Je me pausais à mon tour, mais moi sur la terre ferme, et je regardais sombré dans l'eau, en flamme, l'engin du pauvre homme. D'un geste habitué, je sortais de ma poche mon briquet couleur or, ce dernier avait deux trous, du premiers il lâchait une cigarette que je dirigeais aussitôt prêt de ma bouche et du second il sortait une petite flamme laser qui me permettait d'allumer ma clope. Je brassais l'air d'une première bouffée, au loin dans l'eau je pus voir quelques bulles remontés, ma main droite s'approcha d'un de mes pistolets carabines et dès la vue de ce qui s'apparentait à un corps déversa une pluie de laser.

Mais l'être avait été fort, ce n'était pas son corps, c'était un tronc d'arbre recouvert de quelques un de ses vêtements. Ce fut alors que je le vis bondir de l'eau tout prêt de la rive, et une fusil blaster à la main, torse nu, tenté de m'avoir d'une visée rapide... Mais avant même qu'il put lâcher ses premiers lasers un seul coup de mon arme pointé vers l'avant suffit à l'atteindre en plein dans la tête, il s'écroulait aussitôt dans une petites volée de laser perdus, son corps gisait au bord de l'eau...

Jours sans tuer: O

C'est alors que je m'aperçus de ce qui s'apparentait à un groupe de jedi, tout prêt de nous, qui avaient à en croire mes soupçons bel et bien assistés à la scène... De marbre, je tirais de nouveau une bouffée sur ma clope.

Le pont était finit. Me frottant les mains une contre l’autre, je pris mais bien, c’est-à-dire mon sabre et ma lame. J’avais oublié de remettre mon chandail que j’avais retiré plutôt dans la journée. Aussi, je pris le vêtement et le remis à sa place. Les manches relevé au-dessus des coudes, je plaçai le mécanisme sur mon avant-bras. Puis, regardants Thyphon et Aryana qui démontait la tente en discutant, je pris une grande respiration et ferma les yeux.

Les bruits qui m’entouraient étaient…relaxant. Les oiseaux qui prodigue leur chant magnifique, le vent qui joue entre les feuilles, l’eau qui s’écrase contre les roches avant de se reconstituer plus bas sur le cours. Le vrillment d’abord lointain puis de plus en plus proche de moteur, probablement des voyageurs. Le son des tirs laser…

Mon reflexe fut rapide et instinctif. Ouvrant les yeux, je sautai dans les airs en tournant sur moi-même. Mais cheveux m’obstruire la vue, mais je sentis les débris qui passait alentour de moi et l’onde de choc de l’engin qui s’écrasait. Suivit de tirs et de l’explosion qui, même assez loin, me projeta a assez loin. Je m’écrasai contre un arbre frêle, détruisant le tronc. Mon dos pris mal le choc. Coucher par terre, je regardais le ciel qui tournait. Puis je me levai lentement.

J’aperçus Thyphon et Aryana qui venait me rejoindre. Puis, un homme sauta de l’eau soudainement. Un peux en diagonal de moi. Il fut criblé de tirs laser. Tirs qui coupèrent court à la course de mais deux amis. Tirs qui faillirent bien me toucher. Combien de fois en quelque minute je passai proche d’être grièvement blesser ou tuez, je ne sais point. Cependant cela semblait être terminé.

Aryana fut la première à me rejoindre. Elle m’essuya rapidement le visage avec des feuilles collecté dans sa course. Un des débris m’avait apparemment entaillé un coter du visage. Pas assez profondément puisque je sentais à peine la douleur. Elle me bloquait la vue. Je n’avais toujours par aperçut le tueur. Je voyais cependant Thyphon s’approcher lentement de lui. Je fis un petit signe de tête a Aryana et disparut rapidement parmi les arbres. Contournant la scène, j’utilisai les débris de l’engin écrasé afin de me camoufler et passer par-dessus le cours de la rivière. Je me rendis d’ailleurs conte que l’endroit où le véhicule c’était écraser était le même endroit ou le pont avait été reconstruit… dommage, j’avais perdu une journée a rien faire.

J’étais maintenant derrière le meurtrier, cacher dans les branches d’un arbre. S’il se montrait agressif, je serais sur lui en quelque secondes. J’étais bien cacher de plus, mais voilà quelque temps que je n’avais pas mis mais aptitude de discrétion en utilisation. J’étais douer, mais rouiller. Il m’avait peux être entendu?

L’homme était un fumeur en tout cas. Facile à savoir vus la quantité de fumée qui s’échappait de sa bouche. Thyphon approchais toujours de lui. Aryana l’avait rejoint. Il s’avait ou j’étais puisqu’il fit un geste à mon égard qui m’indiquait d’attendre. Puis je l’entendis dire à l’homme qui était nouvellement arriver.

- Répond tout de suite, amie ou ennemie?

Question simple. Je connaissais assez bien Thyphon pour savoir qu’il n’aimait pas passer par quatre chemins. Je savais aussi qu’il jaugeait déjà l’homme et que sa réponse allait être cruciale pour la suite. Non pas pour un possible combat, plutôt pour savoir en qu’il était et s’il fallait disparaitre rapidement. Thyphon était douer pour en connaitre beaucoup sur quelqu’un avec peux. Le souffle à peine audible pour moi-même, j’attendais.

Spoiler:

Je contemplais au loin le ciel qui retrouvait ses couleurs, comme si le vacarme de la poursuite, n’avait soudain jamais été. L’oiseau au loin recommençait son doux chant habituel épris dans son vol merveilleux, sur un ciel bleu azur qui reflétait l’image triomphante de l’astre régnant. Ce dernier venait jeter son image dans la tranquille rivière translucide, qui bercée d’une enivrante douceur venait caresser la tranquille herbe chatoyante qui formait la rive. Comme une réponse éternelle au regard de cette majestueuse nature je tirais quelques douces bouffées sur ma clope, laissant mes yeux s’échapper sur la peinture de maître qui se montrait.

Ah… quelle agitation qu’elle vicissitude, frivole insensé, je regardais d’un œil distrait les mouvements survoltés de ces quelques êtres, leurs infatigables figures, telle une danse, semblait se mouvoir dans une immense bouffonnerie sans nom, un coup au dessus, un saut en dessous, à droite, à gauche, leurs courses était perpétuelles… Je me souvenais alors de l’histoire de quelques jedis qui avec la vieillesses et le dure retour de la guerre s’étaient retirés dans d’immenses plaines sans noms pour exercés les maladies mentales qui les rongeaient.

Ces êtres, tout bonnement atteints de folies, avaient inventés une sorte de danse tribales, qu’il exécutaient avec ferveurs sur les places des villes. Leur groupe s’élargissait sans peine et formait une véritable institution de retraités maboules anciennement chevaliers. Je n’avais pus m’empêcher de laisser aller un léger sourire au coin de ma lèvre lorsqu’on m’avait dit que dans leurs pitoyables numéros, ils emportaient quelques pièces jetés par les passants. Si l’on pouvait vivre de sa folie, c’est que l’on vivait vraiment dans un monde étrange. Enfin, l’homme qui m’avait raconté cette petite histoire n’était pas très frais non plus, et ses consommations si nombreuses auraient mêmes faits pâlir un bantha… Mais que serait les cantina sans leurs perpétuels légendes de l’espace ?

Je lâchais à nouveau quelques bouffées vers le ciel, la laissant ainsi partir au loin, rejoindre les nuages parmi les éternelles fumées. D’un simple geste de ma main contre mon pistolet de gauche, je sentais au cliquetis qu’il me manquait 5 balles, le travail avait été très propre… J’avais tiré 4 cartouches sur le tronc d’arbre, puis une seule bien placé entre les deux yeux pour ma proie. Bien joué ! Je saisissais alors mon arme de gauche, en retirait l’intérieur du manche, piochais cinq balles dans à ma ceintures et les ajoutais au chargeur, avant de refermer le tout dans un claquement, puis dan geste habitué, de faire tournoyé mon pistolet autour de mon doigt pour le laisser atterrir droit dans mon holster. A nouveau je tirais une bouffée sur ma clope.

C’est alors qu’un de ces agités se dirigea vers moi. L’air grave le petit homme lâcha quelques mots vifs et pressés, d’un ton dure, comme un ordre. Je regardais derrière lui pour voir si la personne à ses côtés n’était pas en feu, elle ne l’était pas… Un léger sourire se dessina sur mon visage, ces gens là devaient vraiment avoir un problème de stresse ou quelque chose comme ça. Je répondais de ma voix grave habituelle:

- Copaani mirshmure’cye, vod ?

Du mandalorien. J’avais entendus le dialecte assez souvent pour le reconnaitre, mais jamais je ne l’avais appris. Thyphon fut très surprit d’ailleurs. Je me demandais pourquoi. Après tout, il avait des racines mandalorienne. Sa mère en était une. Son père était un Capitaine de l’armée républicaine je crois. A moins que ce soit le contraire. Peu importe les leçons d’histoire sur le vieillard, je compris pourquoi il était étonné quand il répondit mal à l’aise.

- Vod…. Copyc Kakovidir?

A ce moment-ci, j’entendis Aryana éclater de rire. Nul doute qu’elle riait de Thyphon. Je ne sais pas ce qu’il avait dit, mais ce n’était probablement pas le message recherché. Le vieil homme lança d’ailleurs un regarde assassin a Aryana et lui fit un signe de tête qui voulait dire « allez, essaye » Presque tout de suite après, elle dit avec un léger accent.

- haar ruug’la copaanir Kar’taylir burc’ya ra aru’e?

- euh… que lui a tu dis? Et qu’es qu’il a dit?

- Il a demandé qui nous étions, je lui ai demandé la même question que toi.

Thyphon tourna à nouveau son regard vers l’homme. Je vis bien pourtant le petit sourire en coin de la jeune femme qui devait probablement rire de lui littéralement. Le dialecte d’Aryana était meilleur, mais pas expert. Concentrer sur mais deux camarades et l’inconnu, j’aperçus du coin de l’œil une forme rapide. Bien sûr, je supposai que c’était un animal et je ne fis peu de cas. J’aurais dû regarder afin d’apercevoir la femme qui venait de passer, un long morceau de bois à la main. Alors que de l’autre coter passait discrètement quelque homme. Arme à la main.

Toujours de mon point de vue, je sentis la piqûre d’un insecte dans mon coup. Effectuant une pression dessus, la douleur ne fut que plus vive. Retirant, je vis parfaitement la fléchette qui m’était rentré dans le coup. Dégagent je le s’avait un sédatif ou un poison mortel. Au bas de l’arbre se rassemblait déjà une petite troupe discrète. Moi, je laissai tomber la fléchette et après un « oh merde » distinct, je chutai brisant les branches avec mon corps. Je ne me rappel pas du moment où je touchai le sol.

Le bruit distinct d’une chute ce fit entendre. Thyphon ne pus s’empêcher de grogner et de lâcher un « quel idiot celui-là ». Aryana tant qu’à elle s’avait que quelque chose clochait. Tailon était peux être gaffeur parfois, mais l’infiltration et la discrétion était ce à quoi il excellait. Ce précipitant, elle arriva sous peux près d’un arbre ou de nombreuse branches récemment briser gisait ici et là. Sur le sol on pouvait voir parfaitement les contours d’un corps qui était tombé à l’endroit. Ce penchant, elle ramassa un petit objet. Une fléchette. Thyphon arriva à son tour et elle lui montra. Il allait falloir être rapide. Aussi, le vieil homme partit tout de suite à la recherche de ceux qui avaient kidnappé Tailon. Alors qu’Aryana allait rester quelque instant avec le nouvel arriver.

Spoiler:

Mes sourcils se levèrent alors que de ma bouche sortait déjà une indécise bouffée de fumé, la douce brise du vent l'emmenait au loin, et la tranquillité ressentie par l'absorption de tabac n'était pas même assez réparatrice pour défaire le fantastique pitoyable du vieil homme...

Après le défilé des frustrés agités, j'étais face à une extension nouvelle du triste genre que j'avais sous les yeux, pire que tout être ne sachant pas parler normalement *à comprendre, parler Mando'a, d'un point de vu Lemmyen* il venait en ses lieux cracher sur la langue de mes ancêtres. Un sourire se dessina au coin de ma lèvre, il n'y en avait pas de quoi le tuer *entre nous, il l'aurait fait s'il n'avait pas eut les yeux rivés au niveau du bas de coup de la femme jedi* mais tel une poubelle en décomposition, je l'aurais avec joie placé dans une décharge. En attendant, une flemme me prenait d'exercer tout acte de violence inutile, je me résignais à laisser les choses aller et à m'apitoyer silencieusement...

- Me'ven? Kaysh mirsh'kyramud: kaysh mirsh solus... ("Quoi ? Il m'ennuie profondément: sa tête est vide...")

Je me tournais alors vers la femme qui s'adressa avec justesse dans ma langue, alors que j'appréciais son élocution d'un geste de la tête, j'enchaînais...

- Ni kaysh ge sirbur... ("Je lui ai déjà répondu...")

Ce fut alors qu'un bruit de craquements de branches fit vibrer mon oreille, vu la distance on aurait put dire que cela se situait derrière moi à quelques mètres à peine, la résonance lourde ne pouvait que symboliser une chute, vu le son, un homme, plutôt jeune... La jeune femme fut la première à se diriger droit vers l'affaire, alors que dans un juron le vieil homme ne tardait pas à la suivre. Je tirais une bouffée sur ma clope, pas un nuage, si peu de son, rien d'autre que ceux de la nature, c'était devenu rare dans le métier, je n'avais vraiment supporter les bruits incessants de la ville, primant dans un délectable désir secret le retour un jour à la nature, à la vie sauvage... Je m'échappais quelques instants sur Zeltron, souvenir incroyable d'une jeunesse éternelle et magnifique en ces lieux.

D'un pas nonchalant, en tirant une fois encore sur ma clope, je suivais les deux jetii, ils n'étaient pas bien loin, une fléchette empoisonnée avait frappé de toute évidence l'un des leurs... Je supposais qu'il fallait s'attendre à des indigènes où quelques trucs comme ça. Le vieil homme (dans son agitation infinie) était déjà partie à l'aventure à travers les buissons, je me retenais de lâcher un "attention à la branche" qui selon moi lui aurait été fort utile, il continuait sa route, je me retrouvais avec la jeune femme. Aussitôt d'un air normal et habituel je sortais:

- Alors, que faites vous dans le coin ?

La phrase clairement dites en basique, ne reflétait que plus ou moins entièrement le mépris dont j'avais jusque là fait preuve, un sourire se dessina au nouveau dans le creux de ma lèvre...

Il affichait un mépris. Aryana le décelait aisément. De plus, les yeux qui visitaient un peu trop le bas de son corps la mettait dans une certaine colère. Elle était douer la jeune femme cependant et cachait le sentiment. Sinon elle lui aurait peux être broyé le nez qui sait. Les mains sur les hanches, elle dit sur un ton qui ce voulais aimable.

- Nous sommes en plein entrainement depuis un bon moment. Rien de bien spectaculaire. Je ne sais pas qui tu es, mais mon ami viens de ce faire kidnapper et je dois aller l’aider. Je ne pense pas que tu souhaites nous tuez ou quelque chose dans le genre puisque tu l’aurais déjà fait. Alors sois tu nous aide à le retrouver pour je ne sais quel raison, soit on se sépare sur nos chemin ici avec la probabilité de ne jamais se revoir. A oui, les yeux en haut aussi.

Aryana tourna le dos et partit dans la même direction que Thyphon. Elle sentait sa force plus loin. Toujours sur la piste, il avançait rapidement.

Mes yeux s’ouvrent difficilement. Le soleil en plein sur mon visage, je tente de mettre une main devant ma vue afin d’obstruer la douloureuse lumière. Cependant, bien que je sente la pression de mon membre, je n’arrive pas à le bouger. Une vive douleur se fait sentir. Le paysage est brouillon. Je distingue des formes alentour de moi. Redressant ma tête un peux, je voix le bâton sur lequel je suis transporter, les bras et les pieds attacher. Mon sabre laser ma été retirer et je ne suis pas en position pour actionner ma lame.

Je me sens faible. Comme après un long sommeil. Hors, vue la position de l’astre lumineux dans le ciel, je sais que le temps n’a pas trop changer. Peux être une heure est passé. Je tourne ma tête afin de détailler les personnes qui m’entoure. Des hommes en générale. Il aborde des tatouages blanc craie qui semble si méprendre a du poil. Tous ont une dentition étrange. Dent pointue qui ressorte. Je comprends qu’il s’agit d’une sorte de dentier quand l’un deux les retire afin de boire dans une gourde. Je dois avouez que avec ou sans le dentier, leur dents reste assez répugnante a voir.

Leur habit est rudimentaire. Mélange de paillasse, de peau d’animaux et de rien du tout. Les armes ne sont pas bien mieux. J’en vois un avec un vieille lance qui tien avec peine, un autre porte un marteau massif sur son épaule. Certain on de mince couteau fait en os. L’un deux a étonnamment un blaster qui date de plusieurs années dans les mains. Il ne parle pas, ils n’ont aucune expression.

Soudainement, l’un des sauvages se démarque du groupe et s’approche de moi. Ou plutôt l’une. Difficile à distinguer je dois l’avouer. J’aperçois mon sabre laser accrocher sur ce qui semble être une armure. Avec plusieurs autre tous plus vieux les uns que les autres. Un sourire carnassier sur les lèvres. J’aperçois une grande sarbacane attacher à son dos avec deux dagues à la ceinture. Une sacoche rattacher à sa jambe gauche contient de nombreuse fiole au tintement que je peux entendre.

La femme parla dans un dialecte inconnue en crachant et bavant du au dentier. Je reçus d’ailleurs beaucoup de liquide répugnant au visage. J’allai perde connaissance juste à l’odeur a ce train-là. Cependant elle décida de m’endormir encore plus vite et me planta une petite fléchette dans le coup avant de la laisser tomber. Comme plus tôt, ma tête se mis à tourner, tomba puis tout fut noir.

Peu importe à qui il avait affaire, Thyphon gagnait lentement du terrain. Leur traque était aisé, en grand groupe, il ne se cachait pas vraiment. Le vieux anticipait des pièges et il avait bien fait puisque déjà, une demi-douzaine avait été désactivée par sa main experte. Il trouva alors une autre fléchette. Presque tout de suite, il chercha un indice afin de savoir le statut actuel de Tailon.

[po réussi à placer le nain en fin de compte ^^]

Spoiler:

L'air se séparait de sa douce brise, le temps se faisait encore plus doux, le léger courant qui emportait jusque là le ruisseau se calma et il fit encore meilleur sous le soleil déjà fort ardent. J'écoutais avec amusement les propos de la jeune femme et décelait avec plaisir un brin de caractère entre ses deux pare-choc avant. Le sourire se dessina au creux de mes lèvres lorsqu'elle remarqua mes yeux qui dévoraient un peu trop aisément son corps... J'aurais pus continuer ce petit jeu fort plaisant bien longtemps si elle n'était pas parti à la rescousse de un de ses étranges amis.

La décision fut prise ainsi, comme sur un claquement de doigt, je m'approchais de mon vaisseau en lâchant pour le vide " Ib'tuur jatne tuur ash'ad kyr'amur." (« Aujourd’hui est un beau jour pour que quelqu’un d’autre meure. »). Je me dirigeais alors prêt de l'arrière de l'engin, je m'approchais d'une grande cale qui formait tout l'arrière après le cockpit, je me mis à approcher ma main de ma montre holographique et à y taper quelques chiffres, **** automatiquement, l'arrière s'ouvrit dévoilant un espace sur lequel était entreposé des réservoirs de nourritures et des armes sur les mûrs, du foin sur le sol, et sur toute la longue, un immense Gualama.

D'une nouvelle entrée de nombre je fis apparaître une rampe d'escalier qui reliait désormais l'entrée au sol, la monture vint d'elle même, je saisis avec habitude une selle et des rennes, habillant rapidement l'animal, puis j'accrochais enfin une malette de métal au niveau de son arrière droit. En refermant la cale d'une combinaison, je grimpais sur mon destrier et partais au galop.

Il me fallut à peine dix secondes pour apercevoir la jeune jetii, à toute vitesse je chargeais dans sa direction, et lorsque j'arrivais enfin à son niveau, l'attrapais par la taille pour la pauser (avec l'aide la force) juste derrière moi, nous allions rejoindre son ami le vieux fou en un rien de temps. D'un air nonchalant je lâchais:

- Je m'appel Liam Wylde, mais tu peu m'appeler Lemmy...

Chaque mètre semblait comme disparaître dans la légère bourrasque qui laissait au grès du vent, danser mes mèches, flottant avec agilité dans l’air. Les feuilles se perdaient les unes sur les autres, les troncs et les branches qui formaient la forêt s’enchainaient les uns après les autres dans un dégradé émeraude de moins en moins vif, à mesure qu’on approchait du cœur de la forêt. Ma monture, par delà sa confortable encolure, n’était que le parfait contentement entre un être compréhensif et robuste, oui, je le dis ce Gualama était dévoué, un robot lui, ne l’est pas.

La première flèche tomba de nulle part, du vide, de cet étrange infini que formait le néant… D’un geste vif, presque seule, ma main vint se porter jusqu’à mon holster gauche et sortir le long pistolet carabine blaster qui y reposait, mes yeux se plissèrent légèrement, et tel un réflexe, un mouvement inné, j’appuyais sur la détente dans la juste direction du projectile. Je n’entendis alors rien d’autre que les bruits des feuilles broyés sous la pression du laser, et de quelques oiseaux s’envoler à toute vitesse. Je stoppais mon destrier jusqu’à ce que le moindre claquement de ses sabots se tue. Le bras toujours tendu, je laissais mon souffle retirer tout signe de vie, je fermais les yeux.

Dans le noir, je voyais enfin, les formes se dessinaient avec imprécisions, je sentais toute présence, ainsi je ne bougeais pas d’un centimètre. J’attendis ici une longue minute, avant que soudain, un bruit se détacha, si léger, si vif, un craquement de branche sec. Mon bras se dirigeait alors dans la direction indiqué, tout se fit en un instant… Un étrange être bondit, arrachant plusieurs feuilles au passage, mes yeux s’ouvrirent et d’un tir placé en pleine tête je le défigurais à jamais. Une légère fumé soufflais depuis mon canon. Nous n’étions pas seules, ces êtres ne se déplaçaient surement pas en effectif aussi restreint. L’air sauvage de l’indigène m’indiquait bien son côté primaire… Ils attendaient le moment propice pour nous décocher férocement.

C’est alors que des flèches se projetèrent de tous sens droit vers nous, un instant, et il en était fini de nous, la jeune femme n’était pas dénué de ressource et avait saisit à l’aide la force tous les projectiles en créant une sorte de matrice autour de nous. Ce fut alors que de tous les coins, dans un cri proche de l’unisson, sortirent d’étranges dizaines de barbares pointant vers nous haches, lances, épées de fortunes, et même pour certains des fusils PVC. Habile la jeune femme retourna les flèches et les renvoya aussitôt sur les nouveaux arrivants, faisant tomber les premières lignes. D’un bond elle sauta de ma monture dans un saut périlleux acrobatique, alors que déjà je partais au galop, sortait de ma main gauche mon long poignard Ryyk tout en gardant mon pistolet dans la droite, ainsi je faisais quelques rondes autour de la clairière ou nous trouvions, déchiquetant tout être sur mon passage, le piétinant des sabots de mon Gualama, lui déchiquetant les membres s’il était à porter de tire. Le sang coulait dans tous les coins, et fraichement s’étalait sur l’herbes prêt de membres sectionnés et corps désarticulés. Quand à elle, la jetii était rapide, elle bondissait de droite à gauche, sabre laser en main, et découpait finement tout ce qui lui faisait face. En un rien de temps, tout ennemi avait été rayé de la carte, d’une main aimable je la remontais dans mon dos, puis repartais au galop.

Ce fut alors que nous reprenions la route les sens aux aguets que vint un nouvel obstacle, des troncs d’arbres taillés, roulèrent vers nous, nous pûmes sauter les premiers mais quand vint une dizaine à suivre, le Gualama manqua trébucher, et nous tombions déjà alors que mon destrier s’enfuyait au loin. Ma main droite ne tenait plus mon pistolet, rangé dans mon holster j’avais libéré ma paume pour attraper juste à temps l’étrange mallette de fer qui bordait le flanc de mon animal. Je me relevais avec quelques peines et aidait à sont tour la jetii, puis ouvrais la mystérieux contenant. Je le laissait tomber à terre, appuyais sur quelques boutons de ma montre holographique et ce fut alors que de l’intérieur d’une mousse noire deux bottes couleur or sortirent.

Je retirais en vitesse mon pantalon et mon torse d’armure pour les poser dans le deuxième compartiment, dévoilant un long collant noir intégrale, je positionnais aussitôt mes pieds dans les bottes, puis, debout dans la boîte de fer, j’appuyais sur quelques boutons, je tendais les bras et la technologie opéra. Les différents membres de mon armure s’assemblèrent automatiquement sur mes jambes, mon torse, puis enfin mes bras jusqu’à mon coup, cette technique m’avait prit longtemps à mettre au point à partir de nano robots. J’attachais à nouveau ma ceinture avec toutes mes armes, puis prenait un casque de néo-croisé dans le deuxième compartiment. Je fermais la mallette, et fièrement affichait avec allure ma noble tenue guerrière.

Mais yeux s’ouvre lentement. Une douleur vive m’attaque à la tempe. Je sens le sang qui ma trop remonter à la tête. Toujours attacher, je relève celle-ci afin de soulager la douleur. Bien sûr, les muscle de mon dos proteste, mais ce n’est rien comparé à mon crane. Je peux presque ressentir chaque goutte de sang qui se répartit plus également dans mon corps alors que mon carne se stabilise. La douleur diminue et ma vue devient moins brouillon.

J’aperçois alors que je suis dans une espèce de tente. Le toit très peux en hauteur empêche les membres des différentes espèces de ce tenir debout. Bothan, Kel’Dor, Humain, il y a de tout. J’aperçois même la tête d’une créature inconnue qui passe par l’un des trous. L’endroit est très spacieux et environ une trentaine de personne me regarde tous consterner. Abordant le même habit que les autres sauvage, j’aperçois leur regard centrer non sur moi, mais bien sur une forme qui devais être juste derrière ma nuque. Alors laissant tomber ma tête, je regarde dans la même direction.

Je suis de stupeur puisque a quelque centimètre de moi se tient bien…un Wookie…. Sa physiologie ne laissait aucun doute. Il était cependant vraiment très petit. Puisque même attacher à un mètre du sol, il me regardait en levant la tête. Une couronne posé de travers sur sa tête rasée, il a un surplus de poids effrayant. Je me demandais presque s’il était plus large que j’étais grand. Dans une autre situation, j’aurais probablement rie comme un fou, mais c’était déplacer vus le moment. Le petit être ouvrit la bouche et prononça dans un basique plutôt étrange en massacrant l’accent au point de me faire saigner des oreilles.

- Que venir vous faire dans les contrer du puissant Garmok? Qui vous envoi?

Je ne sais pas ce que fut la nourriture qui me percuta au niveau du sourcil, je faillis seulement vomir quand le Wookie miniature reprit le morceau et le mastiqua. Pendant que je me retenais de régurgiter… ce que j’arriverais à faire faire sortir, Garmok recula et aider de deux femme de petit taille, il prit place sur un siège. Personne ne parlait. Un regard imposant sur moi, il m’ordonnait de parler sans rien dire.

- Je suis un… voyageur. Venu ici afin de… d’étudier la nature et….

- FAUX, je sais toi être jedi, puisque toi avoir lame qui brule. Toi ne pas être premier a être capturer… Mais servir de bon manger pour nous demain!

Et me voilà à nouveau trainer, sortant de la tente, escorter par des cris de joies. L’effroi s’empare de moi. Mais il son fou… manger un humain… Je ne sentis même pas la piqure. Tout fut noir à nouveau.