Affiliaton : Aucune
Nom : zy Castër
Prénom : Mördòk
Identité Sith ou Jedi (facultatif) : Aucune
Âge : 16 ans
Race : Humain
Description physique (minimum 5 lignes)
Mördòk zy Castër est un jeune adolescent de grande taille, mesurant dans les un mètre quatre-vingt. Il a déjà atteint et passé sa puberté, pesant proportionnellement à sa taille environ 75 kilos. Pour son jeune âge, il peut passer pour un adulte et d’ailleurs c’est grâce à cet apparat d’homme qu’il travaille à la mine d’Orgal. Il est très fort et certains, pour se moquer, prétendent qu’il aurait du sang de Zabrak. À sa grande force physique s’ajoute une agilité de félin. Ayant vu le jour et grandis sur Ord Mantell, il acquit ce qu’un bandit se devait d’apprendre pour survivre : fuir le plus vite possible. Des cheveux noir comme la nuit, des yeux bruns-pâles comme le sable de la planète, il est un bel homme, un homme de la terre comme il le dit si souvent. Il affiche presque toujours un air calme et serein, mais sérieux et ma foi assez intimidant.
Description psychologique (minimum 5 lignes)
Mördòk zy Castër est une personne peu agité, mais mature et tranquille. Il est quelqu’un d’assez simple qui n’aime pas se compliquer la vie, il est organisé et s’occupe toujours. Il n’a ni un penchant pour le bien ni pour le mal, bien que les différenciant les deux. Il se fou assez qu’un dug de la planète Malastare s’est fait volé, tué ou vendu, qu’une planète du secteur Altyr ait été explosé. Ce qui est bien est ce qui ne lui fait pas de tort, et vice-versa pour le mal. Il n’est pas égocentrique, mais ne prête tout simplement pas d’attention et de sentiments à ce qui ne l’affecte pas directement. Il est zen d’esprit et du corps, grâce à son maître d’arme, Tèl.
Histoire : (trente lignes minimum)
Ord Mantell était une planète recouverte de sable. La végétation y était rare comme les honnêtes personnes. Bien qu’à la première on puisse l’estimer inhabité, elle était au contraire grouillante d’hors-la-loi, d’assassins, de chasseurs de prime et même parfois de Sith. C’était un énorme refuge pour les criminels, mais aussi un énorme bastion. Aucuns Jedis où Sith n’avaient encore essayé de prendre possession de cette planète : parce qu’elle était l’une des plus éloigné de la galaxie, mais surtout parce qu’elle était celle qui abritait les plus dangereux êtres de conscience de l’univers. Aucune armée n’était constitué sur ce bidonville géant, aucune loi ne la soumettais, aucune hiérarchie ou gouvernement y avait pris place. Pourtant, tous ces criminels vivaient dans une certaine harmonie. L’univers contre eux, ils savaient, à leur façon bien brute, s’accorder un respect fraternel. Parfois s’insultant, s’accusant, se défiant et se bagarrant, tous ces malfaiteurs y trouvait un confort, c’était ça leur monde à eux. Un monde que les Jedis et la justice ne comprendra jamais…
C’est dans cette société de malfrats que Mördòk zy Castër vit le jour. Né d’un père bandit et d’une mère anciennement esclave, l’un s’évadant à tous les soirs et l’autre restant à la maison à vendre son corps à toutes sortes d’espèces, Mördòk n’a pas eu une enfance très heureuse. Afin de combler le vide que ses parents avaient fait naître dans son cœur, le jeune garçon, avec ses deux frères plus vieux, se volatilisait à tous les matins et vagabondait constamment. Ils aimaient aller en ville, au marché. Il y avait là tant de monde, tant des Dug, des Anx, des Anomid, des Kiffar que des tonnes d’humains. C’est une planète hétérogène en sommes, le racisme y est inexistant. Mördòk et ses deux frères, Xénov et Heròn, s’y sentaient bien et rencontraient toujours toutes sortes d’individus. Bien que souvent barbares et sans bonnes manières, il arrivait parfois qu’ils tombent sur des êtres un ne peu plus cordiale. Ce fut le cas un jour, lorsqu’ils rencontrèrent un mystérieux étranger humain…
Un jour comme les autres, Mördòk, Xénov et Heròn prirent la route du marché d’Encara, dans une ville voisine de la leur. Il faisait très chaud et le soleil était au zénith. Le vent flattait le sable d’une douce brise et cela piquait les yeux de nos jeunes vagabonds.
«Encore une de ces journée…» se plaignit Heròn.
«Une vraie pleurnicharde notre Heròn!» se moqua Xénov.
«Non mais! C’est vrai, on ne peut pas avoir des journées de pluie des fois, comme sur Tulîn? Ça ferais un bien fou à ma peau…»
«Mauviette!»
«Ah laisse tomb…» dit Heròn sans finir sa phrase.
Juste au-dessus de leurs têtes un vaisseau Cargo Léger Ghtroc 720 s’apprêtait à s’écraser. Il était énorme et c’est la première fois que les jeunots voyaient un tel vaisseau. Il semblait avoir les deux moteurs en pannes et un petit feu pouvait être distingué à l’arrière de l’appareil. Se rapprochant de plus en plus, le son de sa chute se faisait de plus en plus aigu.
«Attention Castër !!!» cria Xénov à l’intention de son cadet.
Mördòk eut tout juste le temps de sauter par terre que l’appareil toucha enfin le sol dans un grabuge assourdissant. Le vaisseau spatial explosa à quelques centaines de mètres des garçons et ces derniers restèrent bouche-bée. Que venait-il de se passer?
«Tu crois qu’il y a des survivants, Xé?» s’inquiéta Mördòk.
«Je… Je n’en sais rien Castër…» répondit Xénov sur un ton qui se voulait plus fort.
«Moi je dis qu’il doit y avoir de bonnes marchandises dans ce tas de ferraille!» s’exclama Heròn.
On ne releva pas sa remarque… Ils ont quand même été élevés sur une planète de bandits, ce genre de pensé était tout simplement… innée. Mördòk et ses frères restèrent immobiles un instant, trop surpris de cet évènement si inattendu. C’est Xénov qui fit les premiers pas.
«Peut-être devrions-nous aller vérifier s’il y a des survivant?» s’enquit Xénov.
«Je suis d’accord, on ne peut pas rester ici à rien faire… De plus, si ce sont les hommes de Gärdofèn qui tombent sur les survivants, ils ne le seront plus longtemps…» dit le jeune Mördòk.
«Ouais, et si on veut garder ce qu’il y a de vendable, faudrait se grouiller!»
Les jeunes hommes se mirent à courir vers l’épave en feu qui émanait une chaleur intense et de la fumée suffocante dans l’espoir de trouver des survivants, et pour d’autre de trouver des objets de valeurs. Le métal fondait à vue d’œil et crépitait de part et d’autre. On fouillait les décombre, du moins là où ce n’était pas trop dangereux, mais rien, il n’y avait rien sauf des débris. Xénov de son côté n’avait trouvé que des morceaux de marchandise sans valeur, Mördòk quant à lui n’avait rien trouvé sauf la nourriture, maintenant calciné, que les voyageurs avait en réserve. C’est alors que Heròn s’exclama aux deux autres :
«J’ai deux nouvelles à vous annoncer…»
«Commence par la bonne…» répondit Mördòk sur un ton désespérer et fatigué.
«Non, non, c’est deux mauvaises!» souffla Heròn, mort de fatigue. «Non seulement il n’y a rien qui a de la valeur, mais…. J’ai… j’ai trouvé un survivant…»
Un rayon d’espoir apparu dans les regards de Mördòk et de Xénov et tous deux accouru vers leur frère. À ses pieds se trouvait un vieil homme enroulé dans une cape brune qui commençait à flamber. Mördòk se précipita sur l’homme inconscient et éteignit les flammes qui, sournoisement, commençaient à le consumer.
«Mais… mais aidé moi!» s’écria Mördòk de sa voix grave, essayant d’éloigner la victime des décombres.
«J’entends quelques choses approcher!» sursauta Xénov. «Allez, il faut fuir… Laissez-le là!»
Mördòk ne l’entendait pas ainsi. Fixant sévèrement son grand frère, Xénov compris qu’il ne bougerait pas tant qu’on n’éloignerait pas l’homme de ses futurs bourreaux qui accouraient vers le site du crash.
«Bon, d’accord! Nous le prendrons à deux et irons le cacher derrière ces arbustes et ces rocs, à l’enter du labyrinthe d’Arz.» se résigna Xénov.
Quand enfin les jeunes garçons le mirent à l’abri, ils fuirent chez eux sans un regard en arrière, espérant juste ne pas être repéré.
«Mais où étaient donc passé mes bâtards d’enfants?» siffla la mère de Mördòk, assise sur une créature wookiee au pelage gris-noir.
«Désolé mère, nous étions en route pour Encara cette fois-ci quand…» essaya d’expliquer Mördòk quand son frère Xénov lui couvrit la bouche de sa main.
«… Quand finalement nous avons… rencontré les frères Börth… Ils nous ont entrainé avec eux dans une de ces fêtes, tu sais…» compléta Xénov.
«M’ouais, moi à votre âge je travaillais dans les champs, je me fendais le cul pour ramener de l’argent et de la bouffe sur la table !!!» s’étouffa la mère avec sa pipe à la main. Elle fumait trop… «Vous, vous ne faites que ça sortir, aller jouer… À dix-huit ans… C’en est honteux, bande de fils ingrats. Vous devriez déjà être loin d’ici à votre âge ou au moins ramener de l’argent!! »
«Mère, taisez-vous!» s’écria Heròn. «On a que faire de votre passé où vous vous brisiez les os pour servir votre bon rien de père… Aujourd’hui vous ne faite que vous vendre à qui a les moyen d’acheter une harpie comme vous…»
Un lourd silence tomba, Heròn était en colère. Cette mère ne cessait d’être sur leur cas, les rabaissant à tout moment, jamais elle ne leur donna de l’amour, ils n’étaient qu’un outil pour faire de l’argent. Mais ils ne travaillaient pas encore. Leur père se foutait bien de ce qui se passait à la maison, il y était que pour dormir ou se réfugier. On pouvait dire que Heròn était le plus rebelle des enfants, n’ayant jamais froid aux yeux et n’hésitant pas à dire le fond de sa pensé. Il était leur avocat on pouvait dire. Cette soirée là en était une de trop.
«Vous… Vous… petit insolent! Comment oses-tu parler à ta mère ainsi?» s’indigna la dame.
«Vous ne méritez pas le respect de vos fils mère… Comment on peut donner quelque chose qu’on a jamais eu?»
Heròn sorti de la maison suivit de Xénov. Mördòk quant à lui alla se coucher dans sa couchette. Il était de l’avis de son grand frère, mais ne tenait pas à se confronter avec ses parents. Un jour, il faudrait qu’ils fuissent tous de cet endroit maudit et triste. Ce jour est peut-être arrivé…
C’est le soleil brûlant d’Ord Mantell qui réveilla Mördòk zy Castër. Plombant en plein visant, il ne put se rendormir, l’intensité du soleil se rendant jusqu’en dessous de ses couvertures. Il se leva, s’étira et blêmit… Ils avaient laissé le pauvre bougre de vieux à l’extérieur toute la nuit! Il serait sans doute mort de froid après tant d’heure, sans couverture ni feu. Se sentant coupable et criminel, Mördòk enfila ses pantalon brun et un veston blanc taché de brun et de noir et courra jusqu’à l’extérieur. Le soleil était haut dans le ciel, cela voulait dire qu’il a dormi un sacré bout de temps. Il se remit à courir et vite son corps se mouillât de sa sueur, mais il ne cessait de courir, espérant ne pas arriver trop tard. Où étaient donc ses frères? Peut-être étaient-ils déjà là-bas. Arrivé à l’entrée du labyrinthe, Mördòk ne vit rien. Le corps du vieillard n’était plus là. Levant un regard anxieux, il fixa l’entrée du labyrinthe d’Arz… Si l’homme s’est réveillé et qu’il a pris la fuite à travers ce dédale, jamais il en reviendrait vivant.
*Que faire? Je ne risquerai quand même pas ma vie pour aller sauver un inconnu… Tous ceux qui y ont jadis pénétré n’en sont jamais revenus…*
Mördòk hésitait, mais surtout avait peur. On racontait tellement de chose sur cet endroit. Mais résigné à sauver encore une fois la vie du bonhomme, Mördòk fit un premier pas, un deuxième lorsqu’une voix se fit entendre derrière lui :
«Est-ce à vous, jeune Mantellien, à qui je dois la vie?»
Sursautant, Mördòk se retourna et sortit un petit canif de sa poche, prêt à se battre et montrant les dents comme un sauvage. L’homme était propre, au contraire de hier, il n’y avait plus de trace de boue, ni de cendre sur son visage ridé et garni d’une barbe blanche fourni. Il semblait même avoir de nouveaux habits.
«Qui êtes-vous et que me voulez-vous?» cracha Mördòk, complètement sur la défensive.
«Oh là! On se calme, jeune homme. Vous me sauvez la vie et vous désirez me la prendre maintenant?»
Cette dernière phrase laissa Mördòk un peu confus, car l’homme n’avait pas tort. Remettant son petit couteau dans sa poche, il s’excusa à l’ainé et lui redemanda plus poliment qui il était et la raison de sa venue.
«Eh bien, je suis Gir-Pauro Nigat, dit Tèl.» dit honnêtement l’inconnu.
«… et la raison de votre présence en ces lieu damné?» insista le jeune.
«J’ai été pourchassé par des pirates de l’espace et ils m’ont touché plusieurs fois… Alors je suppose que je me suis écrasé ici et que j’ai perdu connaissance…» menti maître Tèl.
Approche de la Force :
Mördòk croit évidemment en la force, ses deux frères ayant été tués par des Jedi très puissants. Mais il ne la percoit pas comme une divinité, une entité surpuissante comme bon nombre de Jedi si ce n’est pas tous les Jedi. Non, sa vision de cette source d’énergie est plus semblable à celle des Sith. Il croit que c’est un outil, un outil dangereux et très efficace et même indispensable. C’est son maître Tèl qui lui en parle, son père et sa mère ne préférant pas évoquer le passé et le sort de leurs deux fils, les deux ainés. Tèl lui disait pas grand-chose cependant, juste que la force est une sorte d’énergie qu’on retrouve partout où il y a de la vie, que celle-ci est en quelque sorte l’essence même de nos âmes, le pallier qui maintient notre monde, celui qui fait en sorte que la vie existe. Elle habiterait chacun de nous et seuls les êtres ayant une grande concentration de Midi-chlorien, au moins supérieurs à 8000, pouvait manipuler la force. Mördòk trouvait cette chose bien intéressante, mais n’y prêtait pas beaucoup d’attention. Il finirait de toute façon sa vie sur cette planète-bidonville à la noix.
Inventaire :
Mördòk possède un sabre confectionné par son maître Tèl, surnommer Shanti. C’est avec ce sabre qu’il s’entraine tous les jours avec son professeur, lui enseigna toutes sortes de manipulations et de techniques. Ces enseignements lui serviraient surement un jour, sur cette planète de bandits et d’assassins en fuites.
Il possède aussi une bague holographique qui lui fut donné par son frère Xénov avant qu’il ne quitte Ord Mantell. Cela lui permettait de toujours communiquer avec ses deux frères qui lui expliquaient tout ce qu’ils voyaient, accomplissaient et avec fierté. Un jour les communications cessèrent et Mördòk comprit. Il décida de garder cette bague en guise de souvenir, le seul de ses frères, ses modèles...
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Sujet: Mördòk zy Castër 
Ven 4 Mar - 22:06
Si je n'ai pas mis d'affiliation c'est que je ne sais pas encore et comme je l'ai dit, il me reste des modification à faire. 
Mais je crois vous l'avoir déjà dit, je serai sans doute Bladeborn, Sith ou/et Mandalorien. 
