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Le souvenir du futur ne s'oublie pas
Dorien Greyl
Dorien Greyl
Date d'inscription : 25/08/2010
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MessageSujet: Le souvenir du futur ne s'oublie pas Le souvenir du futur ne s'oublie pas Icon_minitimeMar 5 Avr - 10:32
La Mort est partout. Visage maqué, le dos vouté, elle arpentait les moindres recoins de la galaxie, menant sa lourde charge de tout coté, partout où le front menait sa lutte acharnée. La Mort emportait les mourants et terrifiait ceux qui restaient. Tandis qu’elle passait d’asile en asile, elle acaparait l’attention et reposait comme une épée de Damoclès au-dessus des crânes de ceux qui, un jour ou une nuit, ferait de l’ombre à sa liste, et finiraient par succomber à sa main froide et tranchante. Car sa faux était son jugement et le prolongement de son bras, tel l’outil est la raison du fermier. Elle fauchait les âmes et ne ratait son coup que si les conditions n’était pas recueillie. Et dans ce cas, malgré l’aide d’un serviteur des ténèbres, la Mort avait laissé derrière elle une victime en bien mauvais état. Alors que sur Nubia, de nombreux êtres pleuraient leur morts, ici sur Tython la mystérieuse planète des Jedi, un homme se reposait des multiples blessures encourue lors de son précédent combat. Le corps plongé dans des draps propre, de nombreux fils entré dans ses avant-bras, un tissu mouillé sur le front et un respirateur lui couvrant la bouche et pénétrant jusqu’au plus profond de sa gorge, là, Arpagon reprenait des forces et respirait. La pièce était froide, un vent frais se répendait entre les meubles et une faible lumière éclairait le lit, au centre de la pièce collé contre le mur à gauche de la porte en bois qui grinçait et craquait lorsque vous la poussiez. Le vent était rythmé au son de l’appareil respiratoire posé à coté du lit, tandis que la tenture s’envolait, bousculé par l’air qui passait par la petite fente de la fenêtre. Un siège était posé dans le coin opposé, une grande lampe au style archaique en vessie de Bantha trônait à ses cotés, donnant un rayon de lumière sur un vieux personnage qui lisait se balancant dans le siège à bascule, allant d’avant en arrière. Le regard posé sur l’ouvrage de vieux parchemins qu’il tenait serrer entre de petite main aussi rachitique que son visage, il lisait et marmonait également d’une voix assourdie et grave. Ses cheveux, coupé court mais coiffé en bataille, était caressé par le courant d’air et s’envolait de temps en temps au rythme du vent. Une bure de Jedi lui recouvrait les épaules, des couleurs grises dominant l’habit, tandis qu’un manche de sabre laser était reposé sur la petite table qui faisait face à l’ancienne lampe.

Cela faisait plusieurs nuits que le vieux Jedi Veris veillait au chevet du Revanchiste Arpagon, l’esprit plongé dans l’ouvrage d’un ancien prophète mais aux aguet, prêt à réagir en cas de besoin. Recueilli sur Nubia par les Jedi qui l’avaient trouvé dans les ruines d’une habitation, Arpagon avait été emmené avec lui durant le retour sur Tython pris pour l’un des Jedi. Nul ne le reconnaissant comme l’un des compagnons d’arme des revanchiste, son équipage l’ayant perdu. Il était entre les mains de ses anciens frères Jedi, ceux dont il tenait les origines, et désormais se reposait au sein de l’un des derniers Temple Jedi de la République. Depuis, Veris gardait un oeil sur la santé du revanchiste, veillant sur l'état de sa couche et de sa propreté. Le vieil homme, lorsqu'il n'était pas au coté d'Arpagon, parcourait de longs parchemins contant des histoires de Jedi et des faits d'armes de ses frères de la force, d'anciens manuscrits que peu de personnes prenaient encore soin de parcourir à la bibliothèque. Pour un être comme lui, de tels connaissance s'avérait presque plus utile que ce que vous pouviez retrouver sur l'holonet, il les lisait comme lorsqu'on retrouve un ami de longue date, avec beaucoup d'humilité.

Arpagon, lui, se reposait profondément. Ses paupières étaient fermée et ne s'étaient pas relevé depuis le transport depuis Nubia jusque Tython. Il était plongé dans un vide qui vous tirait jusqu'au tripe. Impossible d'en détacher vos pensées, tel une mouche prise dans une toile d'araignées, vous pouvez juste attendre le moment d'être becter par la bête. Le revanchiste, à l'instar de la mouche et de son prédateur, était au prise avec sa mémoire. Des souvenirs, provoqué par la douleur de ses blessures, percutaient son esprit. La brume nostalgique flottaient devant ses yeux. Il avait été Jedi, bien longtemps avant qu'il ne parcoure la galaxie au milieu de foribonds et de fuyard. Bien avant qu'il ne devienne l'un des revanchistes les plus recherché de la Galaxie, et encore plus loin avant qu'il ne prenne conscience de son propre mal-être. Il avait été le Jedi Arpagon, padawan du Maitre Kalikak. Ce dernier était un Fosh, un être au corps d'oiseau. Réputé pour être des créatures très intélligentes mais aussi fragile qu'ils étaient vifs d'esprit, ils étaient également connu pour leur haute mortalité dans des environements hostile. Arpagon et Kalikak avaient partagé leur gout pour l'aventure et la passion qu'ils appliquaient dans les quêtes qu'il leur était confié n'avait pas toujours plu aux yeux du conseil. Il leur arriva même d'être convoqué pour qu'on leur rappel que prendre plaisir à l'aventure était quelque chose de dangereux pour un padawan et triste à voir chez un Maitre aussi talentueux que le Maitre Kalikak. La plupart du temps, celui-ci hochait de la tête et se moquait des paroles du conseil une fois seul en compagnie du jeune Arpagon. Orphelin, ou à presque de l'être vu le peu de souvenirs qu'il garde de ses parents, son compagnon d'arme faisait office de padre autant que de frère. Même si l'age les séparaient de plusieurs décennies, ils n'en restaient pas moins de fier et tendres amis. Arpagon avait toujours respecté Kalikak, pour sa capacité à oublier sa faible stature et ses inexistantes résistances aux dommages de la vie. Il s'amusait même parfois des dangers que représentaient un coup sur la nuque.

Et puis Kalikak avait sombré. Tout avait commencé lors d'une mission sur Tatoine, dans les dunes de sables, dans le fond d'une grotte. Au coeur de celle-ci, parmis les dépouilles défuntes des Hommes de Sable qui s'étaient servi de ce creu dans la roche comme un sanctuaire pour leurs anciens compagnons, Arpagon et Kalikak effectuaient leur mission. Un sombre appel avait été lancé par un inconnu, comme un appel à l'aide. Ils avaient retrouvé la balise de secours, brisé contre un mur, mais fonctionant encore, le corps d'un frère-d'arme Jedi dont la dépouille pourrissait un peu contre la roche et dont les mouches se repaissaient déja. Kalikak s'était tourné vers Arpagon avec un triste regard mais également plein de sens, ils n'étaient pas seul. Cette mise en scène, cet appel au secours, avait dû être mis en place par une sombre entité, cela puait les adeptes du coté sombre à plein né. Le petit oiseau avait sorti son sabre laser à lame bleu qui jaillit avec prestance, une lumière d'azur éclairant de sa fier lueur les murs de pierres qui étincelèrent de milles feu. Arpagon quant à lui garda la main sur son arme, préférant la sortir au dernier instant, pour avoir les mains libre mais également dans un excès de Zèle et pour impressionner son maitre, comme lorsqu'ils se jouaient du dangers. Ils sont resté là quelques temps, attendant, fouillant la grotte, s'éclairant de la lame de Kalikak, et bientot un bruit d'éboulement se fit entendre. Cela venait de l'entré de la grotte. Ils s'étaient rapproché. A l'entré, entre la roche et les dunes de sable, la poussières s'engoufrant dans la grotte au souffle du vent, à l'entré se trouvait un homme. Ce dernier n'était guère bien grand, le visage voilé par un casque sans trait, il était vétu d'une combinaison de combat noire, de petites lames accrochés sur le coté de ses deux jambes, et deux sabres laser à sa ceinture qui pesait sur son corps, semblant glisser de sa taille. L'homme avait dégainé ses deux armes et...

« Kalikak ! » cria Arpagon, le souffle court, le torse transpirant, se relevant de son coma, les mains emmailloté dans sa couverture, le regard agard, et de la sueur se perlant abondament sur le front.

Veris s'était levé en vitesse et lui avait mis une mains froide mais dure sur l'épaule pour l'encourager à se coucher. Il passa sa main, toujours aussi froide, sur le front et avait déclaré qu'Arpagon avait de la fièvre. Puis le Jedi avait replacé délicatement la couverture sur le revanchiste dont la respiration était sacadé.

« Kalikak... » murmurait Arpagon. « Kalikak... Kalikak... »

Veris sourriait, non pas d'un sourrire d'un médecin qui se moque de la folie de son patient, mais d'un sourrire compatissant, comme lorsqu'on vous rappel un moment de complicité avec une personne disparue. Le Jedi déplaca son siège jusqu'au lit d'Arpagon et s'installa, reprenant plus ardament sa lecture tandis qu'Arpagon refermait les yeux et resombrait dans le délire de la douleur...

Kalikak...
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Dorien Greyl
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MessageSujet: Re: Le souvenir du futur ne s'oublie pas Le souvenir du futur ne s'oublie pas Icon_minitimeDim 8 Mai - 23:23
Plusieurs jours passèrent depuis la dernière folie cauchemardesque d’arpagon. Le vieux Maitre Veris veillait toujours sur lui, assis dans un fauteuil non loin de son lit, de lourds parchemins posés autant sur ses genoux que sur la petite table à haut pied. Le Jedi, comme à l’accoutumé, venait prendre température et le poul de son protéger. Les rares fois où le revanchiste revenait à la réalité, ils échangeaient quelques mots, souvent sur le même sujet. Les réponses de Veris se répétaient au fil de leur discussions. Le Jedi lui répétait où ils se trouvaient, ils discutaient du comment Arpagon s’était retrouvé sur Tython et le revanchiste s’empressait toujours de savoir si personne n’avait de nouvelle de son équipage ou encore du Repaire Errant. Les réponses de Veris ne lui convenait toujours pas, oui le Repaire Errant allait bien, selon les rapports il avait regagné Dxun depuis plusieurs jours. Le temple Jedi avait discuté avec le conseil revanchiste par hologramme et avait discuté de la convelescence d’Arpagon. Pour le bien de ce dernier, les Jedi avaient jugé bon de le garder encore un peu, le temps qu’il soit complètement rétabli. Mais cela allait demander encore plusieurs semaines, voir allé jusqu’à plus d’un moi.

Arpagon quant à lui, passait la majorité du temps à dormir et à se repasser en pensées son passé et ses aventures avec son Maitre Kalikak. Malheureusement, depuis qu’il s’était remémoré cette étrange mission dans les grottes, il ne pouvait s’empêcher de revoir le passage avec l’étrange personnage. Il s’efforcait de voir son visage et de découvrir l’identité du mystérieux guerriers qui leur avait fait barrière. Il ne pouvait s’en empêcher de le mêler à l’état dans lequel il était. Depuis peu, il avait commencé à le relier au combatant qui l’avait mit dans un pareil état. Le Bladeborn qui l’avait attaqué sur Nubia, Epistofane ainsi s’était-il nommé, avait quelque similitude avec le personnage de ses cauchemards.

Il se réveilla. Tourna la tête et apercut Veris qui s’était appuyé du coude contre la table, la tête dans ses mains. Arpagon pouvait autant entendre ses ronflement que ressentir le calme qui l’englobait. Il dormait, sans aucun doute et ses défenses mentales étaient abbaissées. Après tout, que pouvait-il craindre ici sur Tython dans un temple Jedi. Que pouvait craindre les Jedi ? Depuis que la guerre avait éclaté, Arpagon avait énormément de mal à saisir la situation des Jedi par rapport à la République. Le sénat ne semblait plus les reconnaitre officiellement comme ses garants de la paix mais officieusement requérait toujours les services de l’ordre. Cette ambiguité, l’ordre le devait à l’une des failles les plus improbables, la Force. En effet, selon les Jedi, la Force leur montrait la République comme étant la raison première de se battre. Cela pouvait paraitre naif et représenter une faille pour les Jedi, surtout lorsqu’on voit l’attitude de certains sénateurs, même si l’on ne peut négliger que ces politiciens dénonciateurs font pour la plupart partie de la félonie de la Sith, Sith que la République avait à l’instar des Jedi juré de combattre. Enfin bon… Arpagon se détourna de Veris et reporta son attention sur le paysage qui apparaissait par la fenêtre. Il repoussa les rideaux qui volaient au vent, les accrocha de part et d’autres de la fenêtre et reporta son attention au loin. Un ciel bleu se profilait alors qu’il levait les yeux vers le haut. Par delà les montagnes, il remarqua une série de lumière qui scintillait comme une allée de fleurs fluorescente, un peu à l’image de ces algues que l’ont aperçois la nuit lorsque d’un speeder l’on survole les mers bleue d’Alderaan.

Un crissement de bois plus tard, Arpagon se retournait pour voir un Veris qui se frottait les yeux et baillait sous le poids de sa propre fatigue. Ce dernier passa son regard du lit à la fenêtre grand ouverte puis reporta son attention sur le Revanchiste qui le dévisageait intensément. Il afficha d’ailleurs une mine sombre vis-à-vis de la façon avec Arpagon le regardait. Il lui fit d’ailleurs une remarque.

« - Savez-vous, jeune homme, qu’il est fortement mal vu de dévisager un homme surtout quand ce dernier a veillé sur votre chevet pendant plus de jours qu’il n’en faut pour un papillon de s’éveiller et périr ? » fit Veris dont la voix résonna autant dans la pièce que dans la tête d’Arpagon.


Ce dernier souri à la remarque du Maitre Jedi et acceuillit sa réponse avec beaucoup de respect. Des années plus tôt, le vieux Maitre Veris s’était déjà trouvé plusieurs fois à faire des remarques à un Arpagon beaucoup moins sur de lui. Ce souvenir ramena dans la gorge du jeune revanchiste plus de nostalgie que de chagrin, les dégats de ses rêves maladif disparaissant un peu plus dans l’oubli.

« - Vos conseils sont toujours aussi bien reçu, Maitre Veris. » déclara Arpagon avec énormément de respect. Veris hocha de la tête, l’air satisfait. « J’ai dormi longtemps ? »

Veris avanca lentement, prenant autant appui sur les meubles qui l’entouraient que la canne qu’il tenait dans sa main droite. Il semblait envisager chaque pas avec une extrème précaution.

« - A vrai dire, tu es resté endormi une semaines et tu as déliré pendant quatre autres jours. » répondit le Maitre Jedi.

« - J’ai parlé ? » demanda Arpagon.

Le vieux Maitre Jedi s’arrêta dans son parcours, répondit à son jeune blessé d’un hochement de la tête assurant une réponse positive et reprit sa route. Bientôt il parvint à hauteur d’Arpagon et abandonnant l’appui qu’il se procurait au moyen du lit de son patient, il posa sa main libre sur l’épaule gauche du Revanchiste.

« - Mais peu importe les souvenirs du passé que tu as recassé, ce qui compte c’est que tu sois sains et sauf. » fit le vieillard. La main toujours sur l’épaule, Veris se mit véritablement face à lui. « Cela fait si longtemps mon jeune Arpagon, si longtemps que nous n’avons plus eut l’occasion de nous voir mon jeune ami. En fait, il me semble que cela fait depuis… »


« - Depuis la mort de Kalikak. » le coupa Arpagon. « Mais si cela ne vous dérange pas, Maitre, j’aimerais qu’on change de sujet. »

Veris se retourna, laissant tomber le long de son corps. Sa voix et les paroles qui en découlèrent firent trembler Arpagon.

« - Moi pas. » Veris lui jeta un coup d’œil de derrière l’épaule. « J’ai entendu parler de toi Arp’, de tes fameux mercenaires, mais surtout de ton Repaire Errant. J’ai ouïe dire de tes saloperies, de tes meurtres et de toutes ces pourritures que tu as laissées sur toutes ces planètes que ta réputation dit avoir netoyée. »


Arpagon ne sut pas si il s’agissait du vent qui passait par la fenêtre où à cause des paroles du vieux maitre, mais une longue sueur froide descendit tout le long de son échine. Il s’éloigna de la fenêtre, toujours grand ouverte et les rideaux battant au vent.

« - Maitre, je… » commenca Arpagon.

« - Silence ! »

La voix du Maitre Veris retentit dans toute la pièce telle une déferlante impossible à stopper. Arpagon serra les poings. Veris sembla invoquer la force et Arpagon s’attendit à se protéger, bandant les muscles. D’un mouvement de la main, Veris balaya l’espace qui le séparait de lui et de Arpagon et la fenêtre se referma d’un claquement tonitruant. Le vieux maitre Jedi regardait toujours le revanchiste avec insistance, comme un père pourrait regarder un fils pour lui faire baisser les yeux.

« - Silence, Arpagon. Silence. Je vais pas laisser passer cette occasion, mon ami. Ce garçon-là, moi je l’observe depuis plusieurs années. Jamais il ne s’est soucié de l’importance de ses actes, mais plutôt de l’aventure et du futur, n’impliquant pas ses actes présent à ce qui en découlerait. Arpagon, tu es un insouciant. »

« - Maitre… »

« - Le conseil veut te garder. »

« - Pardon ? » fit Arpagon qui ne comprenait pas trop ce que venait faire le conseil dans tout cela.

« - Depuis les récents évènements, les actes des revanchistes sont de plus en plus mal vu par l’Ordre Jedi. Et nous avons beaucoup de mal à accepter le fait que nous avons entre nos mains un revanchistes qui est recherché par de nombreuses autorités sans pouvoir l’arreté. »

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