Bon allez on va être plus gentil... le vaisseau va en fait s'écraser dans la mer juste à coté du centre et du port historique de New Coral City. pareil les batiments seront soufflés et une partie de la cité s'effondrera puis coulera... Mais on comptera seulement 10 millions de victimes (dont le gouverneur...) et 200 à 500 millions de blessés (suivant le niveau de blessure considéré), plus des dizaines de milliers de disparus et des millions de sans abri
Suivra à cet acte un tsunami qui balayera la raison (causant plus de dégâts materiels que humains)...
Le reste des conséquence est inchangé

Bon la venue des mando de Dxun vers Mandalore est conté maintenant on a pouvoir passer a l attaque

Au massacre tu veux dire? ^^

Mandalore septième jour d’occupation sith, à bord du Achammer, vaisseau amiral de la septième flotte de Ziost, sous commandement du seigneur sith Dark Peryon, nommé amiral de la flotte par ordre de l’Empereur en personne. Au cœur de la salle de réunion de l’état major...

L’ambiance était lourde, un silence de mort pesait dans la large pièce, un silence que la lumière bleuté des hologrammes rendait d’autant plus froid. La table, autour de laquelle étaient assis quatre des cinq individus présents, aurait pu en accueillir plus du triple. Mais cela n’avait rien à voir avec l’ambiance qui régnait là. Le quarren Dark Peryon était visiblement énervé, la main posé sur la longue baie qui ouvrait la vue sur cette planète misérable qu’il avait fait tomber... Misérable, tombée, mais insoumise. Après une semaine d’assaut, d’occupation de répression, malgré la mort de Manda’lor en personne, malgré la perte de milliers de guerriers, la résistance de Mandalore n’avait pas été brisée. Malgré les humiliations et les échecs ils se battaient encore, faisant face avec la ténacité qu’on leur connaissait. Peut être l’Empereur avait il fait une erreur en ne voulant soumettre et non détruire la population de la planète. Les revanchistes n’avaient pas attaqué, peut être ne viendrait il jamais. Lui Dark Peryon le guerrier, l’amiral, le seigneur sith serait il destiné à attendre ici que cette guerre finisse, cantonné au rôle de gardien d’une prison à ciel ouvert. Un bagne ou les forçats semblaient imposer leur loi. Il se retourna brusquement regardant les autres hommes qui l’attendaient. Il y avait là l’humains Wesh Nellan, le commandant du Achammer, premier lieutenant du seigneur sith, déjà un héros de cette guerre, à lui seul il aurait pu mener cette flotte, mais le pouvoir revenait de droit au quarren. À ses cotés se trouvait Rhyria Nayprin, un bothan, le poil gris, borgne, lui aussi commandant émérite, il était étonnant qu’on ne l’ait pas chargé d’une plus grande mission, mais l’importance que l’Empereur avait donné à cette bataille l’avait conduit à ce voir confier le rôle de commandant du deuxième plus grand vaisseau de la flotte, le véritable maître de la force de frappe impériale si tout se passait comme l’Empereur l’avait annoncé. Les autres n’étaient là que par dispositif d’holoconférence, communiquant depuis la surface de la planète. Bien sur il y avait le colonel Arkyss, l’apprenti de Peryon, son exécutant personnel au sol. Et enfin le major Shiron Terrilles, commandant des troupes sith basées sur la planète. Le maître marcha à pas rapide avant de poser ses mains sur la table. Il fixa le major et demanda d’un ton froid.

"Vous dites que le capitaine Du Kiye a été assassiné ?"

Malgré la distance qui les séparait, l’homme fut pris d’un frisson, il hésita un temps et répondu en baissant les yeux.

"Oui amiral, nous l’avons retrouvé ce matin, sauvagement égorgé dans ses quartiers."

"Et vous oser dire que les plans de nos futures bases de combat dont il était chargé de l’organisation ont été dérobés."

"Nous ne pouvons l’affirmer de façon clair amiral, mais je pense que oui. Nous avons tout de suite lancé des recherches mais..."

Le sith frappa du poing sur la table.

"Taisez-vous Shiron ! Vous êtes un incapable !"

"Les bases de défense aérienne, les réserves, les prisons, sans parler de nos soldats que l’ont retrouve jour après jour assassinés les uns après les autres... Cette maudite rébellion, nous aurons du les balayer eux et leur maudite planète à coup de turbolaser il y a longtemps !"

"Oseriez-vous contester les directives de l’Empereur lui-même ?"

"La question n’est plus là ! Mandalore est maintenant aux ordres de sa majesté impériale. Ses citoyens doivent se soumettre ou payer le prix de leurs crimes."

"Mon seigneur... Vous savez bien que nous les frappons jour après jour, leurs sang finira bien par se tarir."

"Non ! Nous avons suffisamment patienté, nous leur avons appris leurs devoirs. S’ils persistent dans leurs fautes ils devront en assumer les conséquences."

Il y eu un silence. De tous les membres de ce conseil restreint, seul Arkyss osait regarder son maître. Celui-ci finit par lui demander d’un ton plus calme, plus grave.

"Arkyss, as-tu réussi à obtenir les informations que je t’avais chargé de découvrir."

"Oui mon maître. L’homme dont je vous avais parlé nous a livré tout ce que nous désirions. Il n’a même pas été nécessaire de s’en remettre à des mesures moins dont le résultat aurait été moins... Sûr."

Chaque homme a son prix et Peryon le savait. Cela faisait quatre jour qu’il avait confié cette mission à son apprenti, la mission de trouver un homme, un mandalorien, qui serait prêt à vendre les siens. C’est dans ce but que le jeune homme avait écumé les prisons, sondant le cœur de centaines de prisonnier jusqu’à trouver celui qui pourrait convenir, celui qui se plierait au plan des sith, celui qui saurait infiltrer le quartier général même des rebelles, se fondant parmi eux sans donner jour au moindre soupçon. En ces temps troublés, le prix d’un pareil homme n’était guère difficile à deviner. La vie, l’assurance de quitter cette planète avec femme et enfants, une fortune promise devant lui. Peut être l’homme avait il même vu l’opportunité de passer pour un héros aux yeux du reste du peuple mandaloriens en s’étant soustrait aux sith... Et le plan avait marché, le traitre avait dit, tout dit sans que nul ne se soit jamais douté de sa qualité d’agent double... Il était si... Improbable qu’un mandalorien trahisse les siens... Une telle confiance entre eux était une grossière erreur. Bien sur le traitre après avoir livré tout ce qu’il savait avait été réduit au silence. S’il était prêt à trahir les siens il n’y avait pas le moindre doute qu’il trahirait les sith.

"Bien. Et qu’as-tu appris ?"

"Tout maître... Tout ce que nous désirions. Les rebelles sont tous organisés autour de centres, plus ou moins importants. Nous n’avons pu obtenir l’emplacement que de quelques unes d’entre elles, mais il ne fait aucun doute que les autres seront bientôt repérées. Et surtout maître... Nous savons où ce trouve la ruche, le quartier général de la rébellion."

"Bien... Fort bien..."

"Donnez-moi les coordonnées ! Je suis prêt à les réduire en poussière sitôt que vous en donnerai l’ordre."

"Non... L’heure est venue pour donner un exemple d’une autre... Valeur."

Il se tourna vers le major Shiron, le fixant de son regard couleur or.

"Major, l’heure est venue d’apporter à votre Empereur ce qu’il vous a demandé. De nous montrer persuasifs. Vous mènerez une descente dans les quartiers les plus aisés de la cité, vous raflerez tous les enfants que vous y trouverez et les conduirez jusqu’à l’astroport d’où nous les déporterons. Annoncez bien au parent que s’ils veulent revoir leur misérable marmaille, il leur faudra nous livrer l’emplacement des camps rebelles, et l’identité de ceux-ci. Ceux qui obéiront seront exaucés, donnez autant de publicités qu’il vous semblera nécessaire à ces récompenses données aux patriotes, l’ensemble des médias sont entre vos mains."

"Mon amiral... Vous ne pensez pas qu’agir ainsi risquerait de... Comment dire conduire certains à nous livrer des informations mensongères."

"S’ils mentent à l’Empire, ces hommes méritent la mort. Tout comme ceux qui sont en contact avec les traitres. Vous prendrez bien soin de régler la question de ceux qui ont parlé de la façon la plus discrète possible. S’il vous semble bon de prétendre qu’ils ont pu quitter la planète, faites."

"Il sera fait selon vos ordres mon seigneur."

"Je l’entends bien. Maintenant Arkyss, nous allons préparer notre riposte."

"Je suis prêt à frapper maître."

"Et vous frapperez au plus vite. Voici ce que nous allons faire..."

Je vais le faire en 2 ou 3 messages ^^ sinon ça sera trop long ^^

Deux heures sonnèrent. Sous un épais couvert nuageux, les sith battaient le rappel de leurs troupes, sans un appel, sans un cri, tout avait été entendu peu auparavant, quelques minutes suffirent pour que tous se rassemblent dans le plus grand silence. L’armée sith, en charge de maintenir la loi de l’Empereur sur Mandalore s’était levée. Sous le commandement du Colonel Arkyss, trois mille hommes avaient été mobilisés pour faire face à la mutinerie qui vérolait l’occupation de la planète, deux mille cinq cent de ceux là avaient finalement été armés, marchant sous les ordres directs du sith. Les troupes étaient vêtues de noir, armés avec les derniers équipements impériaux de combat en obscurité, ils étaient invisibles sous les nuages, mortels. Le colonel fit un geste et ses brigades de la mort se mirent en branle, marchant dans ses pas, droit sur la capitale. Il ne leur fallu que peu de temps pour l’atteindre, le camp était déjà aux portes de Keldabe, cette agglomération de plus de six cent mille habitants, la seule de cette importance sur cette planète. C’était logiquement là que s’étaient mis en place le cœur de la rébellion, la qu’il serait arraché. Le point de rendez vous était connu. La place du grand marché. Juchée au cœur de la cité. Les rangs étaient silencieux, les hommes obéissaient aux ordres, il s’agissait de troupes d’élites l’assaut serait violent, implacable. Seul le fracas des bottes troublait le silence de la nuit, un pas cadencé qui provoquait la peur sur son passage. Les nuages s’accumulaient, noyant ce qu’il restait de l’éclat de la lune et des étoiles.

Sans doutes les mandaloriens les avaient ils déjà repéré, peut être se doutaient ils déjà de l’objectif choisi par les sith. Mais pour eux il était déjà trop tard. C’était une démonstration de force, il leur faudrait tenir ou plier, quoi qu’il en soit ils étaient prêt à périr comme se devaient de le faire des guerriers. A trois heures et demie les ténèbres s’étaient faites, les sith occupaient la place du marché et ses alentours sans qu’il n’y ait eu de résistance notable. C’était là, dans ce quartier, en apparence plat, si calme, que la cité s’enfonçait le plus profondément dans les entrailles de la planète. Plus loin qu’aucun simple habitant n’aurait su le dire, n’aurait pu le dire. Qui pouvait bien se souvenir, qu’en des temps immémoriaux étaient ici exploités de vastes mines de Beskar, une véritable fourmilière, mais les mines s’étaient taries, leur rendement n’avait pas survécu aux exigences des industriels. Au fil des siècles, des guerriers légendaires, les ancêtres des guerriers d’autrefois, les premiers mandaloriens étaient venu reposer au cœur de ces mines devenues catacombes, ne faisant plus qu’un avec métal de leur armure, rendant à la terre ce qui lui avait été pris. Mais là aussi la source avait fini par se tarir, les temps avaient changé, les légendes avaient changé, les coutumes avaient suivi. Le sous sol abandonné avait retrouvé son silence, son mystère sans que jamais nul ne vienne le troubler. Jusqu’au moment où les sith frappèrent... Car ces tunnels, ces boyaux infinis qui s’enfonçaient dans la planète, ces tombeaux secrets, la résistance les avait rapidement investis, aménagés, en faisant le cœur même de son action. Un bon plan... Jusqu’à aujourd’hui. Car si l’on avait pu croire que nul ne pourrait découvrir l’inconnu, la base n’en était pas moins une souricière.

Le ciel grondait, les forces impériales qui avaient jusqu’à présent agit avec une facilité déconcertante avaient pu boucher toutes les issues de ces mines sans laisser à quiconque l’occasion d’échapper à l’étau mis en place par le coté obscur, le temps n’avait pas permis aux rebelles pour établir de nouvelles connexions, ce serait leur perte. Keldabe semblait une cité morte. Les ordres furent rappelés, à quatre heures la foudre tomba, l’attaque fut lancée. Les colonnes sith s’enfoncèrent aussitôt dans les entrailles du marché, il y eu un creux puis le combat commença, soudain, terrible. Les tirs des résistants se mirent à fuser, par dizaines, fauchant les troupes impériales, une grêle mortelle d’une précision mortelle. Grenades et missiles surenchérirent, abattant les troupes sith, les faisant tomber comme de vulgaires dominos. Mais le nombre était avec l’Empire et les soldats d’expérience menés par Arkyss n’avaient pas cédé à la peur. L’avantage était au mandaloriens, du moins tant que le terrain fut relativement dégagé... Car malgré leur talent, leurs armes lourdes, ils n’en tombaient pas moins sur les milliers de tirs qui frappaient en rafale. Et les combattants de la liberté durent se replier dans les tunnels, abandonnant sur place plus d’une centaine de leurs camarades... Effondrés au sol, mais pas mort pour autant, ils étaient prisonniers des sith. Car tels étaient les ordres de l’amiral, il ne devait il y avoir un maximum de prisonniers et c’était à cette fin que les hommes avaient réglé leurs armes sur les tirs paralysants. Mais, malgré leurs pertes terribles, les mandaloriens acculés s’étaient repliés bien vite... Sans doute trop. Le combat qui les attendait dans les mines était encore moins à leur avantage que ne l’était celui au cœur du marché. Leur riposte avait beau être parfaitement organisée, ils devaient occuper toutes les galeries pour ne pas risquer d’être pris par derrière. Le nombre jouait en leur défaveur bien plus que leur expérience n’aurait pu les avantager. Dans ces boyaux trop larges ils n’avaient ni un champ assez libre, un terrain assez dégagé pour pour l’emporter, ni les passages étroit qui auraient empêché aux sith de bénéficier de leur nombre. Toujours plus tombaient, récupérés, évacués par les impériaux à défaut de pouvoir l’être par les leurs. Les assaillants étaient les plus forts, la bataille était déjà perdue pour les mandaloriens, il n’y eut rapidement plus le moindre doute à ce sujet. Arkyss avancé en avant de ses troupes, facilitant leur avancé, maniant d’une main le sabre laser, de l’autre le blaster paralysant, il était le bras de son maître et exerçait sa volonté. Sans que le moindre doute n’habite son esprit il se laissait guider par le coté obscur droit vers les leaders rebelles. L’honneur des enfants de Manda’lor jouait en sa faveur, il le savait, leur arrogance les poussait à périr l’arme à la main, c’était leur honneur de guerrier qui était en jeu, jamais ils ne pourraient choisir de mettre fin à leur jour par eux même. La vie n’avait jamais était aussi simple, aussi vivante pour l’apprenti du seigneur sith. Le coté obscur avait déjà gagné.

C’est aux alentours de dix heures que les combats prirent définitivement fin, l’issue avait été inéluctable mais aucun mandalorien n’avait fait le choix de se rendre, tous avaient essayé, espéré mourir comme des guerriers, mais peu avaient réellement été exaucés. Pas moins de quatre cent cinquante hommes avaient été pris. Coté sith, le bilan avait de quoi sembler cataclysmique, sur les deux mille cinq cent combattants engagés, plus de douze cent étaient tombés, fauchés par les insurgés. Mais cela n’avait aucune importance, pour l’Empire les hommes se remplaçaient sans difficulté, seul comptait le résultat. Il n’y avait pas eu de décompte officiel, pas d’annonce dans le moindre média, les soldats eux même avaient été trompés sur le nombre de leurs camarades qui étaient tombés. Non il n’y avait qu’un seul résultat. Le cœur de la résistance était aux mains des sith, il ne leur suffisait que de serrer les doigts pour le broyer... Et c’est ce qu’ils firent. La ville se noyait sous une pluie battante comme ils n’en avaient pas connu depuis des dizaines d’années et les soldats sith s’affairaient de toute part. À midi une explosion colossale étouffa le tonnerre et secoua toute la cité, faisant s’effondrer la place du grand marché, broyant les mines d’autrefois, enterrant à jamais les troupes de la mort au coté des héros des temps passés. Enfouis également l’espoir de la rébellion. A quatorze heures, comme si le déluge leur avait permis de pousser, des gibets avaient poussé comme des fleurs le long des boulevards, au cœur des places et des jardins. A seize heures ceux-ci avaient été garnis des soldats de la résistance de Mandalore. Tous avaient été sauvagement branchés sous les coups de fouet de la pluie, ils étaient accrochés, presque nus, leur casques juchés au sommet de l’échafaud qui les portait, on les avait dévêtu de leur armure. Leur honneur était bafoué, leur qualité de guerrier niée, ils n’étaient plus que de vulgaires condamnés à mort pour crime de haute trahison contre l’Empereur, certains mirent des heures à mourir sans que leur lente agonie ne soit abrégé du moindre acte de pitié. L’orage prit fin lorsque le dernier expira. Leur nombre fut artificiellement accru par l’ajout de nombreux prisonniers issus des prisons de l’armée sith, une propagande macabre se mit également en place, parlant de deux mille guerriers ayant été condamné, un chiffre largement exagéré mais que nul ne se serait jamais aventuré à vérifier. Des mesures identiques avaient été prises dans toutes les cités, partout se dressaient des potences, n’attendant qu’une occasion pour se voir utilisé. Il fallait marquer les esprits, faire comprendre au peuple qu’après le temps de l’apprentissage était venu celui des sanctions.

Les médias, soumis à l’Empire sith ne parlèrent rapidement plus que de la prise de la ruche et des nouvelles mesures qui avaient été prises. La peur tenaillait le peuple, quiconque osait se lever contre l’Empire ou ne serait ce que soutenir un ennemi de l’Empire était condamné à mort, à se balancer à la vue de tous, oscillant lamentablement comme des fruits trop murs, attaqués par les mouches comme tous les cadavres qui ornaient Keldabe. Cette peine étant valable jusqu’à ce que la rébellion des mandaloriens soit définitivement matée. La peine était cruelle, ignoble, mais cela ne suffirait pas à retenir les Force impériale, les informations sur Mandalore étaient entre leurs mains, celles qui en émanaient également. Jamais personne ne saurait avec quelle cruauté les sith avaient frappé. Et quand bien même la nouvelle se serait rependu, il aurait suffit de la contester de la nier comme l’ont nie la propagande ennemi et ses mensonges. Tant que la planète était entre les mains de l’Empire, il n’y aurait aucunes preuves réelles de pareils agissements. Le traumatisme n’était pas encore retombé au sein de la population lorsque le lendemain une autre annonce la frappa, pour beaucoup, cela acheva de briser ce qui leur restait de force, de courage et d’espoir. Kil Haren, celle qui avait été le maître de la ruche, le véritable leader de la rébellion était toujours aux mains des sith et serait exécuté à titre d’exemple. Une exécution qui ferait l’objet d’une holodiffusion forcée sur l’ensemble de la planète. La répression sith était allée vite, avait frappé fort. Mandalore devait être brisée coute que coute, telle était la volonté de Dark Peryon... La volonté de l’Empereur.

Nouvelle version ^^

Il ne manque plus qu'un message pour faire la torture (je verrai si j'ai le temps mercredi après midi ou vendredi soir...)
Puis la bataille spatiale... Euhh là faudra voir, mais si quelqu'un d'autre veut s'en charger (par exemple Khain ou Morton) ce sera avec joie

Je te rappelle que je pars en vacances à la fin de la semaine moi....

Bon si j'ai le temps je ponds un truc aujourd'hui mais j'en suis pas sur, donc si un modo veut le faire.....

Oui mais il ne fallait pas me dire que tu bossais pas aujourd'hui ^^

Je ne bosse pas mais je reste un homme adulte, marié donc.....

Je n'arrive pas à concevoir que tu as 30 ans Khain...

29 d'abord et puis.... et ben si voilà quoi ^^

Quoi? tu as une vie ^^ J'arrive pas à le concevoir non plus ^^

OMG c'est possible?

J'ai voulu attaquer ce qu'il restait (enfin bon j'ai finit une description attaquée hier soir et je l'ai fini)... Me reste plus qu'à entrer dans le vif du sujet

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Kil Haren... Un nom que peu ont déjà ouï dans la galaxie. Car il est parfois étrange de constater, d’observer la façon dont un nom peut être si fameux chez les mandaloriens et pourtant inconnu, ignoré par tout le reste de la galaxie comme s’il n’avait jamais existé. Or Kil Haren n’était pas une simple célébrité chez les siens. Elle était devenue une légende. Par sa vie, toute sa vie, autant que par sa mort. Une femme de caractère, de talent dont le nom résonnait déjà bien des années avant son trépas, et continua d’être porté par le vent plusieurs décennies après celui là même. On dit que toutes les légendes ont leur part d’ombre et c’est d’abord celle-ci qui donna à Kil une renommé parmi les siens. Mais commençons par le commencement.

Harren n’était pas une simple guerrière, c’était une battante, une vrai mandalorienne de pure souche, élevée dans la seule optique de s’illustrer comme tel. Elle naquit sur Mandalore, fille de sang de mando’ade, elle se fit très tôt remarquer pour ses aptitudes, ses prédispositions au combat, son attention, son intelligence... Elle était tout simplement douée de toutes les capacités qui pouvaient faire la valeur du guerrier. Un talent qui la conduit loin. Encore toute jeune lorsqu’éclatèrent les guerres mandaloriennes, elle ne participa au final qu’à très peu de combats mais s’illustra à chacun de ceux-ci, risquant sa vie au nom de l’honneur, agissant avec courage, honorant la bannière des enfants de Mandalore. Il n’aurait guère était difficile alors que déjà la belle avait entrepris de se bâtir un nom, menant sa destiné aussi loin que son talent le lui permettrait. Elle en sorti grandie, muée par cette expérience, instruite d’avoir connu le temps des victoires et de la gloire autant que celui des doutes, des défaites et de la soumission. Les temps avaient passé, jamais elle n’avait failli à ses résolutions, agissant toujours avec honneur et force, menant ses camarades à la victoire sans faiblir. Elle était un leader charismatique et respecté, stratège émérite... Et a ce titre, il fut un temps où on parla d’elle pour prendre un jour le titre de Manda’lor. Une promesse... Un avenir... Cela était bien maigre et son ascension trop rapide pour que nul ne vienne la brisé. Et c’est ce qu’il arriva. Car la guerrière montante n’était pas seulement une grande combattante. Elle était aussi une femme. Une femme d’une grande beauté. Et encore mieux une femme d’une grande beauté et qui avait su la préserver

Fine, élancée, elle avait un visage délicat et resplendissant, de longs cheveux blonds, des yeux gris acier, elle était d’une apparence dure mais belle. Comme de nombreux combattant elle s’efforçait à montrer celui-ci le moins possible, mais les rumeurs se rependaient vite et la jeune femme vraiment trop parfaite pour que celle-ci soit tut. Aujourd’hui encore alors qu’elle tendait sur ses cinquante ans, elle semblait en avoir à peine plus de vingt cinq. Cela avait joué en sa défaveur, depuis toujours. Jamais nul n’avait douté de sa force physique, on la savait plus forte et habile que bien des hommes de trente ans. Mais lorsque la possibilité de la voir viser le poste suprême prit de l’ampleur, les coups bas vinrent la miner. Dans tout ce qui fut raconté, beaucoup était sans conteste faux, cela allait des simples soupçons, des doutes sur le fait qu’elle ait réellement été humaine comme elle le prétendait, aux insultes qui lui niait ses faits d’armes les plus prestigieux et pire encore les accusations farfelues qui se basant sur sa volonté de fer faisaient d’elle une sith, vulgaires racontars qui reposaient sur les sois disant dires d’un jedi au cours d’un interrogatoire, celui ci aurait sondé son esprit, en perçant le terrible secret... Des accusations auxquelles bien peu croyaient mais auxquels d’autres préféraient les railleries. On parlait de Harren la sith, aussi habile à manier les armes que les hommes, prétendant que la belle aurait partagé la couche de tous les Manda’lor, jouant d’eux, participant à leur gloire ou a leur chute. La combattante n’était plus qu’une mante religieuse, ne devant sa place qu’à sa beauté pour certains... Bien sur une part de vrai contribuait à la légende. La guerrière, du temps de sa gloire, avait su être proche de chacun des Manda’lor qu’elle avait connu et bien que combattante, prête à tuer sans pitié, elle n’était pas moins femme. En revanche jamais de pareil relation ne lui avaient permis de s’élever plus haut que ce qu’elle l’avait mérité par ses actes. C’était bien faible, mais cumulé, dans le monde empreint d’honneur des mandaloriens, cela avait suffit pour mettre fin à jamais aux ambitions de l’humaine, sans que jamais elle n’apprenne ou n’ait la volonté d’apprendre qui avait provoqué sa chute. Sa légende était faîte, lorsque débuta la guerre contre les sith on la tint éloigné du pouvoir et des décisions importantes, elle était une guerrière du passé, l’image magnifique d’une époque révolue, une légende que tout le monde aurait oublié si Mandalore n’avait pas été occupé.

Il ne fallu pas moins que les tragique évènements qui frappèrent la planète et les batailles qui la dévastèrent lors de l’invasion pour lui amener une remontée en grâce auprès de tout, et de l’histoire. Dès qu’elle avait perçu les prémices de la bataille, comprenant que celle-ci serait inéluctable, elle avait été là, parée au combat, remplissant le premier devoir du guerrier. Elle s’était lancée dans la mêlée sans se soucier de ce que le passé lui avait couté. Elle fut dans les premiers à faire face aux cotés de Manda’lor... Une des dernières à être séparé de lui avant qu’il ne tombe, écrasé par la force de frappe de l’ennemi. Ce jour là, nul n’avait compté le nombre de soldats impériaux qui avaient perdu la vie face à Kil, une quantité des plus incroyables, il n’y avait pas de doute là-dessus. On disait même qu’elle avait arrêté de ses mains un guerrier sith alors que son sabre laser allait frapper Manda’lor en personne. Elle qui lui avait sauvé la vie à cet instant, elle qui avait abattu cette être du coté obscur. Elle n’avait pas fuit comme les seconds de Manda’lor qui, sitôt que la bataille s’était annoncée comme perdu s’étaient pressés jusqu’à leur vaisseau, fuyant en ordre dérangé, rentrant la tête baissée retrouver l’allié Revanchiste sur sa lune de Dxun. Non ! Elle en avait eu l’occasion mais n’avait pas cédé à la peur, elle était resté, avait rassemblé des hommes autour d’elle, et sitôt que la domination sith sur la planète fut proclamée, pris la tête d’un mouvement local de la rébellion, niché au cœur de la capitale. Il n’avait pas fallu plus d’une demi-journée pour que tous les commandants de cellules de combat apprennent le rôle qu’elle avait joué. Et moins d’une journée plus tard, ceux là même dont bon nombre avaient été à l’origine de sa disgrâce autrefois, lui prêtent allégeance, préférant se cantonner à un rôle en retrait, moins dangereux. Elle le savait et su pardonner, comme tout grand dirigeant se devait de le faire en des heures si terribles. Et a elle seul prit sur ses épaules la charge de panser les maux de son monde, comme seule une femme, seule une mandalorienne aurait su le faire. Elle n’était pas Manda’lor mais se conduit comme lui-même l’aurait fait. Aujourd’hui, bien qu’elle ne porta plus son armure noire et or, elle avait toujours sa fierté, elle n’était pas de ceux qui accordent de la valeur à une simple pièce de métal, mais préfèrent s’en remettre à la grandeur des actes. À l’heure de payer pour le crime d’avoir combattu pour les siens, elle n’avait pas de peur dans les yeux, seulement la satisfaction d’avoir pu entrainer en enfer autant d’ennemi que cela lui avait été possible.